Michael Bond, Robert W. Alley

L'écrivain britannique a été choisi par les héritiers de Ian Fleming pour rédiger le prochain opus des aventures de l'espion le moins incognito du monde, James Bond. L'auteur d'Un Anglais sous les Tropiques et de La Vie aux aguets a confié qu'il ferait évoluer James Bond sur un fond de Guerre froide, à la fin des années 60.

L'auteur britannique Michael Bond, créateur de l'ours Paddington, est décédé le 27 juin 2017 à l'âge de 91 ans, a annoncé son éditeur HarperCollins. S'il est connu en France à travers ce personnage, il avait signé bien d'autres ouvrages et créé d'autres personnages, comme Olga da Polga et Monsieur Pamplemousse.

Michael Jackson en studio avec Robert Burns, poète écossais

L'annonce a été faite par les ayants droit de Ian Fleming, confirmant une information qui circulait déjà depuis le mois de décembre. C'est bien William Boyd qui sera l'auteur d'un prochain roman mettant en scène les aventures de l'agent secret de Sa Majesté le plus connu. 

Un jour de 1958, inspiré par un ours en peluche qu'il avait offert à son épouse, Michael Bond a créé ce qui deviendrait un personnage culte de la littérature pour enfants, A Bear called Paddington. A raison d'une publication par an, jusqu'en 1981, l'animal de fiction est devenu une célébrité, dont les histoires se déclinèrent en série TV quotidienne, ou encore en timbres estampillés Royal Mail. Cette année, c'est avec la magie de l'équipe de production de Harry Potter que l'aventure prend un nouveau départ cinématographique.

L'écrivain, scénariste et réalisateur britannique William Boyd s'est vu confier l'écriture du prochain roman officiel de la série James Bond créée par Ian Fleming. La parution du livre est prévue pour l'année prochaine, à l'occasion du 60e anniversaire de la sortie du premier opus : Casino Royale. Et le romancier, qui rejette l'image de « personnage de dessin animé » caractérisant 007 dans les diverses adaptations cinématographiques, a affirmé vouloir renouer avec un protagoniste torturé, plus conforme avec la vision de son créateur... et dont les nouvelles aventures se situeraient à la fin des sixties. 

Le 27 juin 2017, Michael Bond laissait Paddington et des millions de lecteurs orphelins. Quelques mois après la publication du dernier livre mettant en scène l'ours voyageur, un autre livre posthume sera bientôt disponible. The Ups and Downs of the Castle Mice poursuivra l'histoire commencée avec The Tale of the Castle Mice en 2016.

Tous les jours ou presque, on trouve des inédits d'auteurs plus ou moins connus. Cette fois-ci, il s'agit de l'auteur  Robert Louis Stevenson, qui a donné à la littérature anglo-saxonne quelques-uns de ses livres les plus connus. L'Île au trésor par exemple, ou encore le Maître de Ballantrae. L'essai qui a été retrouvé et publié aux États-Unis montre ce que l'écrivain pensait de l'écriture, de la sienne et de celle de ses contemporains. 

Michael Bond est le créateur de l'ours Paddington. Il a publié le premier livre de cette saga en 1958, et aujourd'hui à 88 ans, il redoute que l'on ne respecte pas sa volonté. Après lui, plus aucune nouvelle aventure de Paddington ne sortira – contrairement à la tendance actuelle, où des auteurs réputés s'emparent de personnages pour les faire revivre. « Je ne voudrais pas qu'un autre écrivain utilise Paddington », explique Bond. 

Directrice du marketing chez Albin Michel, Sylvie Hoare vient de prendre sa retraite, après 22 années au service de la maison de Francis Esmenard. Elle est remplacée depuis le 15 septembre par Mickaël Palvin. 

« Bond is back », nous annonce l'Associated Press, alors que l'agent secret le plus flegmatique du Royaume-Uni nous revient dans le roman Solo signé William Boyd. Comme le soutient son auteur, OO7 n'est plus tout à fait le même même s'il conserve ses mauvaises habitudes. Il prendrait désormais des airs de Daniel Day-Lewis, pour ressembler davantage au compositeur de chansonnettes américain Hoagy Carmichael auquel Ian Fleming faisait lui-même référence afin de mettre un visage sur son personnage fétiche. Un retour aux sources ?

