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Hermann Ungar

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Théâtre

La tonnelle

Une belle journée de printemps, à l'orée du siècle. Une pimpante villa d'un bourg de Moravie, au coeur de l'empire austro-hongrois. La famille Colbert s'apprête à recevoir de la visite pour l'après-dîner. Joseph, le père, petit rentier furieusement francophile, prépare en secret son grand voyage à Paris, tandis que sa fille Amélie, adolescente naïvement sensuelle, attend le violeur charitable qui la soulagera d'une virginité passée de mode. Quant au valet Modlizki, terroriste en frac et graine de nazi, s'il accepte de jouer les étalons pour initier la demoiselle, il refuse violemment le mensonge des vieilles valeurs et le lyrisme des grands départs, ou des grands soirs de la révolution. Qu'il s'exprime et le monde s'écroule, mais nul ne le comprend... Cette comédie au réalisme pétri de tendresse et d'ironie grinçante fut créée à Berlin, à l'automne 1929, quelques semaines après la mort de son auteur. Elle reprend, en les étoffant, les thèmes et les personnages de la nouvelle Le voyage de Colbert, publiée sept ans plus tôt par Hermann Ungar.

02/1993

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Poches Littérature internation

Les hommes mutilés

Franz Polzer est un employé de banque ponctuel et méticuleux. Il détestait son père et sa belle-mère ; la vie sexuelle est pour lui une hantise fascinante. Il loge chez Madame Porges, énorme et disgracieuse, qui l'entraîne dans son lit. Honteux devant ses collègues, il se cache. Franz a un ami d'enfance, Carl, juif et riche, atteint d'une sorte de gangrène, et dont la ravissante épouse, Dora, refuse la présence d'un infirmier pour soigner son époux. La veuve Porges, la logeuse, va alors semer le trouble en imposant un infirmier colossal et inquiétant. Elle va tramer de sombres intrigues mêlant le chantage, la jalousie le mensonge et le goût effréné de l'argent, pour plonger Franz et les autres dans un drame où l'érotisme bizarre côtoie la violence et bientôt la mort. Un roman court, étrange et beau, qui dévoile un monde très proche de celui de Franz Kafka.

04/2005

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Théâtre

Hermann

Léa Paule, médecin neurologue, reconnaît dans les couloirs de son hôpital la voix de Hermann, un ancien patient. Ce choc va la ramener dix ans en arrière, au moment où deux histoires d’amour se sont croisées, où l’une est née des cendres de l’autre. Hermann nous transporte dans les méandres de la mémoire, aux frontières de ce que peut expliquer la science et de ce qui lui échappe, aux frontières du possible et de l’amour absolu.

01/2014

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Poésie

Johannes, Hermann

Ce matin, rue Gambetta statues en plâtre abandonnées par Martin, créateur de mode Un homme presse le pas Les trois amoureux de Camille oublient de traverser le pont Camille chante à mi-voix comme souvent le soir Deux jours, deux nuits chambre vingt-sept rideaux fleurettes maintenant elle photographie la ville

10/2014

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Allemand apprentissage

Hermann et Dorothée

" Vous avouerez que ce poème marque l'apogée de l'art de Goethe et de tout notre art moderne. J'ai vu naître cette épopée et la façon dont elle est née m'a causé presque autant d'admiration que l'œuvre elle-même. Tandis que nous autres nous sommes forcés de rassembler et de choisir péniblement nos matériaux, pour n'arriver qu'à sortir lentement quelque chose de passable, lui n'a qu'à secouer d'une main légère l'arbre de son génie pour en faire tomber les plus beaux fruits, des fruits mûrs et pesants. On ne peut s'imaginer avec quelle aisance souveraine il moissonne maintenant les fruits d'une vie si bien employée et d'une culture de tous les instants, quelle gravité et quelle sûreté il y a dans tous les pas qu'il fait, et à quel degré la clarté de ses vues sur lui-même et sur les choses le préservent de tout vain effort et inutile tâtonnement. Lettre de Friedrich Schiller au peintre Johann Heinrich Meyer 21 Juillet 1997

10/1991

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Littérature étrangère

Herman

Du haut de ses onze ans, Herman n'a pas la langue dans sa poche, Sa vision du monde et les questions qu'il se pose en désarçonnent plus d'un. Son père arrive-t-il à voir l'Amérique quand il conduit sa grue ? Son grand-père se souvient-il mieux de ses rêves sous le dais du lit à baldaquin qu'il ne quitte plus ? Ruby sa camarade de classe, a-t-elle vraiment des nids d'oiseaux dans sa tignasse rousse ? Quand un jour sa mère l'emmène chez le médecin, le constat est sans appel Herman est atteint d'une maladie rare qui peut entraîner une totale calvitie. Et de fait . un matin, des poignées entières de cheveux gisent sur son oreiller. U n bonnet résolument vissé sur la tête, Herman fait tour à tour l'expérience des sarcasmes, de la honte et, pire, de la pitié. Une nouvelle question s'impose à lui: va-t-il pouvoir s'accepter tel qu' il est désormais ?

11/2005

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