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Mauro-Giuseppe Lepori

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Religion

Simon appelé Pierre. Sur les pas d'un homme à la suite de Dieu

Le prince des apôtres raconté par l'abbé général des cisterciens : un portrait intime, psychologique, humain de celui qui avait rêvé de ne jamais douter, mentir, trahir. Une histoire d'amour avec Dieu, vécue de l'intérieur. Comment la même personne a-t-elle pu tout quitter pour suivre un homme qu'elle ne connaissait pas, puis le renier après avoir reconnu en lui le messie ? Comment comprendre l'énigmatique " Quo vadis " et le martyr de l'Apôtre Pierre ? Ce parcours n'exprime-t-il pas le paradoxal désir infini d'amour qui réside en chaque homme ? Car le propos de Mauro Giuseppe Lepori est bien de montrer que la vie de Pierre est à l'image de la nôtre. A partir de 14 passages du Nouveau Testament, donc beaucoup sont des paroles de Pierre directement adressées à Jésus, nous entrons dans une proximité inédite avec le prince des Apôtres. Ses limites et ses qualités, ses péchés et sa sainteté, sa psychologie et son caractère sont révélés par les évangiles avec une précision étonnante. Bien plus qu'une énième biographie, l'étude de Mauro Giuseppe Lepori se lit comme une méditation sur l'existence.

11/2019

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Musique, danse

Giuseppe Verdi

Si jusqu'à ces dernières années notre connaissance de la vie de Verdi a reposé tout autant sur la légende que sur la vérité, la faute en revient au musicien lui-même ainsi qu'à certains de ses plus proches collaborateurs. C'est en effet sur la foi de leurs témoignages que se sont écrites jusqu'à présent toutes les biographies qui lui ont été consacrées, des témoignages non exempts de complaisance, car destinés à forger une image édifiante de celui qui demeure avec son contemporain Wagner le plus célèbre compositeur d'opéras de l'histoire de la musique. L'apport inestimable de M.J. Phillips-Matz est d'être parvenue à s'affranchir des clichés tenaces qui ont encore trop souvent cours : s'appuyant non plus sur de simples propos rapportés mais sur des documents authentiques, l'ouvrage remet en cause une bonne partie de ce que l'on considérait jusqu'ici comme la " vérité ", et dessine un portrait du compositeur autrement nuancé que celui officiel qu'avait voulu laisser Verdi lui-même où l'homme apparaît enfin avec toutes ses contradictions dans ses divers rôles. C'est tout à la fois le fils, le prétendant, le père, le mari, le patriarche, le musicien, l'homme de théâtre, le paysan, le propriétaire terrien, le député et le philanthrope qui sont ici présentés dans le détail de la vie quotidienne. Outre un tableau extrêmement vivant de la vie rurale et citadine de son Emilie natale avec ses clivages socio-culturels, sources de pittoresques querelles locales, le livre offre sur la toile de fond de la vie musicale italienne de l'époque des aperçus tout à fait neufs sur les difficultés que rencontra Verdi dans la composition et la production de ses opéras. Une large place est évidemment accordée à celle qui partagea sa vie pendant plus de cinquante ans, l'ardente Giuseppina Strepponi, tour à tour la diva prestigieuse de ses premiers succès, son amante puis sa deuxième épouse, personnage au parcours et à la personnalité vivement contrastés. Ainsi, cette biographie, saluée à sa sortie par la presse anglo-saxonne comme un événement capital, mêle à la rigueur historique d'un récit riche d'échecs retentissants et de triomphes mémorables le foisonnement romanesque d'innombrables personnages issus des milieux les plus variés, tant politiques qu'artistiques, aristocratiques ou bourgeois que paysans, au sein d'une Italie en pleine gestation.

04/1996

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BD tout public

Giuseppe Bergman : Aventures mythologiques

Aux quatre coins du monde, entre illusion, rêve et fantasme, suivez Giuseppe Bergman sur les traces de l'Aventure !

