Recherche

Vittorio Gregotti

Extraits

ActuaLitté

Essais

Le territoire de l’architecture

Publié pour la première fois en Italie en 1965, cet ouvrage est un des classiques de la littérature architecturale du XXe siècle. Vittorio Gregotti est alors un architecte très actif et une figure de la scène intellectuelle internationale. Dans ce véritable manifeste, il développe les thèmes fondamentaux de ses préoccupations théoriques et de sa démarche professionnelle - le rapport entre géographie et architecture et la défense d'une approche globale du fait urbain -, ainsi qu'une réflexion sur le devenir du métier d'architecte au-delà de toute utopie et de toute capitulation "pour un professionnalisme servile". Umberto Eco, dans sa préface, resitue ce livre dans le contexte spécifique du débat culturel italien d'alors, qui s'articule autour des deux axes du "rêve léonardien de l'architecte des années cinquante" et de "l'atmosphère interdisciplinaire et critique de la nouvelle avant-garde". "Si la géographie est la manière dont les signes de l'histoire se solidifient et se superposent en une forme, le rôle du projet d'architecture est de mettre au jour, à travers la transformation de la forme, l'essence du contexte environnant."

05/2023

ActuaLitté

Littérature française

Vittoria

Le Londres mondain de 2013. Une danseuse étoile italienne et un jeune Anglais bien sous tous rapports se rencontrent sur une musqiue de Prokofiev. Mélangez, secouez, la vie et la mort fleurissent puis explosent.

09/2023

ActuaLitté

Littérature étrangère

Maria Vittoria

1923, dans un hameau perdu au coeur des Dolomites. Maria Vittoria est une jeune femme belle et discrète. Quand son père désigne pour elle son futur époux, Maria s'incline, et bientôt le couple fonde un foyer et ouvre un magasin. Or l'ombre du fascisme et la menace de la guerre pourraient bien rompre l'équilibre et séparer les familles. Entre amour et haine, jalousie et générosité, foi et raison, Maria devra choisir son destin. Au prix, parfois, d'immenses sacrifices... Avec Maria Vittoria, Elise Valmorbida livre un sublime portrait de femme et nous donne à voir le visage authentique d'une Italie Méconnue. Une saga poignante, en cours de traduction dans sept pays, qui n'est pas sans rappeler Suite française d'Irène Némirovsky ou encore La Bicyclette bleue de Régine Deforges. Un roman profondément émouvant sur la vie d'une femme en temps de guerre, un nouvel Autant en emporte le vent. PopSugar Ensorcelant. The Times

09/2018

ActuaLitté

Cinéma

Paolo et Vittorio Taviani. Entretien au pluriel

Paolo. On nous a demandé parfois pourquoi nous faisions du cinéma. La réponse est que nous pratiquons le cinéma comme un acte d’amour, pour aimer et pour être aimés par des personnes que nous ne connaissons pas et que peut-être nous ne connaîtrons jamais. Vittorio. — Je ne sais pas comment je réussirais à me situer par rapport aux autres dans ces choses fondamentales que sont les relations amoureuses, érotiques, politiques, si je n’avais pas une identité bien précise grâce au travail que je fais, dans mon cas le langage que j’ai choisi et qui est le cinéma. Alors, dans ce sens, le cinéma est ma vie parce que sinon je serais seulement un fantôme et tous les rapports avec les autres se dissoudraient dans le brouillard.

11/1993

ActuaLitté

Littérature française

Vittoria Accoramboni. Une nouvelle de Stendhal

Vittoria Accoramboni, duchesse de Bracciano est un récit de Stendhal non signé et publié dans la Revue des deux Mondes le 1er mars 1837, qui appartient à la série des Chroniques italiennes. Le texte appartient à la série principale des Chroniques italiennes, basée sur les manuscrits du fonds Caetani, découverts et copiés par Stendhal en 1833. A l'instar des autres récits de cette série (Les Cenci, La Duchesse de Palliano, L'Abbesse de Castro, Trop de faveur tue et Suora Scolastica), Stendhal affecte de se borner à traduire un texte italien. Ainsi, Vittoria Accoramboni s'ouvre-t-il par un avertissement : "Malheureusement pour moi comme pour le lecteur, ceci n'est point un roman, mais la traduction fidèle d'un récit fort grave écrit à Padoue en décembre 1585" . Cette coquetterie d'écriture se révèle vraie dans le cas de Vittoria Accoramboni, chronologiquement le premier texte de la série, et de plus en plus fausse avec les textes suivants, où Stendhal s'éloigne très largement des originaux. Stendhal, cependant, ne rend pas compte des conditions exactes dans lesquelles il est entré en possession du manuscrit mais file l'histoire d'un vieux patricien de Mantoue "fort riche et fort avare" consentant après force négociation à le laisser copier "quelques historiettes" . Après une ultime précaution oratoire, appelant le lecteur à ne point chercher dans le texte un roman à la mode, au "style piquant, rapide" , s'ouvre l'histoire de Vittoria Accoramboni, duchesse de Bracciano. Vittoria Accoramboni, aristocrate née dans le duché d'Urbino, est une jeune fille à la beauté et au charme extraordinaires, objet de la dévotion de tous ceux qui la croisent. Parmi de nombreux prétendants, les parents de Vittoria choisissent de la marier à Félix Peretti, neveu du cardinal Montalto, futur pape Sixte Quint. Vittoria est adorée par sa belle-famille, le cardinal Montalto étend sa protection et ses faveurs aux trois frères de la jeune femme.

01/2023

ActuaLitté

Histoire internationale

Au temps de Victorio. De mémoire apache

James Kaywaykla, Apache warm spring, a vécu suffisamment longtemps pour pouvoir raconter l'histoire de sa tribu. Né en 1877, il faisait partie de ces enfants Apaches qui, dès leur plus jeune âge ont été, avec leurs familles, perpétuellement en alerte, bringuebalés dans les vastes contrées de la Sierra Madre, de l'Arizona et du Nouveau-Mexique au gré des combats qui ont émaillé les guerres menées par Victorio, Nana, Juh puis Geronimo, avant d'être, avec tous les Chiricahuas, déportés en Floride en 1886. L'intérêt et la passion que les Apaches ont suscités chez Eve Bali, font qu'elle a consacré une grande partie de sa vie à faire connaître leur histoire en consignant les paroles de ceux avec lesquels elle a pu s'entretenir. James Kaywaykla a été l'un de ses principaux interlocuteurs. La bande de Kaywaykla, les Chihennes du groupe des Warm Springs, appartient à la grande tribu des Chiricahuas. Au début de ce récit, cette bande est dirigée par le digne successeur de Mangas Coloradas, Victorio, un chef qui a exercé sur son peuple presque autant d'ascendant et d'autorité que Cochise. Eve Bali rapporte ici la version que Kaywaykla et ses proches ont de leur histoire entre 1878 et 1963, année de la mort de Kaywaykla. Après la disparition de ceux qui racontèrent à Bali les événements, les générations qui ont suivi n'eurent plus l'occasion d'apprendre l'histoire de leur peuple à travers un récit de première main comme celui-ci."

09/2014

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté