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Judith Stora-Sandor

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Extraits

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Critique littéraire

Rire avec elles. L'humour au féminin dans la littérature et à la télevision

Les femmes n'ont pas le sens de l'humour. Cet adage est volontiers partagé par une grande partie de la gente masculine. Il y eut des femmes qui y ont cru aussi. J'espère que ce recueil qui va de l'Antiquité à nos jours, en prenant ses exemples dans la littérature des cinq continents, prouvera le contraire. Mes chères soeurs, mettez ce livre sous le nez de vos compagnes et attendez l'effet...

11/2019

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Littérature française

Grandir sous Hitler et Staline. Tableaux de la vie en Hongrie sous deux totalitarismes

Dans ce livre, je raconte ma propre expérience, qui ne résume en aucune façon celle de tout le monde, mais certains de ses aspects font partie du lot commun. L'Histoire a déterminé ma propre histoire. En choisissant certains épisodes, je voulais restituer, le plus fidèlement possible, à travers le regard d'un enfant d'abord, d'une adolescente ensuite, une expérience vécue. Grâce au regard ironique de l'adulte que je suis devenue, ces événements pouvaient prendre une dimension comique ou grotesque. Je ne peux qu'espérer que cette vision double permette au lecteur de saisir l'esprit des périodes décrites. Quant à l'auteure de ces lignes, sa vie de 1944 à 1968, ne peut intéresser le lecteur que par la diversité de son expérience qui l'a amenée à survivre à deux "ismes", le nazisme et le stalinisme, et à trouver son salut dans une démocratie libérale. Son destin l'a conduite à franchir plusieurs frontières, à traverser deux fois un océan, pour revenir à Paris et y mener enfin une vie "bien rangée". Avouez, chères lectrices, chers lecteurs, on connaît des destinées bien plus malheureuses…

02/2018

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Critique littéraire

L'humour juif. Les secrets de fabrication enfin révélés

Les juifs ont inventé la foi en un Dieu unique. Un peu plus tard (on compte en millénaires), ils ont fait don à l’humanité et aux maisons d’édition du premier best-seller : la Bible. Ce sont des faits que personne ne conteste. Mais ce qui est moins bien connu, c’est que les juifs ont appris du Talmud, exégèse des cinq livres de Moïse, l’art de couper les cheveux en quatre. La déduction logique est qu’un cheveu ainsi divisé reste quand même un cheveu, mais que chaque nouveau cheveu contient une partie du cheveu que représentait le cheveu original. Raisonner, spéculer, ratiociner : cet héritage des Docteurs de la Loi, des rédacteurs du Talmud, est passé sans encombre dans le cerveau des juifs qui, pendant des siècles, se sont attelés à étudier ces exercices intellectuels dès l’âge de quatre ans. Et on se demande pourquoi il n’existe pas dans les Tables de la Loi le principe selon lequel il est impératif de trouver quelque chose de drôle même dans les situations les plus tragiques.

10/2015

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Littérature française

Moi, Sàndor F.

" Un être peut-il en répéter un autre, ou le continuer, le prolonger, d'une génération à la suivante ? " En faisant sien, le temps d'un roman, le prénom hongrois qu'il aurait dû porter, Alain Fleischer reconnaît en lui la personnalité de son oncle Sàndor, mort à l'âge de 27 ans dans un train roulant vers Auschwitz, alors qu'il était lui-même né trois mois plus tôt. Les quelques souvenirs de l'existence de son oncle lui deviennent propres à mesure qu'il les imagine et restitue l'agonie de son alter ego comme si c'était la sienne. Si personnels lui soient-ils, ses goûts et ses talents, son inclination dès l'enfance pour les jeunes filles comme sa précoce passion pour la photographie et le cinéma, semblent lui venir de cette vie antérieure, dont il se souvient en l'inventant. Grâce à un procédé narratif original, parvenant à confondre les deux Sàndor en un seul, Alain Fleischer nous offre là un des romans les plus troublants jamais écrits sur le double mystère de l'identité et de la transmission. Moi, Sàndor F. devrait aussi rester comme un maître livre de cette littérature d'après les camps, que Jean Cayrol voulait " lazaréenne " ou de résurrection. Jean-Luc Moreau. " Se projeter sous une forme autobiographique dans un autre personnage qui, tout en étant ainsi investi par une personnalité étrangère, conserve les vêtements de sa propre identité, telle est la proposition faite aux auteurs de cette collection. A mon sens, il s'agit moins de s'identifier à la vie d'un autre que d'identifier en soi une autre vie possible. En disant les choses autrement, il s'agit moins de s'imaginer être un autre, que d'imaginer un autre être soi. J'ai accepté cette proposition singulière parce que mon oncle Sàndor F. a pu - façon de parler - attendre ma naissance pour être assassiné par les nazis, et me passer une sorte de relais. Ceux qui l'ont connu ont pu me trouver, avec lui, quelques traits de ressemblance, et je tente donc, en respectant le peu que j'ai appris sur lui, de le prolonger jusqu'à moi, en empruntant à celui que je suis, et à la vie qui a été la mienne, ce qui me permet de compléter l'histoire de sa brève et tragique existence. " A.F.

03/2009

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Théâtre

Judith aussi

Deux amies ou deux actrices (?) vivent ou jouent (?) plusieurs fois la même scène anodine, proche du vide, mais tout en variations, selon de nouvelles péripéties. Un homme les rejoint, directeur de casting sans doute. Et cela part dans des histoires ordinaires de sentiments, de sexe, de jalousie... L'auteur brouille volontairement les cartes, laissant personnages et lecteur comme des pantins dont il se plaît à tirer les ficelles. Ce texte à la langue rapide, directe, percutante, est singulier, ambivalent, mystérieux. Il repose sur trois fois rien, mais grâce à une mécanique qui se grippe peu à peu, il dessine un théâtre moins banal qu'il n'y paraît. Le Québécois Pier-Luc Lasalle propose ici une mise en abyme de la téléréalité et de la société du spectacle, dans laquelle nous ne sommes parfois que des pions.

11/2010

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Littérature française

Judith Renaudin

Extrait : "PREMIER PAYSAN, au Curé - Ah ! c'est le bon Dieu qui vous amène, monsieur le curé, car nous ne sommes guère savants, nous autres, pour lire. Quoique nous soyons des protestants, vous ne refuserez pas de nous lire tout au long ce qu'il y a là, n'est-ce pas, car vous n'êtes pas un méchant homme, vous, pour sûr ! "

03/2015

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