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Heinrich Dannenberg

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Guides étrangers

Namibie Botswana. Edition 2017

Destinations. L'exceptionnelle beauté des paysages namibiens se révèle à travers ses déserts de dunes grandioses, qui comptent parmi les plus vieux au monde, ses canyons vertigineux, ses singuliers lacs salés et ses hauts plateaux couverts de savane. Cet environnement extrême abrite une faune surprenante, particulièrement variée dans la cuvette d'Etosha et les parcs transfrontaliers du Chobe, de Victoria Falls et de l'Okavango. Histoire. Des peintures rupestres témoignent d'un peuplement par les Bochimans il y a 26000 ans. A partir du XVIe s., des Bantous Ovambo, Herero et Kavango migrent sur ces terres inhospitalières. Au seuil du XXe s., la colonisation par les Allemands et les Boers laisse une empreinte encore bien vivante aujourd'hui. A l'issue d'une lutte acharnée, la Namibie, jusqu'alors sous mandat sud-africain, devient indépendante en 1990. Informations pratiques. Notre Guide Nelles Namibie fournit toutes les informations nécessaires à un séjour réussi. En fin d'ouvrage, une sélection d'hôtels, de fermes d'hôtes, de lodges et camps vous guidera dans votre recherche.

06/2017

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Compositeurs

Heinrich Schütz

350° anniversaire - Issu d'une famille bourgeoise de Köstritz, Heinrich Schütz (1585-1672) est repéré dès son enfance par Maurice, landgrave de Hesse-Cassel, qui le fait entrer dans son Collegium où il apprend le latin et la musique. Il poursuit sa formation à Venise avec Gabrieli avant de revenir servir son maître à Dresde, puis d'être repéré par l'électeur de Saxe Jean-Georges Ier qui s'attache ses services. Durant la guerre de Trente Ans, il est prêté sporadiquement à la cour du roi Christian IV de Danemark. Son second voyage à Venise lui permet de rencontrer Monteverdi. Son opéra Dafne (perdu) est le premier en allemand ; mais c'est surtout dans le répertoire religieux que Schütz a laissé son empreinte avec plus de 500 opus : Madrigaux, Motets, Cantates, 3 Passions, un Magnificat, Symphonies sacrées, petits concerts spirituels. . où la voix est prépondérante, bénéficiant de ses solistes employés dans la chapelle de l'électeur, qu'il dirigea durant plus de 40 ans.

11/2021

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Essais biographiques

Johann-heinrich fussli

"Il y avait en Füssli de l'halluciné. Ses oeuvres le hantaient longtemps à l'avance, elles venaient à lui sans qu'il les appelât, elles accouraient à sa rencontre comme les sorcières de Macbeth. Son imagination était pleine des vapeurs infernales, des cadavres nacrés, des tragédies et des songes qu'il devait peindre, il accomplissait son oeuvre pour se délivrer, et à peine avait-il fini d'évoquer quelque figure sanglante ou funèbre que d'autres obsessions le guettaient" . Quand Edmond Jaloux ranime la personne du peintre Füssli, il convoque tout un monde fantastique avec lui tant l'artiste romantique a su, dans ses tableaux ou ses dessins, suggérer des images étranges et mystérieuses, posées devant nous comme des énigmes. A la fois biographie d'un créateur singulier et étude attentive de sa création, l'ouvrage d'Edmond Jaloux pénètre bien la méthode et le style d'un des plus grands artistes romantiques de la fin du XVIIIe siècle en Europe. Il sait, dans une langue précise et poétique, nous dévoiler le visionnaire mêlant angoisse et sensualité, et le prophète qui saisit les apparitions et suscite la féerie.

10/2022

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Bas Moyen Age (XIVe au XVe siè

