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Grec ancien - Littérature

Tragédies

Eschyle est un des grands maîtres, tragique de la Grèce Antique. Pour beaucoup, il a même participé à créer ce genre. Il fut un auteur prolifique, en créant plus d'une centaine de pièces, mais seulement 7 d'entre elles nous sont parvenues. Nous les avons réunies dans ce recueil. Le style de ses pièces est épuré et direct allant à l'essentiel : l'existence humaine dans ses aspects tragiques, angoissants et dramatiques. Découvrez et revivez l'émotion que procure la lecture de ces pièces, pour en tirer des vérités qui restent intemporelles. Plongez dans l'univers intemporel des tragédies grecques avec cette édition intégrale des oeuvres d'Eschyle. Premier grand dramaturge de l'Antiquité, Eschyle nous offre un témoignage saisissant de la condition humaine, des conflits divins et des destins tragiques. Ce recueil comprend les pièces les plus emblématiques de l'auteur, explorant les thèmes de la justice, de la vengeance et de la fatalité avec une profondeur inégalée. A travers des héros emblématiques comme Agamemnon, Prométhée ou les Euménides, Eschyle nous guide dans une réflexion profonde sur la moralité et la condition humaine. Pièces incluses : Agamemnon : Le roi Agamemnon retourne triomphant de la guerre de Troie, mais un destin funeste l'attend chez lui. Les Khoèphores : Orestes revient pour venger son père Agamemnon, tué par Clytemnestre. Les Euménides : La suite des Khoèphores, où Orestes est poursuivi par les Furies et cherche rédemption. Les Suppliantes : Les Danaïdes fuient pour éviter un mariage forcé et cherchent refuge en Argos. Les Perses : Une réflexion unique sur la défaite des Perses à la bataille de Salamine. Les Sept contre Thèbes : La guerre fratricide entre les fils d'Œdipe. Prométhée enchaîné : Le titan Prométhée, puni par Zeus pour avoir donné le feu aux hommes

09/2024

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Collection Budé

Tragédies

L'Antiquité grecque était prolixe en légende, même à propos de ses poètes. Ainsi on racontait qu'Euripide était né le jour même où Eschyle combattait à Salamine et que Sophocle triomphait au péan. Pourtant, à la différence de ces deux illustres prédécesseurs, l'auteur d'Hippolyte ne connut guère la faveur populaire. Il n'obtint à Athènes que quelques fois le premier prix et s'exila, à la fin de sa vie, à Pella, auprès du roi Archélaos, en partie pour fuir les quolibets de ses concitoyens, notamment d'Aristophane. Sa gloire fut en grande partie posthume, grâce à son fils Euripide le jeune, qui consacra la majorité de son talent à faire jouer les pièces de son père. Si Euripide a écrit plus de 90 pièces ainsi que des poèmes lyriques et des élégies, seules 19 de ses pièces nous sont parvenues, en comptant l'énigmatique Rhésos. L'édition de Louis Méridier rassemble en deux volumes Le Cyclope, Alceste, Médée, Les Héraclides, Hippolyte, Andromaque et Hécube. La riche introduction du tome I fournit une biographie commentée et mise en question, de l'auteur, ainsi qu'une présentation minutieuse de l'histoire, complexe, des manuscrits. Chaque oeuvre est en outre précédée d'une notice proposant de judicieuses pistes de lecture, notamment quant au genre de la pièce ainsi que de son argument. Enfin, des notes accompagnent et éclairent la lecture. Tome I : Le Cyclope, Alceste, Médée, Les Héraclides, Tome II : Hippolyte, Andromaque, Hécube.

05/1998

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Théâtre

Tragédies

Cette édition propose des traductions qui, presque toutes, ont déjà subi (victorieusement) l'épreuve de la scène. Soucieuses de la théâtralité du texte et de son oralité, elles respectent l'alternance de vers (rimés ou non) et de prose, et s'efforcent de rendre justice au pouvoir d'invention poétique et dramaturgique de Shakespeare. Elles sont dues, pour la plupart, au maître d'ouvre de l'édition, Jean-Michel Déprats, qui les soumet ici à une nouvelle épreuve : celle de la confrontation avec l'original anglais. Car cette édition est bilingue. Autre vérité bonne à dire : depuis le XVIIe siècle, le texte des ouvres de Shakespeare n'a cessé d'être « amélioré » par ses éditeurs successifs. Rien d'étonnant à cela : aucune édition ancienne n'est susceptible de servir de référence absolue. On croit d'ailleurs savoir que Shakespeare n'est pas intervenu personnellement dans la publication de ses pièces. Il convenait donc de tenir le plus grand compte de la mouvance du texte et, dans le même temps, de se garder d'une sorte d'« impressionnisme éditorial » qui aurait consisté à s'autoriser des manipulations de toute nature dans l'espoir toujours déçu de saisir l'insaisissable, de retrouver ce qui est perdu : « le véritable Shakespeare ». Shakespeare reste un mystère...

