« Historiquement, Dieu et moi avions toujours partagé une indifférence réciproque », commence Vitaly Malkin. Tant que le premier n’empiétait pas sur la vie du second, en fait. Mais au début des années 2000, le retour d’un religionnisme commence à déranger l’ancien banquier russe, devenu sénateur, « puis logiquement, philanthrope », plaisante-t-il. À cet instant, la moutarde lui monta au nez : Illusions dangereuses découle de cet agacement.