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Sidiki Kaba

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Sociologie

Sidiki Bakaba

Ce livre est la compilation des communications prononcées par des enseignants-chercheurs, chercheurs et praticiens des Arts du spectacle à l'occasion du Colloque international intitulé "Sidiki Bakaba, un engagement au service des Arts du Spectacle africains", qui s'est tenu les 16, 17 et 18 Novembre 2018, à l'Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody-Abidjan (Côte d'Ivoire). Au cours de cette rencontre scientifique autour de l'immense oeuvre tant théâtrale que filmique de l'artiste ivoirien, Sidiki Bakaba, les communicateurs, venus d'Amérique, d'Europe et d'Afrique, ont porté leurs regards critiques à la fois sur la thématique, l'esthétique et l'idéologie que charrient aussi bien les mises en scènes théâtrales, les réalisations filmiques que l'interprétation des rôles par le talentueux comédien. N'ont pas échappé à la sagacité des critiques, ses entreprises et engagements en faveur de la promotion des arts et de la culture d'Afrique. Ainsi, y trouve-t-on des regards pluridisciplinaires, fruits des réflexions de spécialistes d'études théâtrales et filmiques, de linguistes, d'historiens, de sociologues, de musicologues, etc. Des réflexions qui ont permis de savoir et de comprendre que Sidiki Bakaba est un artiste pluridimensionnel qui a su conférer aux Arts du spectacle leur vocation première : celle d'être au service de l'humain, dans sa quête légitime de valeurs qui donnent un sens à la vie... (Propos d'André Banhouman Kamate).

10/2019

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Droit

La justice universelle en question. Justice de blancs contre les autres ?

L'intérêt de l'ouvrage de Sidiki Kaba est de mettre constamment en perspective certaines ambiguïtés de la justice pénale internationale, les ressorts politiques qui les sous-tendent inévitablement, et le caractère encore inachevé de l'édifice en cours. En évoquant les cas de Charles Taylor, de Saddam Hussein, de Pinochet et de Hissène Habré, Sidiki Kaba relate fort opportunément les calculs politiques qui ont entouré leurs procès, ou l'absence de procès en ce qui concerne l'ancien dirigeant tchadien. Le lecteur saisit sans mal la trame politique des procédures inachevées ou expéditives (Pinochet, Saddam Hussein et Hissène Habré) et des délocalisations sans raison, sinon politique, des procès (Charles Taylor). L'expérience acquise au cours des six années passées à la présidence de la principale organisation de défense des droits de l'homme, la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH), confère incontestablement à Sidiki Kaba l'autorité et la légitimité nécessaires pour formuler des suggestions destinées à consolider les fondations dans le domaine des droits civils et politiques, et à les étendre aux droits économiques et sociaux, voire écologiques. Pr Albert Bourgi.

05/2010

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Histoire internationale

Les acteurs de la justice au Sénégal de 1960 à nos jours

"Je trouve incroyable de ne pas tenir l'archive de son existence, tant on risque de l'abandonner au vice de l'oubli". Cette belle pensée du grand écrivain et voyageur Français Sylvain Tesson, au-delà de sa véracité, nous invite à une prise de conscience mais aussi et surtout, elle fait appel à notre responsabilité collective quant à la nécessaire conservation de notre histoire commune. C'est pourquoi nous avons entrepris d'élaborer une documentation retraçant l'odyssée de notre justice à travers ses illustres hommes et femmes, ses dates importantes et ses procès saillants. Le présent document, consacré aux personnages qui ont animé celle-ci de 1960 à aujourd'hui, répond, en partie, à cet impératif. Maître Sidiki Kaba, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice.

10/2017

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Science-fiction

Kabu Kabu

Avec , plongez dans les méandres des nouvelles de Nnedi Okorafor, l'autrice de Qui a peur de la mort ? (dont la série est en développement par HBO). Embarquez en direction de l'aéroport de New York dans un kabu kabu, taxi clandestin qui vous fera traverser les légendes africaines. Découvrez une musicienne qui joue de la guitare pour un zombie particulier. Rencontrez Arro-yo, la coureuse de vents la chevelure maudite, qui se bat pour exister sur l'étrange planète Ginen. Vingt-et-une nouvelles vers un ailleurs étonnant et passionnant.

01/2020

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Littérature française

Taba-Taba

Le roman commence à Mindin, en face de Saint-Nazaire, au début des années 1960, dans un lazaret devenu hôpital psychiatrique : un enfant boiteux, dont le père est administrateur du lieu, se lie d'amitié avec un des internés, un ancien de la marine qui, se balançant d'arrière en avant, répète sans cesse la même formule énigmatique : Taba-Taba. A partir de là, Patrick Deville déroule le long ruban de l'Histoire, en variant le microscope et le macroscope. Car la France, ce n'est pas seulement l'Hexagone : le narrateur se promène autour de la planète, pour rappeler l'épopée coloniale avec ses désastres mais aussi ses entreprises audacieuses (canal de Suez, de Panamá). Cette grande fresque romanesque va de Napoléon III aux attentats qui ont ensanglanté récemment le pays, en passant par la Grande Guerre et ses tranchées, puis par le Front populaire, la Débâcle, l'Occupation, la Résistance, le Vercors, la Libération.

08/2017

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Littérature étrangère

Koba

Dans son vingtième roman, Robert Littell met en scène pour la première fois un enfant comme héros et narrateur. Le jeune Léon est à la fois intellectuellement précoce et d'une candeur désarmante ; ses rencontres avec un péremptoire vieillard dont il ignore l'identité seront surprenantes et instructives pour l'un comme pour l'autre. La Maison du quai est un vaste immeuble à Moscou, où logent des fonctionnaires, des apparatchiks soviétiques, ainsi que le jeune Léon Rozental. Après la mort de son père, physicien nucléaire, dans un accident de laboratoire, et l'arrestation de sa mère pendant la purge stalinienne des médecins juifs, Léon et d'autres enfants se cachent du NKVD dans les pièces secrètes du bâtiment. Lors d'une expédition souterraine, il découvre un passage menant à une immense salle de bal désaffectée. Il y rencontre Koba, un vieil homme peu avenant dont l'appartement est protégé par plusieurs gardiens jouant aux échecs. Koba est un officier soviétique haut placé, plus important encore que Léon ne peut l'imaginer, et qui connaît de façon troublante les pensées et machinations du camarade Staline... Dans ces conciliabules entre un jeune garçon naïf et un tyran paranoïaque, Robert Littell fait un portrait ambigu du dictateur soviétique, montrant son côté humain et en même temps une inconscience totale par rapport aux souffrances qu'il a infligées au peuple russe des décennies durant. Le charme et la spontanéité du jeune Léon en font un personnage irrésistible — et qui n'est pas sans rappeler Holden Caulfield, à qui il avoue s'identifier — pris dans la toile d'araignée du récit tissé par cette figure énigmatique.

05/2019

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