Yarilo était le dieu slave de la jeunesse et du printemps, c’est-à-dire des forces vives de la terre, de la végétation, du renouveau. Le livre, placé sous le signe de cette divinité païenne, et parfois de la sorcellerie, commence pourtant par un extrait de l’évangile et les débats intérieurs d’un guerrier qui s’apprête à devenir moine.