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Jihye Jung

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Théâtre - Essais

Traces de recherches Tome 10 : Quelque part

"Un grand carré noir, comme la mer de la nuit Le coucher du soleil s'y reflète, doré Une lumière rouge clignote Je dérive J'entre dans la mer puis je crée le tourbillon Je me soulève"

12/2023

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Psychologie, psychanalyse

Mon analyse avec Jung

En plus d'une analyse avec Barbara Hannah (une élève et amie de C.G. Jung), Elisabeth Tauber a été en contact régulier avec Jung, à qui elle confiait ses rêves, ses désarrois intérieurs ou ses difficultés extérieures, comme ses questions brûlantes sur le sens de la vie. Quand elle rencontrait Jung, elle notait dans un journal les échanges qu'ils avaient eus. Tout au long de ce journal se dévoile le parcours d'une femme qui, guidée par Jung, plonge dans l'inconscient et se donne de plus en plus profondément à la transformation. La personnalité de Sabi Tauber (comme on l'appelait) se révèle, mais aussi celle de Jung. Par sa manière très humaine d'accompagner un être, par sa rigueur ou sa bienveillance à lui expliquer l'incompréhensible, il adoucit ses peines et élargit son vécu. Jung ouvre Sabi à l'irrationnel, l'oriente du côté de l'astrologie par exemple, et la fait participer à ses propres recherches sur la synchronicité. Une confiance en la vie, une joie émergent de ce travail intérieur accompli avec Jung, une totalité se compose et se réalise en rassemblant les pièces éparses d'un puzzle. Et cette totalité n'est pas uniquement celle de Sabi, car, se fondant sur les expériences personnelles de Sabi, Jung les universalise ou les relie à l'inconscient collectif, si bien qu'elles en viennent à nous concerner tous.

11/2019

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Psychologie, psychanalyse

Jung et la gnose

Médecin de l'âme et homme de culture, Carl Gustav Jung (1875-1961) s'est intéressé à la gnose dès les années 1910 alors qu'il effectuait des recherches sur les mythologies, mystères et croyances populaires. Son intuition lui disait que cette littérature étrange et difficile détenait un trésor d'images symboliques dont il lui fallait comprendre la signification. Peu après confronté à une crise intérieure (1913) dont il fit le récit dans Le Livre Rouge, Jung en vint à considérer les gnostiques comme les premiers explorateurs de l'inconscient, découvrant le monde des archétypes qui leur inspira leurs visions et leurs mythes. Comme les alchimistes plus tard, ces visionnaires l'ont souvent guidé dans l'élaboration de la psychologie analytique, "gnostique" en ce qu'elle restitue une plénitude de sens à la vie désorientée de l'homme contemporain. Jugées hérétiques par les premiers auteurs chrétiens, les gnoses dont l'origine est incertaine (Syrie, Iran, Judée ?) laissaient libre cours à l'imagination créatrice et avaient du salut une vision aussi proche des initiations antiques que du christianisme. Valorisant la découverte de soi à travers l'expérience personnelle du divin, leur enseignement ne pouvait laisser Jung indifférent. Fut-il lui-même "gnostique" comme l'en accusèrent Martin Buber et certains théologiens chrétiens ? S'il le fut, c'est à sa manière : afin de répondre aux exigences spirituelles de son temps désireux de "savoir" plutôt que de croire.

12/2017

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Développement personnel

Jung et l'alchimie

Il n'y a pas de doute, l'alchimie est l'art qui va ancrer l'oeuvre de Jung dans l'histoire de l'humanité. Aux environs du milieu de sa vie, une question s'impose à lui : " Où se trouvent mes prémisses, mes racines dans l'histoire ? " Jung cherche désespérément une confirmation définitive de ses idées. C'est l'alchimie qui lui fournira les bases historiques indispensables à la poursuite de son travail. Les textes écrits par C. G. Jung sur l'alchimie se terminent avec Mystérium conjunctionis, oeuvre maîtresse écrite en 1956, cinq ans avant sa mort. Le texte pris en référence et qui présente le processus d'individuation se trouve dans la dernière partie du tome 2 et porte en titre " LA CONJONCTION ". On peut donc dire qu'il s'agit d'un des derniers écrits de Jung pour son public.

07/2016

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Littérature française

L’énigme Chu-Jung

La porte claque brutalement derrière les deux policiers. Dehors le vent hurle, la saison n'est pas clémente. Shan-Guâng referme frileusement son long pardessus élimé, de couleur indéfinissable. Il porte ses deux mains sur les bords de son chapeau pour l'enfoncer profondément jusque sur son front, qu'il tient baissé, le dos courbé sous la tourmente. Wong, son collègue, quant à lui, est toujours tiré à quatre épingles. C'est pourtant l'été mais dans les montagnes de Mandchourie, le climat est souvent capricieux... Devant eux, allongée sur le sol de terre battue, une jeune femme semble dormir. Comme apaisée, les yeux clos, l'air presque enfantin... Une dague est enfoncée dans son coeur. Au fil du roman, bien des péripéties se succéderont. Vol d'antiquités, cinéma ambulant, opéra de Pékin, grandes fêtes annuelles propices aux exactions ou guerre de l'opium. Shan-Guâng et Wong finiront-ils par démêler toutes les ambiguïtés et le pourquoi des énigmes qui vont se présenter ?

06/2019

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BD tout public

June

Nous sommes en France, dans une ville austère de l'est. June est une petite fille comme les autres. Quand son père Otis ne tient plus ses promesses et laisse son addiction le submerger au détour d'une gorgée d'alcool de trop, les choses ne peuvent pas se passer au mieux. June regarde son père tomber. June voit la catastrophe et la prend de plein fouet. Mais June encaisse... Que se passe t-il quand les adultes perdent le contrôle de la situation ? Quand un verre de vin peut faire basculer le quotidien d'une famille ordinaire vers un cauchemar sans nom ? Nous sommes en France, aujourd'hui, dans une ville austère de l'est. June est une petite fille comme les autres. Quand son père Otis ne tient plus ses promesses, quand il laisse son addiction le submerger au détour d'une gorgée d'alcool de trop, les choses ne peuvent pas se passer au mieux. June regarde son père tomber. June voit la catastrophe et la prend de plein fouet. Mais June encaisse... Et qui sommes-nous pour juger qui que ce soit ? "J'ai fini par remarquer, au fil de mes lectures et de mes pérégri-nations, à quel point la mythologie du loser magnifique enhardissait encore les foules. Le type se sert de grandes rasades de Scotch, se fout de tout, et tire sur sa clope en restant irrémédiablement cool. On nous présente toujours les excès d'alcool sous la forme de la satire légère, on nous montre des bitures potaches, des gueules de bois bon-enfant, des ivrognes clownesques, de ce genre qui, saouls comme des cochons, iront au devant des pires ennuis mais s'en sortiront toujours comme des chefs, le litron encore vaillant à la main... Les revers de la médaille les plus triviaux sont rarement observés : les mensonges, les secrets honteux, les vies brisées, les odeurs de pisse et de vomi. Quand ces problématiques vous touchent de près, l'acuité avec laquelle on regarde alors la chose prend une tout autre tournure. et prend l'allure d'une plaie. C'est cette plaie que j'ai eu à coeur d'éclairer avec June. . ". Nicolas Moog Sélection officielle pour le Prix Ouest-France en 2013 au festival Quai des bulles (St-Malo).

11/2011

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