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Pauline Flepp

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BD tout public

Fleep

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11/2018

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Littérature française

Le roman d'Esther

"Il y avait le jardin, c'était l'été, elle était trop belle pour aimer mes livres". Antoine Gardel, célèbre romancier, est en prison pour avoir tué Esther Monod, étudiante en lettres qui lui consacrait son mémoire. Dans l'espoir de comprendre cet accès de violence et de faire "revivre" Esther, il décide d'écrire leur histoire. De sa rencontre avec cette jeune femme tout droit sortie d'un film de la Nouvelle Vague jusqu'au dénouement tragique, il raconte pas à pas la naissance d'un amour noir, entre entêtement et envoûtement. Avec une rare acuité, Pauline Flepp met en scènela passion amoureuse et dissèque les sentiments jusqu'au vertige.

03/2016

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Critique Poésie

Francis Ponge, entre singularité et appartenance. Compte tenu des autres et partis pris littéraires

Centré sur la tension sans cesse recomposée entre singularité et appartenance, avec une problématisation de ce qu'est l'écrivain en regard de la littérature, de la politique, de l'Histoire, de la vie sociale et de la famille, cet ouvrage propose un récit analytique du devenir écrivain de Ponge.

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Critique Poésie

Francis Ponge, entre singularité et appartenance. Compte tenu des autres et partis pris littéraires

Centré sur la tension sans cesse recomposée entre singularité et appartenance, avec une problématisation de ce qu'est l'écrivain en regard de la littérature, de la politique, de l'Histoire, de la vie sociale et de la famille, cet ouvrage propose un récit analytique du devenir écrivain de Ponge.

03/2023

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Revues

Cahiers Francis Ponge N° 4/2021

Contributeurs : Benoît Auclerc, Pauline Flepp, Delphine Hautois, Camille Koskas, Francis Ponge, Christian Prigent et Michel Schmitt.

11/2021

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Littérature française (poches)

Pauline

" Pauline était vêtue de brun avec une petite collerette d'un blanc scrupuleux et d'une égalité de plis vraiment monastique. Ses beaux cheveux châtains étaient lissés sur ses tempes avec un soin affecté ; elle se livrait à un ouvrage classique, ennuyeux, odieux à toute organisation pensante : elle faisait de très petits points réguliers avec une aiguille imperceptible sur un morceau de batiste dont elle comptait la trame fil à fil. La vie de la grande moitié des femmes se consume, en France, à cette solennelle occupation. "

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