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Gérard Titus-Carmel, Pierre Voélin

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Dossier

Les livres de Pierre Loti

Pierre Loti, de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, est un écrivain français né le 14 janvier 1850 à Rochefort-sur-Mer, en Charente-Maritime. Il est considéré comme l'un des grands écrivains de la fin du XIXe siècle.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Pierre Lemaitre

Pierre Lemaitre est un écrivain et scénariste français né le 19 avril 1951 à Paris. Il fait parti des auteurs les plus lu en France. 

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Dossier

“Bien trop Petit”, le livre qu'a censuré Gérald Darmanin

Un roman, recommandé aux adolescents de 15 ans (et plus), a subi les foudres du ministère de l'Intérieur : dans un arrêté signé ce 17 juillet, l'ouvrage a été frappé d'interdiction  de vente aux mineurs. Motif ? Des contenus pornographiques, interdits par la loi.

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Dossier

Le Commissaire Maigret, figure historique de la littérature policière

Le retour du Commissaire Maigret, cette fois sous les traits de Gérard Depardieu, relance l’intérêt pour le personnage de Georges Simenon. À travers 75 romans policiers et 28 nouvelles, l’enquêteur a officié entre 1931 et 1972. Amateurs de vins — sauf le champagne — et fumeur de pipe, il aura connu bien des visages sur petit et grand écran. 

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Sylvie Le Bihan

Sylvie Le Bihan est l'autrice de quatre romans parus au Seuil et chez Jean-Claude Lattès, ainsi que de La petite bibliothèque du gourmand publiée chez Flammarion. Elle est directrice de l'international pour les projets des restaurants Pierre Gagnaire. 

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Franck Bouysse

Né en 1965 à Brive-la-Gaillarde, Franck Bouysse publie son premier roman en 2008, L’Entomologiste, aux éditions Lucien Souny. Entre 2008 et 2012, il signe une trilogie, la Trilogie H., aux éditions Les Ardents Éditeurs, avec des illustrations de Pierre Demarty.

Extraits

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Poésie

Y

Vingt-et-un courts poèmes, éclairs surréalistes, qui célèbrent le regard amoureux jusqu'au bord du silence - vide accompli de la parole, épuisée - sachant que l'amour arrache tout ce qui n'est pas lui. Les vers suivent la trace d'une jeune femme, Nausicaa, et tirent un sentier parmi la végétation égarante que sont ses pensées fragiles et gracieuses. La voix nouvelle du poète s'af ? rme en sa rareté, exprime sans honte ce droit à l'humanité la plus commune : les lois du sentiment, gardé à bonne distance des pièges du romantisme.

02/2024

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Littérature française

Ecrits de chambre et d'écho

Ces Ecrits de chambre et d'écho sont à entendre comme ils ont été rédigés au fil du temps, mais toujours dans le silence particulier de l'écart ménagé dans le travail journalier du peintre, qui attend de la confidence des mots un signe clair de ralliement (pour dire : une complicité), afin de socler l'imaginaire qui sous-tend (et qui arme) une même entreprise : textes de campagne, donc, rêveries et digressions, arrêts sur image et commentaires où s'énonce une forte amitié pour le livre et la poésie, études et récits pris au piège du pur plaisir d'écrire pour se poser en écho à celui de peindre. D'une rive à l'autre : d'un côté la forme en sa présence, de l'autre la langue en son hommage. Les deux offerts au mime vertige que suscite le sentiment de n'avoir rien à pardonner à cette vaste blancheur d'être où se polit l'absence. Si Gérard Titus-Carmel s'est d'abord fait connaître par le dessin, la peinture et la gravure, on aurait tort de croire qu'il situe l'écriture au rang d'une pratique secondaire. Plus juste est de dire qu'elle est l'autre montant d'une porte qui s'ouvre sur un seul et même "vertige". Recueillant l'intégralité des textes qu'il a consacrés à la littérature, et formant un pendant à ses écrits sur l'art, rassemblés en 2016 dans Au Vif de la peinture, à l'ombre des mots, le présent livre doit donc se lire comme un autre point de vue dans une perspective identique.

09/2019

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Littérature française

La nuit au corps

" Ici est le pays sans déception. Car la nuit, toujours souveraine, se montre magnanime : elle se déverse généreusement en nous, sans mesure ni remords, et rafraîchit celui qu'une trop forte passion consume à l'intérieur. Chaque soir, elle s'ouvre ainsi qu'une vaste et accueillante étendue d'eau noire, plus vastement encore que les plus larges fleuves connus, plus sombre que les grands lacs, avec des berges qui s'ourlent de lointain dès qu'on avance. Et c'est de tout son mystère qu'elle nous introduit à sa lumière - à son " obscure clarté " au sein de quoi se dilue notre ardent désir de paix et d'oubli. " On dit alors qu'on a " la nuit au corps. "

