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Emeric Fisset

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Photographes

Émeric Lhuisset

La démarche artistique d'Emeric Lhuisset interroge principalement la photographie en zone de guerre, sa capacité à informer et les conditions de sa réception par le public. Arpentant depuis plus d'une dizaine d'années la Turquie, l'Afghanistan, la Syrie ou encore l'Ukraine, ses séries travaillent les notions d'effacement, d'invisibilité, au carrefour du temps et de l'espace. Percevoir (verbe tr.) : saisir, prendre connaissance par les sens, l'intuition ou l'entendement. Les Editions de La Martinière encouragent les nouveaux talents de la photographie et des arts visuels à travers "Percevoir" , une collection de livres qui porte un autre regard sur l'image : mouvante, fragmentaire et multiple, comme le monde qui nous entoure. A chaque artiste, une réponse singulière. Une collection dirigée par Simon Baker, directeur de la maison européenne de la photographie.

06/2023

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Récits de voyage

L'ivresse de la marche. Petit manifeste en faveur du voyage à pied

La collection "Petite philosophie du voyage" invite Émeric Fisset, éditeur et écrivain-voyageur, à confier sa passion pour la marche. Le voyage à pied, par sa lenteur, sa simplicité et la disponibilité d'esprit qu'il engendre, permet d'apprécier le détail d'un paysage, de communier avec la nature, de se porter au-devant des hommes et de se dépasser.

04/2012

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Récits de voyage

ALASKA. Visions d'un pèlerin de la Grande Terre

Emeric Fisset a parcouru deux fois cette " grande terre " des Aléoutes, que les Russes baptisèrent Alaska. Pèlerin dans la forme, puisque c'est à pied, à la rame, en kayak, à skis ou à l'aide de chiens de traîneau qu'il l'a visitée. Pèlerin aussi dans l'esprit, de disponibilité et d'ouverture pour aborder cet univers de chasseurs, pêcheurs et cueilleurs, ou découvrir sa faune et sa flore. D'août 1990 à juin 1991, il a voyagé, dans les pas de l'Ours, de Point Barrow, cap septentrional du continent américain, à Cold Bay, à l'extrémité de la péninsule d'Alaska. Entre janvier 1994 et juin 1995, Sous l'aile du Grand Corbeau, il s'est rendu de Seattle à Wales, au cap occidental de ce même continent. De ses deux périples, Emeric a ramené les visions présentées dans cet album. Il les a accompagnées du récit de certains péripéties et rencontres. Qu'il croise des baleines ou des lions de mer, qu'il entre dans le " port des Français " - que découvrit La Pérouse - , qu'il franchisse la chaîne de l'Alaska, rencontre des chercheurs d'or, les Eskimos et les Indiens, ou apprenne le maniement des chiens de traîneau, Emeric nous convie à le suivre jusqu'au bout dans sa quête : relier le Nouveau et l'Ancien monde, sur la traîtresse banquise du détroit de Béring, vers l'Asie...

11/1995

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Récits de voyage

Dans les pas de l'ours. Une traversée solitaire de l'Alaska sauvage

Emeric Fisset a parcouru deux fois cette " grande terre " des Aléoutes, que les Russes baptisèrent Alaska. Pèlerin dans la forme, puisque c'est à pied, à la rame, en kayak, à skis ou à l'aide de chiens de traîneau qu'il l'a visitée. Pèlerin aussi dans l'esprit, de disponibilité et d'ouverture pour aborder cet univers de chasseurs, pêcheurs et cueilleurs, ou découvrir sa faune et sa flore. D'août 1990 à juin 1991, il a voyagé, Dans les pas de l'ours, de Point Barrow, cap septentrional du continent américain, à Cold Bay, à l'extrémité de la péninsule d'Alaska. Entre janvier 1994 et juin 1995, sous l'aile du Grand Corbeau, il s'est rendu de Seattle à Wales, au cap occidental de ce même continent. De ses deux périples, Emeric a ramené les visions présentées dans cet album. Il les a accompagnées du récit de certaines péripéties et rencontres. Qu'il croise des baleines ou des lions de mer, qu'il entre dans le " port des Français " - que découvrit La Pérouse -, qu'il franchisse la chaîne de l'Alaska, rencontre des chercheurs d'or, les Eskimos et les Indiens ou apprenne le maniement des chiens de traîneau, Emeric nous convie à le suivre jusqu'au bout dans sa quête : relier le Nouveau et l'Ancien Monde, sur la traîtresse banquise du détroit de Béring, vers l'Asie...

07/1997

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Littérature française

La passion de Martin Fissel-Brandt

Anna l'avait prévenu. S'il arrive quelque chose à Suzanne, je m'en vais. Immédiatement. Définitivement. On ne voulait plus de lui, il ne veut plus de cette vie. Et, au moment même où il croyait finir, voilà qu'il trouve l'envie de tout recommencer.

08/1998

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Cinéma

Photogénie du désir. Michael Powell et Emeric Pressburger 1945-1950

Souvent méconnue en France, mais influente sur plusieurs générations de cinéastes, la filmographie profuse du britannique Michael Powell articule la fantaisie et l'élégance, l'humour et la gravité, la fureur et l'ellipse. Ses films réalisés après-guerre en collaboration avec le scénariste d'origine hongroise Emeric Pressburger sous la bannière des Archers, leur propre compagnie de production, représentent la période la plus féconde de son oeuvre. Je sais où je vais !, Une question de vie ou de mort, Le Narcisse noir, Les Chaussons rouges, The Small Black Room et La Renarde frappent, tous, par leur inventivité formelle, leur liberté de ton, leur exigence artistique, leur densité. Chacun sollicite aussi bien la pensée que le corps du spectateur. Comment la narration et la représentation y sont-elles, à l'occasion, suspendues ou défaites ? Pourquoi leur vision est-elle si poignante ? Comment qualifier la singularité de la poétique powellienne ? Parce qu'ils inquiètent la perception, ces films interrogent le supposé réalisme de l'image cinématographique : ils perpétuent et enrichissent la réflexion sur le concept de photogénie défini par les premiers théoriciens du cinéma. Ils substituent au réel, qui reste leur référent, l'invention d'un monde dont est privilégiée la part invisible et qu'imprègne le sentiment du fantastique. L'analyse des films met au jour une esthétique du débordement que révèlent la dialectique du trompe-l'oeil, entre masquage et désignation, l'expressionnisme en Technicolor et la virulence d'énoncés au pouvoir inattendu. La mise en scène de la puissance du désir, dont les personnages féminins sont la cible mais aussi et surtout la source, fait émerger fantômes et fantasmes. Dans sa circulation entre l'écran et nous, le désir est la substance de la photogénie powellienne. Celle-ci n'est nullement une complaisance faite au regard, mais ouvre sur sa jouissance, vertigineuse.

01/2010

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