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Farhad Ostovani, Ulrike Blatter

Extraits

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Monographies

Des fleurs et de la finitude

Dernier recueil d'Ulrike Blatter Des fleurs et de la finitude se veut une approche délicate de la présence de la mort, de ses facettes sombres et sereines tout à la fois. Les textes les plus récents côtoient ici des poèmes plus anciens, sujet et style excluant depuis toujours mièvrerie ou apitoiement. L'exemple de la nature y apparaît en filigrane, magnifié par les variations florales de Farhad Ostovani qui amènent leur propre dynamique.

04/2023

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Beaux arts

Ce que dit le silence

C'est en 1994, dans une galerie parisienne où il expose une série de Montagnes, que le peintre d'origine iranienne Farhad Ostovani fait la connaissance de Bernard Blatter, alors directeur du musée Jenisch de Vevey, en Suisse. Des affinités communes apparaissent bientôt : la poésie de l'ancien Iran, la musique de Bach, et, surtout, un même regard sur l'art et sur le monde, regard empreint d'humilité laissant toute sa place au silence. La rencontre des deux hommes marque le début d'une amitié de vingt-cinq ans, interrompue en 2009 par la mort de Bernard Blatter. Le présent livre entend en retracer l'histoire, en recueillir les fruits ; il restitue, de sa naissance à son terme, le dialogue de deux visions. S'ouvrant sur une évocation, par Ostovani lui-même, de ses nombreuses et fructueuses rencontres avec celui qui l'aura soutenu jusqu'au terme de sa vie, il réunit ensuite l'ensemble des textes consacrés par Blatter à l'oeuvre de son ami peintre. Dans un style ample, vivant, évocateur, se révèle alors un regard pénétrant, nourri tout à la fois des sources artistiques partagées et d'une longue méditation.

04/2019

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Art contemporain

Primavera

Il est une chose primordiale que les sonnets donnés à lire dans le présent ouvrage et que les oeuvres picturales qui les accompagnent ont en partage. C'est l'expérience d'un salut ? : celui, d'abord, qu'accorde la femme aimée au poète au seuil de la Vita Nova qui l'achemine vers la béatitude, et dont la voie de transmission privilégiée, récurrente dans l'ensemble du recueil, est celle de la vue. Dans le travail de Farhad Ostovani, nulle thématique amoureuse ne vient étayer sa recherche poursuivie dans l'ordre du visible, ni horizon chrétien corroborer le salut qui lui échoit. Mais ce salut est celui qu'adresse à quiconque veut bien y prêter attention, la terre en son éveil. De telle sorte que les sonnets de Dante, qui épousent les rythmes du coeur, revivent les soubresauts d'une âme aussi éprise qu'inconsolée, sont rendus à leur simplicité par le peintre dans cette nouvelle suite d'oeuvres, qui ne leur projette pas l'ombre du massif épique de la Comédie, mais qui recueille de ces sonnets la réserve de méditation sur ce qui fait signe dans l'ordinaire des jours. Que peint alors, au juste, Farhad Ostovani ?? Disons que lorsque les déterminations spatiales ont été abandonnées et que le regard s'est ainsi simplifié, ce qui affleure et se donne, soudain ou peu à peu, c'est non pas un objet, mais l'apparaître comme tel, en son acte d'apparaître.

11/2021

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Beaux arts

Bacco di nervi

Monographie consacrée à la récente série "Bacchus" de l'artiste Farhad Ostovani.

04/2019

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Beaux arts

Le Jardin d'Alioff et autres écrits

Farhad Ostovani écrit en persan, en anglais, en français (ces 3 langues pouvant être à l'oeuvre au sein d'un même texte), tout dépend de la disposition psychologique du moment, mais aussi du sujet évoqué. C'est que ces textes sont fortement autobiographiques : ils disent sa vie dans ses souvenirs, ses sentiments et ses impressions des moments les plus déterminants. Sont ainsi évoqués les jardins et les maisons de son enfance en Iran, paradis perdu, les magnolias du jardin de ses parents exilés aux Etats-Unis, les premières rencontres avec Yves Bonnefoy et quelques des livres réalisés avec lui, les auditions de diverses interprétations des Variations Goldberg, une sculpture de Bacchus admirée à Nervi, etc. En cela ils parlent de son oeuvre peinte — le choix des sujets de son art n'est jamais anodin mais relève toujours d'un moment de vie essentielle ; c'est bien de là que ces dessins et peintures tirent leur densité. Ne se limitant pas à l'aspect extérieur des choses, l'artiste cherche bien à signifier leur présence.

09/2018

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Littérature française

Ulrike Meinhof. 68-76 RFA

Ulrike Meinhof 68-76 RFA est avant tout une tentative littéraire, un travail sur la voix et sur la langue ; la recherche d'une musique, d'une oralité, via la forme du monologue. Ce n'est pas une biographie d'Ulrike Meinhof, ni un récit sur la RAF, plutôt une "vie de" . En effet, Alain Lacroix éclaire ici le "maillage intellectuel" de l'époque, donne à voir la "scène berlinoise" , politique aussi bien qu'artistique : la dispute avec les groupes libertaires, l'arrière-plan que formait la scène underground.

09/2014

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