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Edith Wharton

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Romans, témoignages & Co

Un été Wharton

Dans la famille Wharton, il y a Norman, le père, collectionneur de grains de riz. Edith, la mère, qui sait dompter les biches. Gigi, la fille de dix ans, rêveuse au grand coeur. Perly, le chien aussi attachant que pataud, et Cornélius, le perroquet dyslexique. Comme tous les ans, ils passent l'été dans leur maison de famille des Bois Noirs. Mais les vacances sont chamboulées par l'arrivée de Jamie, fils du frère terrible de Norman. Gigi est fascinée par ce cousin étrange à la bouche pleine de mots coups-de-poing et dont le coeur semble en colère. Ce Jamie, qui réussit les pires bêtises sans jamais se faire punir, lui apprendra-t-il son pouvoir magique ?

06/2021

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Littérature anglo-saxonne

Les New-Yorkaises

Pauline Manford est une épouse, une mère et une maîtresse de maison apparemment exemplaire, bien décidée à ne voir autour d'elle que réussite et harmonie. Mais dans le New York des années folles, l'opulente famille Manford est prise dans le tourbillon des plaisirs et de l'argent. Le conflit entre un puritanisme tenace et le cynisme des comportements provoque des drames dont Pauline se détourne en menant une activité frénétique. Ses journées enchaînent rituels domestiques, tactiques conjugales, méditations spiritualistes, réceptions mondaines et associations caritatives dans un total nivellement des valeurs. Elle s'étourdit de principes positifs aussi catégoriques que factices afin de se distraire d'une réalité qu'elle trouverait incorrect de regarder en face. Pourtant ses proches ont douloureusement conscience de l'aveuglement, des mensonges et des trahisons qui l'entourent. Les blessures intimes de sa fille Nona sont celles de toute une génération victime de l'incurie des aînés. Satire étonnamment actuelle des ravages de l'autosatisfaction, Les New-Yorkaises est le roman le plus féroce, le plus drôle et le plus moderne d'Edith Wharton.

12/1999

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Littérature anglo-saxonne

L'Écueil

" Ne craignez pas d'être déconcerté en ouvrant l'Ecueil. En quelques pages, on est sous le charme des personnages, des lieux à peine esquissés et pourtant si présents, de la vie qui passe et surtout du feu qui brûle sous la cendre. Magicienne de l'introspection, de la sensibilité, Edith Wharton sait comme personne parler d'amour, d'une sexualité qui étouffe sans jamais dire son nom, d'une jalousie qui oppresse, qui détruit. C'est un livre à fleur de peau, où flotte le souvenir obsédant d'une cape rose entraperçue, d'un éventail tombé à terre, où rien n'est dit et tout est deviné. Une merveille. " Sylvie Genevoix

06/1989

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Non classé

La sonnette de madame

Alice Hartley, se remet péniblement d'une typhoïde qui la laisse exsangue. Sa mine maladive et sa silhouette diaphane la desservent et inquiètent : personne ne veut d'elle à son service. Quand la chance tourne : elle décroche au bout du compte une place de femme de chambre et de dame de compagnie à Brympton Place sur les bords de l'Hudson. Madame est elle aussi chétive qu'elle, et incarne la gentillesse même. Monsieur, lui, est presque toujours absent et la domesticité a rapidement appris à redouter ses retours inopinés... Une nouvelle gothique dans la grande tradition.

01/2023

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Littérature anglo-saxonne

Le temps de l'innocence

Dans la haute société new-yorkaise de la fin du XIXe siècle, Newland Archer est tiraillé entre deux femmes, deux vies : sa fiancée, la jeune et pure May Welland, et la comtesse Olenska, une divorcée fraîchement revenue d'Europe, auréolée de mystère et d'une réputation sulfureuse. Le clan familial et son confort pèsent sur Newland Archer, qui ne sait s'il doit céder à la passion et renoncer pour toujours à la vie qu'il a connue jusqu'alors, ou s'il doit s'en remettre à la prudence et protéger son statut pour rester dans ce monde, au risque de vivre la vie d'un autre, brillante en apparence mais creusée par le regret. Un roman poignant qui éclaire avec finesse la tension entre le désir de liberté et l'attrait du quotidien familier.

06/1999

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Littérature anglo-saxonne

Le temps de l'innocence

Au temps de la vieille New York, lorsque le projet d'un opéra plus haut que la 40e Rue était encore une audace folle et, celui d'habiter au-delà de la 34e, purement impensable. Dans cette haute société qui cachait ses principes rigides sous des ruches en dentelles et des manchons en singe. Deux femmes et un homme vont s'effleurer sans jamais oser, jusqu'à se briser sur l'autel des convenances. D'une langue satinée qui épouse les pincements d'un monde compassé, Wharton sonde ces cœurs gouvernés par l'étiquette. " Tout ce qu'ils vous demandent c'est de prétendre " écrivait-elle, caustique, dans ce qui pourrait être l'épigraphe de ce Temps de l'innocence, partition pour sourds-muets, bal d'émotion corsetées.

02/1999

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