04/2002

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Théâtre - Pièces

Tragédies

Jean de Virey (1548-1623) a reçu une formation de juriste sanctionnée par le grade de Licencié en lois puis il a embrassé l'état militaire aux côtés de Jacques Goyon de Matignon qui fut son mentor. À l'issue des guerres civiles qui ont ravagé la France il publie chez Raphaël du Petit Val, à Rouen, trois tragédies en alexandrins : La Machabee, martyre des sept frères et de Solomone leur mère (1595), puis La Bienheureuse victoire des Machabées sur le roy Anthiocus et la Tragédie de Jeanne d'Arques (1600). Les deux premiers sujets coïncident avec ceux des polémistes qui se sont exprimés pendant la Ligue (1572-1592) dont la Satyre Menippee et les Avertissements des catholiques anglais aux catholiques français. Le recours à l'exemple des Machabées est une banalité de l'époque qui autorise la comparaison entre les massacres perpétrés à Jérusalem sous le règne d'Antiochus IV et les troubles récents vécus par les Parisiens lors du siège de la ville par les troupes d'Henri IV. Le thème de Jeanne d'Arc s'il est absent des polémiques se trouve valorisé par quelques contemporains de Virey comme Béroalde de Verville ou Fronton du Duc et marque l'intérêt naissant pour les sujets d'histoire. L'unité de l'oeuvre se trouve dans la dénonciation du détournement des lois ; ce théâtre revêt donc un fort aspect politique. Cette préoccupation donne à l'écriture de Virey un tour parfois satirique distillé dans des stéganographies dont il a le secret. Il revisite ses sources : Flavius Josèphe, la Bible ou l'histoire de Jeanne et prend pour modèle dramaturgique ses contemporains Jodelle, Filleul et Garnier tout en se souvenant de Virgile et de Sénèque. L'oeuvre de Virey reçut à son époque un accueil chaleureux, elle fut primée et jouée de nombreuses fois tant à Valognes, sa ville natale, qu'à Rouen. Les participations multiples aux recueils quinquennaux initiés par son éditeur prouvent également l'intérêt prolongé que les lecteurs portaient à ses textes. Comme tout témoignage direct de son temps, l'oeuvre a perdu de son impact jusqu'à l'oubli que le présent travail tente de réparer.

10/2013

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Non classé

Tragédies

Cette édition propose des traductions qui, presque toutes, ont déjà subi (victorieusement) l'épreuve de la scène. Soucieuses de la théâtralité du texte et de son oralité, elles respectent l'alternance de vers (rimés ou non) et de prose, et s'efforcent de rendre justice au pouvoir d'invention poétique et dramaturgique de Shakespeare. Elles sont dues, pour la plupart, au maître d'ouvre de l'édition, Jean-Michel Déprats, qui les soumet ici à une nouvelle épreuve : celle de la confrontation avec l'original anglais. Car cette édition est bilingue. Autre vérité bonne à dire : depuis le XVIIe siècle, le texte des ouvres de Shakespeare n'a cessé d'être « amélioré » par ses éditeurs successifs. Rien d'étonnant à cela : aucune édition ancienne n'est susceptible de servir de référence absolue. On croit d'ailleurs savoir que Shakespeare n'est pas intervenu personnellement dans la publication de ses pièces. Il convenait donc de tenir le plus grand compte de la mouvance du texte et, dans le même temps, de se garder d'une sorte d'« impressionnisme éditorial » qui aurait consisté à s'autoriser des manipulations de toute nature dans l'espoir toujours déçu de saisir l'insaisissable, de retrouver ce qui est perdu : « le véritable Shakespeare ». Shakespeare reste un mystère...

04/2002

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Antiquité - Essai

Tragédies complètes

"Une sorte d'épouvante emplit Eschyle d'un bout à l'autre ; une méduse profonde s'y dessine vaguement derrière les figures qui se meuvent dans la lumière. Eschyle est magnifique et formidable, comme si l'on voyait un froncement de sourcil au-dessus du soleil", Victor Hugo.

08/2015

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