Jean-Pierre Bertrand, Michel Biron, Benoît Denis, Rainier Grutman

Dédicaces - Samedi 27 septembre 2014 à 18h00 - A la librairie

La librairieet les éditions vous invitent à une séance de dédicaces avec l’historien Jean-Michel Derex pour la sortie en avant-première de son livre : "Héros oubliés - Les animaux dans la Grande Guerre."
Conférence à 18h00.
Dédicaces à 19h00.

Animations jeunesse - Samedi 8 juin 2013 à 16h00 - A la librairie

New York, fin des années 1970 : la ville est la capitale mondiale de l’art et elle va se trouver un nouveau roi. Tout commence avec un jeune artiste, qui recouvre les murs de ses graffitis énigmatiques. En quelques années, il va être reconnu comme l’un des plus grands peintres de son époque. Il s’appelle (1960-1988).

Animations jeunesse - Samedi 13 juillet 2013 à 16h00 - A la librairie

New York, fin des années 1970 : la ville est la capitale mondiale de l’art et elle va se trouver un nouveau roi. Tout commence avec un jeune artiste, qui recouvre les murs de ses graffitis énigmatiques. En quelques années, il va être reconnu comme l’un des plus grands peintres de son époque. Il s’appelle (1960-1988).

Les préfaces sont des textes particuliers. A la frontière de la littérature, elles permettent aux auteurs de s’exprimer plus librement sur leurs écrits et leurs idées. C’est pourquoi, ces textes tiennent une place à part entière de nos jours dans les pages de la littérature dite « classique ».

Je vous propose l’intégralité de la Préface de Pierre et Jean de Guy de Maupassant (1850-1893). Ce texte est presque plus célèbre que le roman lui-même car il permet de mieux cerner le point de vue de l’auteur sur le genre romanesque.

Cette préface s’érige en manifeste, ouvrant une réflexion profonde sur le rôle du romancier et sur la place du roman an sein de la littérature. Entre réalisme et naturalisme, Maupassant s’explique sur ses choix esthétiques.

Le ministère de l’Éducation nationale vient de faire part de la nomination de Pierre Farracci à la tête du CNEE (Conseil national éducation-économie). Il remplace Muriel Pénicaud qui part à la tête de l’AFFI (Agence française des investissements internationaux). 

Le CNEE est une instance créée l’année passée par Jean-Marc Ayrault et Vincent Peillon, alors respectivement premier ministre et ministre de l’Éducation. Le Conseil s’est installé le 18 octobre dernier à l’École nationale supérieure des Arts et Métiers. Son objectif est à la fois simple et compliqué : trouver des solutions pour faire mieux dialoguer le monde économique et le système éducatif. 

Cela passe notamment par la modernisation de l’enseignement professionnel, avec par exemple la rénovation des formations professionnelles initiales et la promotion des formations en alternance de qualité. 

Plus précisément, selon le ministère, « il est chargé d’animer une réflexion prospective sur l’articulation entre le système éducatif et les besoins du monde économique, ainsi qu’un dialogue permanent entre les représentants sur la relation entre l’éducation, l’économie et l’emploi. »

Le Conseil est présidé par un cher d’entreprise et compte 27 membres. Parmi ses membres, il y a cinq grands chefs d’entreprise, cinq représentants des organisations d’employeurs, dix représentants des salariés et quatre représentants des ministères. Son rôle n’est pour l’heure que consultatif. 

Pierre Farracci est un chef d’entreprise, président du groupe Alpha, un groupe de conseil français. Il est né en 1952, il est titulaire d’une maîtrise d'économie appliquée (Paris-Dauphine) et d'un diplôme d'études supérieures de sciences économiques. 

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CC BY 2.0

Le jour où l’Élysée brûla

Un roman de Jean-Michel HOULBERT

Un acte de terrorisme contre un convoi de déchets nucléaires, un président de la République pris en otage...

Dans les années quatre-vingt, la reprise économique portée par un président de la République de droite, Laurent Montcénac, génère toujours plus de besoins énergétiques. Les centrales nucléaires deviennent essentielles. Signe de cette activité, les convois de déchets nucléaires sillonnent la France par fer et par route.

Une nuit pluvieuse d'avril, un commando terroriste s'empare dans la campagne nivernaise d'un « château » de transport de plutonium irradié à destination du centre de retraitement de La Hague, en provenance du surrégénérateur de Creys-Malville.

Les terroristes, qui tiennent en otage une famille de paysans, font bientôt connaître leurs exigences : obtenir la démission du président de la République sous la menace de faire exploser le container de plutonium usagé ; le nuage radioactif se répandrait sur la campagne environnante et la vallée de la Loire, mettant en danger la vie ou la santé de dizaines de milliers d’habitants. Pendant que le gouvernement et le président de la République cherchent comment répondre à ce chantage, les populations locales victimes potentielles et la presse muselée par Montcénac vont s’inviter dans le conflit. Mais les terroristes souhaitent-ils réellement la démission du président ?

Vingt-quatre heures de suspens entre la ferme de la Mare aux chèvres, où se sont retranchés les terroristes, le Palais de l’Élysée, érigé en cellule de crise autour du président, les deux assemblées parlementaires et le Conseil constitutionnel, qui recherchent conjointement une solution, ainsi qu’aux environs de Marigny-sur-Loire où les habitants et la presse décident d’intervenir…

[Extraits] Charrue stérile ; le jour où l'Elysée brûla de Jean-Michel Houlbert

L’auteur

Jean-Michel Houlbert a tout d'abord travaillé dans le cinéma scientifique et médical ainsi que dans l'audiovisuel d'entreprise. Puis il devient fonctionnaire parlementaire. Aujourd'hui, il publie ce roman écrit au milieu des années soixante-dix. Un récit qui conserve toute son actualité. Autres ouvrages publiés : L’Humaine, et à paraître prochainement, Transgression.