07/2012

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Littérature française

Clelia de Giuseppe Garibaldi

Rome, 1867. L'Italie est constituée depuis le 7 mars 1861 en royaume unifié, auquel manquaient encore la Vénétie, où l'Autriche maintenait sa domination depuis 1815, et le Latium romain, dernier vestige des Etats de l'Eglise, où le pape maintient sa royauté. En 1866, la Prusse, alliée du nouveau royaume, et victorieuse de l'Autriche à Sadowa, a de fait restitué Venise et sa province à l'Italie ( le plébiscite ne fut qu'une formalité) ; mais le roi Victor Emmanuel II de Piémont- Sardaigne, héritier de l'attentisme de Cavour, n'ose encore proclamer Rome capitale du royaume, pour ménager son allié Napoléon III, " l'empereur de l'équivoque ", lequel, pour ménager lui-même à l'intérieur le puissant parti catholique ultramontain des contre-révolution-naires français, soutient officieusement le pouvoir du pape. La demi-mesure par laquelle, en 1865, le gouvernement a transféré la Capitale de Turin à Florence est un scandale pour les patriotes italiens de toutes tendances, dont Giuseppe Garibaldi est depuis 1848 le fédérateur et le libre condottière. Arrêté et assigné à résidence dans son île en novembre 1867, après l'échec de sa troisième tentative de forcer le cours de l'histoire pour libérer Rome, il trompe l'ennui de cette oisiveté forcée par deux manifestes politiques sur la " question romaine ", sous la forme du roman-feuilleton, où il essaie d'imiter Eugène Sue, et Dumas père, qui fut son ami et compagnon. Le résultat littéraire est très inégal ; c'est pourquoi le traducteur - il s'en explique dans sa préface-, a jugé bon de remédier autant que possible à cette insuffisance, dans l'esprit même des intentions de l'auteur, comme Dumas l'avait fait pour les Mémoires de Garibaldi, mais en respectant rigoureusement l'économie du texte. Clelia, le plus poétique de ses essais romanesques, a deux grands mérites : celui de nous livrer les sentiments d'un homme extraordinaire, dont on a pu dire, en dépit de toutes les étiquettes que lui a collées la manie moderne des idéologies, qu'il fut tout ensemble " à sa façon, conservateur, et révolutionnaire " (Alfonso Piscitelli); et celui de nous transporter au cœur de ces terres italiques devenues sujettes de l'histoire après avoir porté les maîtres du monde, demeurée comme hors du temps, et que Garibaldi, en fils généreux, s'efforçait de réveiller d'un long sommeil. ?? ?? ?? ?? 1

12/2010

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Romans historiques

Giuseppe. Une histoire de survie

"Je m'appelle Giuseppe. Je suis prisonnier en Allemagne Nazie. Je suis travailleur forcé, sur une chaîne de montage pour moteurs de camions. J'ai faim. J'ai froid. Ma famille et mon pays me manquent..." C'est sur ces mots, qui font écho aux thématiques de prédilections de l'auteur que commence Giuseppe, une histoire de survie, le premier roman de Piero San Giorgio. Plus connu pour ses manuels pratiques qui permettent d'anticiper sur l'effondrement économique et de faire face à des situations à risques, l'auteur choisit cette fois la forme narrative pour nous parler de SURVIE. En s'inspirant de faits réels de la vie de son grand-père de substitution, l'auteur nous plonge dans un parcours de survie particulièrement éprouvant au coeur du siècle dernier dans une Europe ravagée par la guerre. Tragique, émouvant, épique et nostalgique, voici l'histoire de Giuseppe qui illustre parfaitement la démarche survivaliste chère à l'auteur, et nous y ramène, invariablement... "Peut-être est-ce chez Giuseppe qu'il faut chercher l'origine de mes propres préoccupations au sujet de la crise économique et des pénuries de nourriture, comme je les ai exposées dans mes essais précédents". Ne cherchez pas plus loin, de "Survivre à l'effondrement économique" (2011) à "Giuseppe, une histoire de survie", la boucle est bouclée pour Piero San Giorgio.

06/2020

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Sculpteurs

Mauro Corda. Un autre regard

Qui n'a pas, enfant, été fasciné par les contes et légendes, par les histoires à dormir debout qui nous ont fait traverser le miroir et entrer dans un autre monde, là où tout est possible, magie d'une toute-puissance du bien et du mal, monstres et chimères, fées et lutins... et les nains ? On sait que ce monde n'est pas vrai mais la puissance de l'imaginaire offre à ces figures étranges une présence plus forte que celle de personnes réelles. Mauro Corda sait que cet autre monde est délicat à approcher. D'emblée, il affronte les pièges, stéréotypes et contre-vérités qui empêchent de voir réellement la beauté, la présence, la majesté d'une personne de petite taille. Pour cela, il a ce besoin impérieux d'en faire une oeuvre majeure qui s'impose au spectateur, le saisit par le col, l'invite à regarder de près un monde qu'il fuit, ou dont il se désintéresse. Il réussit ce tour de force de rendre ce saisissement agréable, de travailler ce phénomène d'attraction/répulsion jusqu'à nous emporter du côté de l'attraction, de l'étonnement, du questionnement que suscite toute oeuvre d'art qui se respecte. Ce n'est pas la première fois que Mauro Corda nous laisse interloqués et vient nous déranger, nous bousculer là où on ne s'y attend pas. Non qu'il cherche à provoquer, ce n'est pas son but, mais il s'interroge, et nous interroge là où on n'a pas l'habitude d'aller, là où on n'a pas envie d'aller, là où il y a de l'embarras, autrement dit là où il y a du questionnement de l'être, du rapport entre les êtres, du regard, mais aussi du questionnement sociétal, politique et philosophique au sens où la philosophie se doit d'accompagner la vie concrète.

09/2022

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