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Wojciech Birek, Piotr Machlajewski, Adam Rusek, Jerzy Szylak

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BD tout public

Histoire de la bande dessinée polonaise

Comme un peu partout en Europe, la bande dessinée (komiks) apparaît en Pologne à la fin du XIXe siècle. Elle est dabord un phénomène de presse, plutôt destiné aux adultes, privilégiant les formats courts et soumis aux influences des voisins allemands et suédois, dont les créations peuvent y être exportées avant de connaître des adaptations locales. En Pologne peut-être plus quailleurs, les mouvement tectoniques considérables qui engagent la nation, lEtat et le pays dans son existence même et ses frontières, ont un impact direct et immédiatement observable sur la bande dessinée. Lindépendance retrouvée du pays en 1919, après sa disparition en tant quEtat, linvasion et loccupation allemande entre 1939 et 1945, le moment communiste jusquen 1989 puis la période contemporaine : autant de périodes déterminantes, entraînant des changements majeurs en Pologne, qui auront aussi affecté de manière radicale lévolution de la bande dessinée. Apparition ou disparition de personnages pour cause de non conformité avec lidéologie en vigueur, approche plus ou moins bienveillante des institutions, liens manifestes avec les publications dautres pays européens selon les périodes, et notamment avec les publications communistes françaises Vaillant et Pif pendant la période communiste... Cet ouvrage qui retrace lhistoire de la bande dessinée en Pologne, des origines au XXIe siècle, sur plus dun siècle, a été réalisé par les plus grands spécialistes polonais de la bande dessinée. Après lHistoire de la bande dessinée suédoise publiée dans la même collection, il propose au lecteur francophone la découverte dune nouvelle facette peu connue de la bande dessinée européenne.

12/2019

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BD tout public

Brek

Boris Brek, agent spécial désabusé et cynique, doit récupérer les plans d'un nouveau système de radar. L'échange tourne court, il est poursuivi par la police secrète et sa présence va faire remonter à la surface des souvenirs d'une époque qu'il préférerait oublier.

10/2018

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Cinéma

Jerzy Skolimowski. Signes particuliers

Après des poèmes remarqués et des scénarios pour Andzej Wajda et Roman Polanski (Les Innocents charmeurs, Le Couteau dans l'eau),Jerzy Skolimoski a été le représentant le plus talentueux du jeune cinéma polonais des années 60 avec Signes particuliers : néant, Walkover et Le Départ, salués alors avec admiration par Jean-Luc Godard. En 1967, Haut les mains ! lui vaut de graves problèmes de censure qui le forcent à s'exiler ; il entame une nouvelle carrière plus chaotique, marquée par d'autres grands films (Deep End, Le Cri du sorcier, Travail au noir, Le Bateau-phare, Ferdydurke). Il tourne en Italie, aux Etats-Unis et surtout en Angleterre, en s'adaptant admirablement à des contraintes économiques inconfortables. En 1991, il se retire pour s'adonner totalement à la peinture, qu'il a toujours pratiquée parallèlement au cinéma. Puis en 2008, c'est un très attendu retour avec Quatre Nuits avec Anna, suivi d'Essential Killing, deux films qui le placent à nouveau parmi les cinéastes contemporains les plus importants. Ce livre réunit des admirateurs de longue date de Skolimowski ; il a pour ambition de cerner les modulations d'une oeuvre protéiforme en mêlant entretiens avec le cinéaste, témoignages d'amis et de collaborateurs, mises en perspective historiques et essais critiques. Divisé en quatre parties correspondant aux quatre étapes du parcours de Skolimowski : les premiers films en Pologne (1959-1967) ; l'exil (1967-1991) ; la peinture (1992-2008) ; le retour au cinéma et en Pologne (2008-2012), l'ouvrage forme un ensemble critique très riche où se répondent des points de vues variés.

02/2013

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Littérature française (poches)

Le labyrinthe de Jerzy

II était une fois un être. Sans se souvenir comment, sans en voir le pourquoi, il s'est éveillé dans un monde qui ne le comprenait pas. Là où il voyait l'unique, ce monde lui inculquait le multiple. De cette scission est né le chaos, de ce chaos est née la peur, et sur les fondations de cette peur s'est élevé le Labyrinthe. C'est au centre du labyrinthe que se trouve sa fin. C'est là qu'on peut découvrir une issue, tourner les verrous dans les clés pour trouver le sens du labyrinthe. Pour cela il nous faut gagner notre liberté, nous devons nous rencontrer. Mon feu brûle comme jamais et éclaire un morceau de l'axe de séparation. Un bruit sourd, un tremblement. La pierre vibre et le monde s'ouvre enfin à moi. Vais-je m'ouvrir au monde ?

12/2009

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Poches Littérature internation

Piotr. Roman d'un tsar

Piotr, ou Pierre le Grand. Illustre Tsar, ou sanguinaire vorace. Ce roman retrace le parcours épique d'un personnage surprenant, de victoires fallacieuses en conquêtes historiques, au gré de folles ambitions qui firent entrer la Russie dans la modernité du dix-huitième siècle. Bienfaiteur et assassin, visionnaire inspiré et bourreau, amoureux et traître, telle est la description par Klabund du puissant empereur russe. Un chef-d'oeuvre.

08/2012

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Photographie

Photographisme. William Klein, Gérard Ifert, Wojciech Zamecznik

Mais ce que l'on sait moins est que ce dialogue entre photographie et arts graphiques est particulièrement fécond pendant les deux décennies qui suivent la fin de la Seconde Guerre mondiale (1945-1969). Si plusieurs graphistes s'essaient alors à la pratique du photomontage, d'autres affectionnent plutôt l'abstraction formelle permise par la photographie. Leurs photogrammes et dessins lumineux, obtenus grâce à d'innovantes expérimentations, sont appliqués à la publicité, à des affiches d'évènements culturels, à des couvertures d'ouvrages ou de pochettes de disques. Dans cette lignée, Gérard Ifert (Bâle, 1929), William Klein (New York, 1928) et Wojciech Zamecznik (Varsovie, 1923-1967) inventent, dans les années 1950 et 1960, de nouvelles formes d'expressions " photo-graphiques ". Ces trois personnalités, actives dans des domaines d'application distincts, opèrent néanmoins dans des contextes culturels assez proches, marqués non seulement par l'héritage du Bauhaus, mais également par celui de l'art concret et par les développements contemporains de l'abstraction gestuelle ou du cinétisme. Au moyen de captations photographiques des vibrations lumineuses, d'effets rythmés de montage et de jeux de couleurs, tous trois s'attachent à retranscrire les sensations dynamiques telles la vitesse, l'expérience de la foule ou l'ultra-mobilité. Cet ouvrage présente plus de 200 photographies et documents, pour la plupart inédits ou méconnus, qui éclairent un pan important de l'histoire des relations entre photographie et arts graphiques dans les années d'après-guerre. Un texte de Julie Jones replace le photographisme dans l'histoire de la photographie, un texte de Catherine de Smet éclaire le travail de chacun des artistes au regard du graphisme, tandis que Karolina Lewandowska retrace leur parcours.

11/2017

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