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Murmel Clausen

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Littérature érotique et sentim

Elle est pas belle la vie ?

Jens Fischer n'a vraiment pas beaucoup de succès en amour et il a perdu tout espoir de fonder un jour une famille. Il est donc devenu donneur dans une banque du sperme : comme ça, au moins, il transmettra son formidable patrimoine génétique ! Mais, un jour, son gentil furet familier le mord vigoureusement à un endroit, comment dire... très sensible, le rendant complètement stérile. Un " incident " franchement traumatisant. Jens décide alors de retrouver la dernière femme qu'il a anonymement mise enceinte avec son don de sperme. Il s'agit de Maren, jeune femme très belle, mais aussi très mariée ! Jens n'a désormais plus qu'un seul objectif dans sa vie : conquérir le coeur de la future mère de son enfant...

04/2013

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Littérature scandinave

La clause paternelle

Deux fois par an, un grand-père revient en Suède voir ses enfants, désormais adultes. Son fils — en congé paternité avec deux petits en bas âge — est un raté névrotique. Sa fille — abandonnée par son propre enfant — est tombée enceinte d'un pauvre type. Seul le grand-père — le fier patriarche — est parfait. Du moins, selon lui... car les visites du père prodigue semblent moins motivées par l'amour qu'il porte à sa progéniture que par l'opportunisme et la nécessité. En effet, ces passages réguliers lui permettent de conserver son titre de séjour. C'est aussi l'occasion pour lui de remettre de l'ordre dans ses démarches administratives et fiscales. Ou plus exactement, de déléguer ces tâches à son fils. Car quand le père rentre, il est entendu que son fils s'occupe de tout. Il ignore que ce dernier a pris une décision qui va tout bousculer : il veut remettre en question la clause paternelle. Mais une telle clause est-elle réellement négociable ?

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Littérature scandinave

La Clause paternelle

Deux fois par an, un père qui est aussi grand-père rentre en Suède. Officiellement pour retrouver son fils qui est aussi un père et sa fille qui n'est plus une mère. En réalité pour ne pas perdre son titre de séjour et pour que son fils s'occupe de toute sa paperasse. Mais cette fois, la coupe est pleine et ce dernier estime qu'il est grand temps de remettre en cause la clause paternelle qui stipule qu'un fils doit s'occuper de son père. Mais cette clause est-elle négociable ? Ce roman a reçu le prix Médicis étranger 2021.

02/2024

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Critique

Hymne à Muriel Cerf

Muriel a toujours entretenu une relation difficile avec sa mère. Elle l'enjoint d'écouter, et comme si elle craignait de devoir la convaincre pour ce faire, elle ajoute en soulignant "parce que" , que "la beauté et la force existent" , souligne encore le mot "sublimes" plus loin, comme pour lui expliquer que c'est le sublime qui fait tout ça être beau et fort, avant de revenir sur les "cheveux blancs" qu'elle associe à l'accouchement de son nouveau roman. Or Muriel, fille unique, a su de la bouche de sa mère que cette dernière avait accouché sous anesthésie générale de peur de sentir la douleur. Le titre, La Nativité à l'étoile, en dit long. Muriel n'accouchait pas sans douleur de ses enfants, ses livres, car le sublime, aussi beau et fort qu'il soit, n'est pas un accouchement sans douleur. Muriel, en accompagnant Raphaël dans sa souffrance intérieure, souffre avec lui. Elle se demande elle aussi si elle est indispensable et ce que signifie cet "indispensable" . C'est une question douloureuse et inhérente à toute personne qui risque un enjeu dans sa vie. Edward Bond dit à ses acteurs qu'ils doivent tous se demander chaque jour : "Pourquoi est-ce que je veux être acteur ? " . C'est une interrogation qui s'assimile à celle de Raphaël dans ce roman qui "avait la confuse et dérangeante certitude qu'à elle, il aurait pu l'être" (indispensable). Peut-on être un acteur sans répondre à la question "pourquoi est-ce que je veux être acteur ? " , sans trouver dans sa valeur personnelle d'acteur une raison indispensable pour poursuivre dans cette voie ? Je ne crois pas. C'est pourquoi la question que soulève ici Muriel Cerf est extrêmement pertinente. Il faut bien avoir la foi à un moment donné en un acte pour oser le fonder, parce que si quelqu'un d'autre peut le faire aussi bien, voire mieux que moi, alors pourquoi est-ce que je me fatiguerais à risquer un tel enjeu ?

08/2021

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Droit

La notion de clause pénale

Incontestablement, une étude sur la notion de clause pénale s'imposait en raison des multiples intérêts qui y sont attachés. Intérêt théorique, d'une part, d'une notion qui se trouve au confluent des questions et des concepts aussi essentiels pour le juriste que la liberté contractuelle, la force obligatoire, l'équité, la peine privée et la séparation. Intérêt pratique, d'autre part, de mieux cerner une notion qui s'épanouit dans des domaines aussi variés que les droits des contrats, le droit du crédit, le droit du travail et jusque dans les libéralités. Enfin, plus de quinze ans après la réforme législative de 1975 qui a permis au juge de réviser les peines conventionnelles „ manifestement excessives s, il était particulièrement intéressant de rechercher si la clause pénale ressortait affaiblie ou, au contraire, régénérée de l'exercice du pouvoir de révision judiciaire. Dans ces diverses perspectives, l'auteur s'est livré à un important travail de clarification et de classification rendu nécessaire par l'impressionnant désordre terminologique et conceptuel qui règne dans la matière des clauses relatives à la formation, l'exécution ou la rupture du contrat, ainsi qu'à un examen minutieux de la Jurisprudence antérieure et postérieure à la loi de 1975. Parce qu'en définitive, il met eu lumière les traita caractéristiques de la notion de clause pénale et permet, notamment, de la distinguer des multiples clauses et indemnités avec lesquelles elle est trop souvent confondue, l'ouvrage intéressera non seulement ceux des étudiants, enseignants et chercheurs que l'exploration de l'univers contractuel passionne mais aussi ceux des praticiens qui s'y meuvent quotidiennement.

10/1998

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Cinéma

Muriel Baptiste : La vie, quelle gifle !

Patrick Sansano a découvert Muriel Baptiste dans la première diffusion de la série de "La Princesse du rail". Il avait sept ans et a suivi de près la carrière de cette comédienne parmi les plus populaires du petit écran. Vedette de cinq séries TV entre 1965 et 1973, elle a fait quelques apparitions au cinéma et régnait également au théâtre. Après une décennie de succès, elle disparaît des écrans et de la presse spécialisée. En 2007, l'auteur consacra une biographie à celle qui fut l'inoubliable Marguerite de Bourgogne des " Rois maudits" en 1972 ; Muriel Baptiste, la reine foudroyée, véritable ode à la comédienne, laissait des questions en suspens. Après sept ans d'enquête et d'interviews de proches qui l'ont connue, les réponses se font jour. Sans voyeurisme aucun, l'auteur nous livre l'enfance, la vie privée, les démons, la maladie de Muriel Baptiste, ou comment les saltimbanques sont fragiles, comment le vedettariat est éphémère. Avec un immense respect, il remet en lumière celle qui n'aurait jamais dû la quitter.

07/2014

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