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Xingjian Gao

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La montagne de l'âme

" Ecrit dans une langue musicale (et joliment traduit), ce " roman oriental " revendique une forme moderniste, mélodique en diable, libre de toute règle, désintoxiquée de toute langue de bois, et une fidélité aux romans chinois qui brassaient les contes fantastiques et les souvenirs des bonzes, les chants et romances populaires, les épisodes des dynasties Han et Wei, les exploits des Ming et des Qing. " Jean-Luc Douin, Télérama. " Ce livre fascinant est l'œuvre d'un peintre, d'un poète et d'un philosophe : de ses mille facettes, il éblouit tel un kaléidoscope d'une Chine éternelle, une Chine cruelle, parfois superbe, déchirée entre destructions et renaissances. " Diane de Margerie, Le Figaro. " Un grand roman. La littérature chinoise des années 90, plutôt frappée de nécrose, devra désormais compter avec la force créatrice et les audaces de Gao Xingjian. " Alain Peyraube, Le Monde. " L'intrépide Gao Xingjian vient d'écrire le plus déboussolant des romans : un guide du routard céleste dont les pages se dispersent sous les vents du large, comme des cerfs-volants. C'est un enchantement. " André Clavel, L'Express.

01/2000

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La montagne de l'âme

Dans la Chine du début des années quatre-vingt, le personnage de la Montagne de l'Ame, simplement désigné par le pronom personnel " je ", entreprend un voyage pour fuir les tracas de la vie dans la capitale. Le hasard - deux tasses de thé qui s'entrechoquent sur la tablette du compartiment d'un train - le met sur la piste d'une mystérieuse montagne. Le roman entraîne dès lors le lecteur dans un immense voyage à travers une Chine mal connue, d'une richesse infinie : quête amoureuse et spirituelle, recherche des origines de l'homme et de la civilisation chinoise, recherche de la vérité, de la sagesse et de la pureté, retour à l'enfance. Au fil du récit, " je " devient " tu " et les deux voix alternent et s'entrecroisent pour former un texte d'une écriture résolument moderniste. Roman complet de la " sinitude " retrouvée, tour à tour autobiographique, récit picaresque ou burlesque, introspection, reflet critique de la réalité, poème lyrique..., la Montagne de l'Ame est le grand roman asiatique de cette fin de siècle.

10/2001

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La montagne de l'âme

Un beau jour des années quatre-vingt, un homme s'embarque dans un long voyage pour fuir les embarras de Pékin. Mis sur la piste d'une mystérieuse montagne, il traversera une Chine mal connue - et d'une richesse infinie. Roman à la fois poétique, autobiographique et picaresque, La Montagne de l'Ame est sans conteste l'un des chefs-d'œuvre du XXe siècle couronné par l'attribution du prix Nobel de littérature à son auteur, Gao Xingjian.

09/2002

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Une canne à pêche pour mon grand-père

Souvenirs d'enfance, les bonheurs simples de l'amour et de l'amitié, le pays natal et ses lieux familiers, mais aussi les drames de la rue ou les tragédies vécues par la Chine, tels sont les thèmes de prédilection de ces six nouvelles choisies par l'auteur avec la complicité de son traducteur.

10/2001

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Le livre d'un homme seul

"Il n'a pas oublié qu'il a eu une autre vie". Un dramaturge chinois en exil et une jeune juive allemande se découvrent au gré des cicatrices qui dessinent leurs corps. De la profondeur des silences et des tabous, dans la chaleur des corps amoureux, jaillit le récit d'une vie de terreur. Le héros raconte les purges et la barbarie du régime de Mao, mais aussi la fuite et l'espoir...

10/2001

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Le livre d'un homme seul

" Tu n'es pas un dragon, tu n'es pas un insecte, tu n'es ni l'un ni l'autre, ce non-être, c'est toi (... ) ; tu n'es rien d'autre qu'un message de la vie, une expression, une parole dite envers le non-être. Tu as écrit ce livre pour toi, un livre sur la fuite, le Livre d'un homme seul, tu es à la fois ton Seigneur et ton apôtre, tu ne te sacrifies pas pour les autres et tu ne demandes pas qu'on se sacrifie pour toi, voilà, c'est on ne peut plus équitable. Le bonheur, tout le monde le désire, pourquoi n'appartiendrait-il qu'à toi ? " Gao Xingjian nous lance ce message sans concession : tel qu'en lui-même son personnage se souvient, petit garçon en Chine, individu pris dans les rêts d'un système politique impitoyable, et homme enfin accueilli en Occident. Après La Montagne de l'âme (1995), Gao propose une nouvelle œuvre magistrale : douceur des souvenirs et de l'enfance, amours et violence politique, érotisme même, se mêlent sans fin dans cet étonnant roman, somme de la vie d'un seul homme, témoignage essentiel et sublime objet de littérature.

10/2001

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