Charrue stérile : 252 pages, ISBN : 978-2-312-05709-5, Format : 150x230 mm

Publié aux Éditions du Net, 2018, Prix : 20 € (éd. Papier), 9,99 € (PDF ou ePub).

Rencontres / Débats - Mercredi 13 novembre 2013 à 20h00 - A la librairie

Alep est devenue, depuis le rapt en juin 2013 de deux journalistes d’Europe 1, une zone "interdite" à la presse internationale. Cette enquête, réalisée après un tel enlèvement, représente donc un des derniers témoignages sur la "capitale" de la révolution syrienne, où un million de personnes vivent depuis un an sous contrôle de l’opposition. Alep est n’est pas seulement un laboratoire de l’après-Bachar al-Assad, c’est aussi le lieu où se lisent les trajectoires possibles de la révolution syrienne, depuis la plus respectueuse jusqu’à la plus sectaire.

a longtemps vécu en Syrie, dont il parle couramment la langue. Il a pu ainsi s’immerger dans une réalité complexe, où le courage de la résistance civile côtoie les pires débordements jihadistes. Son premier séjour à Alep remonte à 1980, ce qui lui permet de replacer la révolution actuelle dans la perspective historique qui manque souvent aux analyses "à chaud".
Professeur des universités à Sciences Po (Paris), Jean-Pierre Filiu a enseigné, entre autres, dans les universités américaines de Columbia (New York) et de Georgetown (Washington). Le Monde le considère comme un "des meilleurs spécialistes mondiaux" d’Al-Qaida.

Ammar Abd Rabbo est un journaliste et photographe français et syrien, né à Damas le 13 octobre 1966. Il a vécu à Tripoli (Libye) et à Beyrouth (Liban), avant de s’installer en France à l’âge de 12 ans. Ancien élève de "l’Institut d’études politiques de Paris", (ou "Sciences Po"), il commence en 1990 à travailler pour différentes agences de presse internationales et réalise de nombreux reportages, essentiellement dans le monde arabe. Il travaille notamment avec les agences parisiennes Sygma, Sipa Press et Abaca Press. Il crée par ailleurs une agence spécialisée sur l’actualité du monde arabe "Balkis Press".

lire sa bio sur wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ammar_Abd_Rabbo

Dédicaces - Vendredi 6 juin 2014 à 19h30 - A la librairie

DÉDICACE en partenariat avec la librairie MILLEPAGES
Jean-Pierre Mocky et Noël Simsolo
Auteurs de La longue marche

20h30 : Séance suivie d’une rencontre avec
Jean-Pierre Mocky
Animée par Evelyne Crombez

LE TÉMOIN
De : Jean-Pierre Mocky
Avec : Philippe Noiret, Alberto Sordi, Gisele Preville
Durée : 1h50min
Année de Production : 1978
Nationalité : Français
Langue : Français

Antonio Berti, restaurateur de tableaux, s’installe chez son ami Robert Maurisson, un puissant industriel. Ce dernier lui a commandé une oeuvre spéciale pour la cathédrale de Reims. Berti choisit comme modèle une jeune fille, qui sera retrouvée morte quelques heures après leur entrevue, près d’une des propiétés de Robert. Le peintre qui passait par là, croit reconnaitre l’assassin : son ami Robert. La police partage ses soupçons et interroge l’industriel, qui nie tout lien avec cette affaire. Tout se complique lorsque ce dernier est abttu par le père de la jeune victime, et que les soupçons, se portent alors vers Antonio...

Au cours de la Deuxième Guerre mondiale, trois adolescents, jeunes fuyards poursuivis l’un par la gendarmerie vichyste et l’antisémitisme français, l’autre par la milice française et le troisième par l’armée allemande se réfugient dans une cabane à l’abandon. Roger est juif, Christian est catholique, Samir est musulman. Ils forgent un lien solide en découvrant que chacun d’eux se trouve dans une précarité semblable et que leurs trois religions ont plus en commun qu’ils ne l’auraient imaginé. Ensemble ils parviennent à rejoindre la Résistance, avec laquelle ils participent jusqu’à la libération à des opérations contre les occupants.

À la libération, tous trois se perdent de vue. Bien des années plus tard, au hasard d’une rencontre dans un café, deux d’entre eux se retrouvent et font le bilan de leurs expériences. Bien que ce soit un ouvrage de fiction, ce récit est basé sur des faits historiques: la mutinerie d’un bataillon musulman de Waffen SS à Villefranche-de-Rouergue en septembre 1943

Jean-Pierre Angel est né à Paris en 1938. Ses parents étaient des juifs immigrés. Son père, sa mère, ses deux sœurs et lui-même ont subi les cinq années de guerre ensemble, cachés dans divers endroits avant de se terrer jusqu’à la libération à Villefranche-de-Rouergue, là où se situe son livre. Ses parents avaient toujours peur. Ils avaient toujours quelque chose à cacher. Jean-Pierre Angel partit à 18 ans faire des études aux États-Unis où il demeura après l’obtention de diplômes à l’Université de New York. Il a fait carrière dans la publicité, la finance et l’informatique. Ceci est son deuxième roman. Le premier : Le Peigne en Écaille a été publié en 2008 aux éditions l’Archipel. En plus des faits historiques sur lesquels il est fondé, l’ouvrage est basé sur des témoignages authentiques recueillis au cours d’années de recherche et certains éléments de la propre expérience de l’auteur.