03/2010

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Critique littéraire

L'ELANCEMENT. Eloge de Hart Crane

Comme le déchant accompagne le chant, deux voix - l'une " narrative ", l'autre off - se mêlent ici et se tordent comme pampres autour du thyrse central d'un nom, ce qui, au bout du compte, pourrait bien avoir des allures de biographie : celle de Hart Crane, poète américain du début de ce siècle éperdu, dont les trente-trois années qu'il supporta ne furent pour lui qu'une épuisante succession d'exaltations et de fureurs, de rêves déraisonnables et de lancinants vertiges, à la seule fin de se recomposer un corps à " l'Ere des modernes ". Mais ses efforts furent vains, et, à l'image de son Pont (The Bridge, 1930) inachevable, tout cela, pour finir, s'abîma dans les flots atlantiques. Récit double d'une vie inapaisable, tout entière vouée à la démesure d'un projet fou, bribes et éclats, apartés et fragments épars, entés d'un témoignage imaginaire, cette construction rêveuse renvoie l'écho de la parole exténuée - mais, à plus d'un titre, exemplaire - d'un des rares absolutists in poetry ainsi qu'il fut qualifié. C'est comme si cet ange déçu que fut Hart Crane, depuis l'écrasant repos des abysses où il séjourne, voulait encore parler, mais en creux, cette fois, avec la formidable qualité d'absence de qui se sait le centre de cette tentative de reconstitution d'un itinéraire vers la lumière, tout parsemé de colères et d'extases, jusqu'au naufrage annoncé, et dont le rappel des faits se décline pour nous comme pure fiction.

07/1998

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Littérature française

Un rêve en éclat

Né à Paris en 1942, Gérard Titus-Carmel, après ses études à l'école Boulle de Paris, se passionne pour le surréalisme et la poésie. Dès ses premières expositions, dans les années soixante, ses toiles et ses dessins, ses lithographies et ses gravures révèlent un goût puissant pour la littérature, comme en témoignent titres et dédicaces de ses tableaux. Il illustre les poètes qu'il aime, de Jacques Dupin à Philippe Jaccottet, avant de donner ses propres texes. Gérard Titus-Carmel poursuit son oeuvre de peintre et d'écrivain dans le silence d'une grande bâtisse qu'il habite depuis plus de trente ans à Oulchy le Château. Un rêve en éclats, "rêverie hagarde et anglo-normande" comme il aime le quali ? er, est le premier texte de Gérard Titus-Carmel, oublié et resté totalement inédit depuis 1966. Avec cette mise en pièces ou histoire en morceaux, le verbe éclôt et jette une lumière nouvelle sur le demi-siècle de création qui a suivi ? : un vrai règlement de conte.

10/2018

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Ecrits sur l'art

Peindre l'hiver. Notes sur la Pie de Claude Monet

Suivre du regard la lumière déclinante d'un jour d'hiver, prêter attention aux infimes miroitements des couleurs dans l'étendue blanche, trouver les mots pour dire cette "? intuition d'un éternel présent toujours en suspens ? ", telle est la méthode rêveuse suivie par Gérard Titus-Carmel, pour préciser son émotion devant La Pie de Claude Monet. Contemplant La Pie du peintre de Giverny, qui fut refusée au Salon de 1869, et qui se trouve aujourd'hui au Musée d'Orsay, l'écrivain Gérard Titus-Carmel, également peintre lui-même, se laisse envelopper par son atmosphère ralentie de journée enneigée... Ce tableau devient pour lui "? une allégorie de la lenteur, une secrète entente avec ce fragment de campagne endormie, une trêve, c'est-à-dire un instant de paix à la fois intime et immense suspendu dans la marche du temps. ? " Tout se passe comme si la neige tombée suspendait la course folle du monde, et que la peinture aggravait ou prolongeait encore cela. Pour dilater de cette manière notre sentiment du temps, il semble que Claude Monet ait cherché une manière de révéler ce qui est en le voilant. Selon Gérard Titus-Carmel, la présence des êtres et des choses est d'autant plus vive dans sa peinture qu'elle passe par une forme de dissimulation ? : "? Le soleil, lui aussi, est tamisé de peinture : dissimulé sous le voile lourd et nacré du ciel, il est là, mais on ne le voit pas. ? " Il s'agit de brouiller l'éclat de ce qui est, pour en raviver l'intensité? : "? Car il y a chez [Monet] une propension sinon avouée, en tout cas régulière, pour la brume, le brouillard, la pluie ou la neige, où il cherche à saisir toutes les variations de la lumière qui estompe les contours pour révéler nue la couleur. ? " Le regard de Titus-Carmel, vagabondant au sein de l'étendue blanche, finit par se poser sur la discrète présence de l'oiseau solitaire. La pie enseigne, en silence, à aimer l'insaisissable, l'éphémère, le miracle d'un instant suspendu ? : "? Elle devient signe et oracle, il n'y a qu'elle pour alerter le monde qui se terre et se tient coi dans l'attente. Et pour Monet, il s'agit de peindre cette attente dans la crainte que l'intrus ne s'envole, et de saisir le miracle de ce laps de temps où tout semble s'ajointer dans la même urgence. Car le monde est éphémère, pense le peintre, je n'ai que le temps d'en saisir la lumière ; il est avant tout espace, semble rétorquer l'oiseau, avant de s'échapper hors du tableau. ? " L'écrivain libère l'oiseau du cadre, comme il libère la peinture de ses dorures, pour la rendre au sentiment de brièveté, de fugitivité, de précarité d'où elle provient.

04/2023

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