Tannenberg. 15 juillet 1410

Dans l’esprit de L’Histoire en batailles, le grand médiéviste et le spécialiste en France des Chevaliers teutoniques, Sylvain Gouguenheim, nous raconte la bataille de Tannenberg du 15 juillet 1410, défaite qui sonna le prélude à la chute de l’Ordre Teutonique. En effet, il y a plus de 600 ans, s’est tenu au lieu dit Tannenberg, situé dans la partie nord-est de la Pologne, autrefois appelée Prusse orientale, une bataille voyant l’affrontement d’effectifs gigantesques pour l’époque et dont l’issue allait avoir des conséquences considérables pour les siècles à venir. Après nous avoir rappelé le conflit vieux de plus de deux siècles opposant les chevaliers teutoniques, portant manteau blanc avec une croix noire, et qui oeuvrèrent très tôt en Prusse et dans les pays Baltiques, et l’armée polonaise, à l’origine de cette bataille, Sylvain Gouguenheim nous en raconte l’étonnant déroulement. Durant plusieurs heures, son issue est incertaine : les chevaliers moins nombreux mais mieux entraînés ont longtemps l’initiative et la sensation de dominer, mais sans qu’à aucun moment leurs attaques soient absolument décisives. Les coalisés, éparpillés, finissent par se regrouper, encercler et avoir complètement le dessus sur les Chevaliers teutoniques dont le sort et définitivement scellé lorsque le Grand Maître Ulrich von Jungigen est tué. Finalement, le soir du 15 juillet 1410, certes au prix de pertes assez lourdes, c’est une victoire totale pour les armées slaves et baltes réunies. Immense, catastrophique défaite. L’Ordre teutonique ne s’en releva jamais et le fardeau financier des indemnités de guerre entraîna des tensions internes et une crise économique sur ses terres. L’Ordre, pour la première fois, signait un traité où il reconnaissait sa défaite. La nimbe de l’invincibilité avait disparu. Le choc de 7 heures dans la plaine de Grunwald avait changé bien des choses. Les contemporains le comprirent qui parlèrent tous de la « Grande bataille ».

04/2024

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Littérature étrangère

La disparition d'Heinrich Schlögel

Mais qui est donc Heinrich Schlögel, disparu dans le Grand Nord canadien et qui refait surface à Toronto trente ans plus tard, en apparence inchangé ? C'est ce que va tenter de découvrir la narratrice en collectant, avec une passion obsédante, tout ce qui lui permettra de reconstituer l'histoire de ce jeune Allemand, parti sur les traces du voyageur Samuel Hearne. Tout à la fois enquête, récit d'exploration, réflexion sur la colonisation d'une nature préservée, sur les pièges et les chausse-trapes de l'espace-temps, ce roman nous entraîne dans un jeu de miroirs où, entre hypothèses et vérités, trouvailles et incertitudes, la réalité de ce monde de l'extrême s'habille de fantastique. D'ailleurs, Heinrich Schlögel n'a-t-il pas été lui-même le jouet de sa soeur Inge, surdouée et asociale, qui, recluse dans ses livres, l'a précipité dans cette extraordinaire et improbable aventure ? D'une voix envoûtante, presque chamanique, ce roman magnétique poursuit une quête singulière tout en interrogeant la mémoire, les rémanences du passé et les paradoxes de la civilisation.

04/2017

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Histoire de France

De Tannenberg à Verdun : la guerre totale

Quand la guerre éclate, chacun des belligérants est convaincu que le conflit sera court. Force leur est pourtant d'admettre après la bataille de la Marne qu'il n'en sera rien. La guerre s'enterre. Les tentatives de percée (offensive de la Somme, offensives de l'Isonzo, offensive sur Verdun) se soldent par des échecs. Les gains des Puissances centrales sur le front Est manquent d'être remis en cause par l'offensive Broussilov en juin et juillet 1916. L'attaque des Puissances centrales contre la Serbie en octobre 1915 est certes victorieuse, mais sans que les grands équilibres en soient bouleversés. En quelques mois, la guerre devient totale. Elle l'est par l'entrée de nouveaux belligérants dans le conflit. Dès octobre 1914, l'Empire ottoman se joint aux Puissances centrales ; en mai 1915, l'Italie déclare la guerre à l'Autriche-Hongrie ; en octobre 1916, la Bulgarie rallie les Puissances centrales ; en août 1916, la Roumanie se joint à l'Entente. La guerre n'est plus seulement européenne. Elle devient mondiale. De nouveaux fronts s'ouvrent en Asie mineure, en Afrique, en Extrême-Orient. Les puissances coloniales trouvent dans leurs empires des réserves pour lever des troupes qui combattent dans les tranchées. Aucun des belligérants ne s'était préparé à une guerre longue. La nouvelle donne les place dans l'obligation de mettre l'économie au service de l'effort de guerre, ce qui ne manquera pas de poser à court terme le rôle de l'Etat. Il faut ensuite mobiliser les peuples, c'est-à-dire soutenir le moral de l'arrière. Pour cela, il faut inventer les rouages et les ressorts de la propagande, mettre en place la pratique de la censure, ce qui risque de poser le problème de la compatibilité de ces mesures avec l'Etat de droit. Autant de questions auxquelles s'efforce de répondre cet ouvrage constitué des dernières mises au point écrites par des historiens internationaux.

03/2017

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