Izumi Mattei-Cazalis, Karine Granier-Deferre

une seule obsession, une seule raison de vivre demeure : retrouver Julie, l’amour de sa vie, évanouie dans la nature, soudainement, sans crier gare.

Le mangaka Izumi Matsumoto, né le 13 octobre 1958 à Takaoka, est mort le 6 octobre dernier à l'âge de 61 ans, indique un message posté sur son site officiel. Décédé à l'hôpital, Matsumoto souffrait depuis plusieurs années d'une perte de liquide cérébro-spinal due à un accident de voiture survenu alors qu'il était très jeune. Il est notamment l'auteur de Kimagure Orange Road, adapté en série anime, diffusée en France sous le titre Max et Compagnie.

La question de Dieu est sans doute l'une des questions les plus décisives de l'existence humaine. Elle concerne chacun de nous, athée ou croyant, dans la mesure où à travers elle se dessinent les enjeux de l'existence elle-même.

Karine TuilL’invention de nos vies

Ce lundi, à Marseille, s'est éteint le philosophe Jean-François Mattéi, qui comptait au rang des professeurs de l'Institut universitaire de France, et a notamment enseigné au sein de l'université Nice Sofia Antipolis. L'enseignant de philosophie et de politique était également écrivain, et à l'âge de son décès, 74 ans, il laisse derrière lui nombre d'essais, traitant parfois de penseurs antiques, comme Pythagore ou Platon, mais aussi de figures littéraires plus récentes, comme Heidegger, ou encore Albert Camus, plus dernièrement...

HIVER2024 - Sept ans après avoir brisé les tabous autour des menstruations dans Ceci est mon sang, Élise Thiébaut explore le sujet de la ménopause, révélant des faits aussi surprenants qu'innovateurs. 

Soirée amicale en hommage à
Pierre Autin-Grenier

en présence de
Ronan Barrot
Arno Bertina
Olivier Cena
Nathalie Constans
DominiqueFabre
ChristianGarcin
Jean-Jacques Marimbert

Alors qu'on vous annonçait la fermeture définitive de la librairie Camponovo de Besançon, il est bon de mentionner la réouverture de la librairie Grangier de Dijon qui avait fermé ses portes le 16 mai 2012. Les clients ont pu redécouvrir Grangier ce matin à 9h35 précises. C'est Simone Hisler, déjà propriétaire de six librairies dans l'est du pays, qui a repris cet établissement indépendant.

Qui n’a jamais rêvé de débouler dans une soirée déguisée avec un masque de luchador ?

Notre Chronique p.69- p.99 : deux pages passées au crible, pour donner un avant-goût du livre, en quelques lignes.

BANDE-DESSINÉE – Quand l'école de Canterbury au Connecticut accepte en 1832 une jeune fille noire parmi ses élèves, la directrice ne se rend pas compte qu'elle vient de franchir une limite invisible et que ce geste va faire basculer le destin de son établissement à tout jamais. Loin de reculer face aux protestations qui s'élèvent de toutes parts, Prudence Crandall fait au contraire le choix de réserver son enseignement aux seules élèves de couleur et de remercier sans délai toutes les autres jeunes filles. Une décision qui n'est pas de nature à apaiser les esprits, bien au contraire.

Dans le rouge, Thierry Mattei : bienvenue en territoire toxique

Le MOTif, observatoire du livre et de l’écrit en Ile-de-France, vient récemment d’élire sa nouvelle présidente et de renouveler les conseillers régionaux, membres de son conseil d’administration.

De ces 17 nouvelles, le moins que l'on puisse dire, c'est que ça ne dégouline pas de bons sentiments. Au contraire, l'égoïsme, la rébellion, la soumission, la mesquinerie et bien d'autres sentiments tout aussi vils éclatent entre ces pages.

Après presque deux millions de spectateurs en France et plus de 320.000.000 dollars au box-office américain pour l’adaptation de Ça, il semblerait bien que le King, Stephen de son prénom, redevienne comme dans les années 80-90, l’une des figures majeures du cinéma d’épouvante/horreur. Paru quelques années avant l’histoire du clown tueur, Hollywood paraît s’intéresser dorénavant à Simetièrre.

Le dessin de Gauthier, tout en rondeur, assez naïf et toujours très lisible, rappelle la simplicité d'un Martin Vidberg, par exemple, qui signe depuis quelques années

c’est que les douanes délivrent également des triptyques, trois feuillets, qui servent à l’importation temporaire d’objets

BANDE DESSINÉE – Imaginez un ado tout ce qu'il y a de plus heureux, impatient de retrouver ses potes à la rentrée des classes, au moment où sa maman va accoucher d'une petite sœur. Sur le chemin de l'école, son lumineux destin va basculer... Sa vie s'arrête, suite à un mauvais coup de couteau, mais pas ses aventures. Car Yann va découvrir qu'après la mort, pour lui, il n'y a ni anges ni tunnel, mais une trompette et un retour sur terre... en version zombie.

- Samedi 26 juillet 2014 à 17h48 - A la librairie

Dédicaces - Vendredi 12 septembre 2014 à 19h30 - A la librairie

Mallarmé, Poésies, Brise marine

Affaire Cazals dans l'Hérault : même si t'es sage, on te sanctionne

La librairie Grangier fermée le 16 mai dernier, devait imiter le phoenix et renaître de ses cendres (notre actualitté). Mais mauvaise nouvelle : le repreneur indépendant venu de l'Ouest, qui devait vider le stock et le réapprovisionner avec plus de références, a pris la dérobade.

trois couples et une femme, tous d’un certain âge, tous aisés, voire très aisés. Ils se retrouvent propriétaires d’un bout de paradis, loin de toute inquiétude, un must en terme de sécurité

Pascale Garnier : Lune captive dans un œil mort

Des enregistrements centenaires révélés à l'Opéra Garnier

L'École des hautes études en sciences de l'information et de la communication, plus connue sous le nom CELSA, vient de changer de tête. Karine Berthelot-Guiet a été choisie pour succéder à Véronique Richard qui était en poste depuis 2004.

L’Insouciance. Un joli titre de roman en cette rentrée littéraire. Dont Sagan déplorait qu’elle fût le sentiment inspirant notre vie, mais ne disposant guère d’arguments pour se défendre. Un titre qui ne manque pas de résonner face à la menace terroriste actuelle. D’adversité il est question dans le nouveau livre de Karine Tuil, surtout. De terrorisme ? Également. Son dixième après le très remarqué L’invention de nos vies, finaliste malheureux du Prix Goncourt 2013.