La semaine dernière, l'association Culture Papier publiait une vaste enquête sur la relation des Français avec les supports papier et numérique. Un sondage, réalisé à partir d'un échantillon représentatif de la population, qui demande des précisions nécessaires. Michel Maffesoli, sociologue et cofondateur du Centre d'Études sur l'Actuel et le Quotidien, éclaire les quelques points de l'enquête.

D’un montant de 15.500 €, le Prix Michel Dard est remis tous les deux ans par le jury du Prix Valéry Larbaud, selon les vœux du testateur. Présidé par Jean-Marie Laclavetine, le jury a décerné le Prix Michel Dard à Michel Bernard pour son roman Le Bon Coeur paru aux Éditions de la Table Ronde.

This is it : Michael Jackson à demi ressuscité, à fond exploité

Dans un communiqué, la Conférence des présidents d’université (CPU) vient de vivement dénoncer une mesure qui a été proposée au cours du CNESER du 23 novembre 2015. Il s’agirait de mettre en œuvre un dispositif  permettant aux futurs bacheliers méritants d’intégrer des filières sélectives.

L’écrivain, poète et journaliste toulousain Claude Faber relaie une bien sombre nouvelle : le décès du « poète du bonheur intérieur », Michel Cosem, le 11 juin dernier. Il est le créateur de la revue Encres vives, mais aussi l’auteur d’une vaste œuvre, entre recueils de poésie, contes, anthologies, ou encore romans jeunesse ou pour les plus âgés.

Le Washington Post publie en mai 2004 une photo qui va choquer toute l'Amérique et le reste du monde. Elle représente une américaine tenant en laisse un prisonnier irakien dans la prison d'Abu Ghraib. C'est à partir de là que née 

Tiens, pourquoi confier à une jeune femme le soin de vous dire que Daniel Craig reprend du service pour la suite des aventures de James Bond au cinéma ? Machisme primaire, quand tu nous oppresses...

Valérie Robert

Le nom de l’auteur à lui seul suffit à emporter le lecteur dans une rêverie d’enfance. Les images de L’île au trésor se ravivent, la nostalgie des histoires de pirates et des grandes expéditions en mer se réveille et l’aventure peut naître, de nouveau. Ici, l’histoire est toute autre mais sa genèse possède déjà en elle une grande aventure et fait de ce récit une lecture assez passionnante, en tout cas inédite.

Au milieu des années 60, un agent du nom de James Albert Bond est envoyé à l’ambassade britannique de Varsovie. Ce bon père de famille au patronyme particulièrement peu discret va rapidement être mis sous surveillance par les services secrets polonais. 

Enchères : Fleming dédicace un James Bond... à James Bond

Michel Cymes, médecin et animateur télé aura propagé la bonne parole médicale durant une vingtaine d’années avec le Magazine de la Santé. Il travaille également sur RTL pour la chronique quotidienne, Ça va beaucoup mieux. Et désormais, il pilote une collection chez Solar : Cahiers Dr. Good, Santé et bien-être à la portée de tous.

Grand amateur de cirages de pompes en règle, Michel Drucker se livre dans un exercice d'un genre nouveau pour lui au sein de son dernier livre : Les 500 émissions mythiques de la télévision française (528 pages, Flammarion, 29,90 €), co-écrit avec le Belges Gilles Verlant.

La vérité est peut-être ailleurs, et vu que les épisodes de X-Files ont repris, on le saura probablement. Dans tous les cas, l’une des vérités est que Gillian Anderson, actrice phare de la série avec des extraterrestres et du FBI dedans, prendra la suite de James Bond. Auteure, activiste, auteure et productrice, elle devrait donc apparaître dans le prochain film.

Finalement, les deux géants Sony et MGM sont parvenus à trouver un terrain d'entente pour cofinancer le prochain long-métrage où le héros de Ian Fleming vivra de nouvelles aventures. Celui-ci et même ceux des cinq prochaines années, conformément à leur accord.

Tout en lui hurle au corps, crie son existence, sa vérité méconnue, son appétit de sensations et de geste, de contact, la fragilité de l’épiderme, sa saveur, et l’exil de la conscience en ses frontières.