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Dogen Zenji

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Religion

POLIR LA LUNE ET LABOURER LES NUAGES. Oeuvres philosophiques et poétiques

Après avoir publié la biographie de Maître Dôgen, moine zen, philosophe et poète, Jacques Brosse présente, sous un titre emprunté à l'un des poèmes du Maître, les traductions inédites et commentées de ses oeuvres les plus importantes. On trouvera le coeur de l'enseignement spirituel de celui qui, au Xllle siècle, introduisit au Japon le Zen Sôtô : le Bendô-wa, "sur le discernement et la pratique de la Voie" , le Gakudôyoiin-shû, "pour inciter l'esprit à étudier la Voie", et douze chapitres complets du chef-d'oeuvre de Dôgen, le Shôbôgenzô, le "Trésor de l'oeil du vrai Dharma" ; enfin, les merveilleux poèmes du Sanshô Dôei : les "Chants de la Voie du pin parasol" et les Poèmes chinois, peu connus, imprégnés de tout l'esprit abrupt et subtil du zen.

10/1998

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Global Manga/type mixte

Dôgen, maître zen

Le maître zen Dôgen (1200-1253) est à l'origine de l'école Sôtô du Zen au Japon. Il est reconnu comme l'un des plus grands religieux et philosophes japonais : dans le monde entier, on étudie son oeuvre et son enseignement sert de référence à tous les pratiquants du zen. Le manga "Dôgen, maître zen" raconte dans le détail les différents épisodes de sa vie : son enfance, sa quête de l' enseignement du Bouddha - au Japon puis lors d'un périlleux voyage en Chine - la rencontre avec son maître Nyojô, puis le retour dans son pays et les difficultés qu'il affronte pour transmettre l'enseignement qu'il a reçu. On y croise, dans la période troublée du Japon médiéval, les personnes qui ont compté pour Dôgen, sa famille, ses maîtres, ses disciples, moines et laïcs. "Dôgen, maître zen" - Dôgen sama monogatari – est l'oeuvre d'un moine zen spécialiste de Dôgen, Ryodô Awaya, et d'un mangaka réputé, Fumio Hisamatsu, qui fut assistant de Osaju Tezuka.

03/2021

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Zen

Shôbôgenzô kômyô. Cette lumière

Dôgen, issu d'une famille de l'aristocratie de Kyoto, vécut dans un Japon désuni, partagé entre deux capitales, la capitale impériale, Kyoto, gardienne des traditions, et Kamakura, siège du shogunat, le gouvernement féodal. La même époque, dite de Kamakura (1135-1333), austère, sombre, de fortes tensions, fut celle d'un éclatement du monde bouddhique entre écoles traditionnelles et écoles nouvelles, dont celle du zen. Nourri de culture chinoise et japonaise, armé de la réussite de sa période de formation dans la Chine des Song (alors considérée comme l'âge d'or des arts de la Chine et du zen (chan en chinois)), Dôgen revient au Japon avec pour mission d'y établir une base solide pour le zen, ce qui lui vaut d'être considéré comme l'un des fondateurs les plus illustres. Cette lumière est l'un des fascicules de l'oeuvre maîtresse de Dôgen, le Shôbôgenzô, qui réunit les discours adressés à ses élèves. Entré dans sa quarantième année, il compose ceux qui sont constituent le coeur philosophique de son oeuvre. La traduction ici proposée fait suite aux traductions déjà proposées par Charles Vacher, les plus récentes étant Je suis temps et En rêve, dire le rêve. Cette lumière, insaisissable par l'intellect, insubstantielle, immense et indivise, habite tous les êtres, tout ce qui existe. Et, c'est seulement par sa réflexion sur la nature de l'esprit, dans l'exercice de la méditation assise, autrement dit par la pratique de soi, que l'homme peut y accéder et ainsi s'éveiller à la réalité, lumineuse, fluide, luxuriante qui est celle du monde qui l'entoure. Dans ses traductions, Charles Vacher s'applique à transmettre avec clarté la profondeur de l'enseignement de Dôgen. Pour cela, il est appelé à résoudre les différences entre, d'une part, la langue japonaise de l'époque et l'inventivité linguistique de Dôgen, et, d'autre part, une langue française moderne où il vise la simplicité et l'exactitude. Afin d'en restituer la profondeur, ne serait-ce que pour réduire l'écart qui sépare les connaissances bouddhiques des élèves de Dôgen et celles de lecteurs moins avertis, il joint à sa traduction un précieux appareil critique, comprenant préface, introduction, commentaires, notes, citations, appendices.

05/2023

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Aventure

Menji Tome 1 : Menji et le serpent-dragon

Sur l'archipel de Rodaho, une croyance veut que tous les dix siècles, l'oeuf d'une créature mythique aux pouvoirs légendaires, le Serpent-Dragon, éclot et choisit pour maître le premier sur qui ses yeux se posent. Renard, le sournois maître ninja, compte bien être celui-là ! Pour cela, il a besoin de son apprenti, le chat Menji, mais, trouillard et peu dégourdi, Menji est incapable de remplir sa mission ! Furieux, Renard part à la recherche de l'oeuf sans prévenir Menji qui, accompagné de son ami Xilti et de Nara, continue sa mission.

02/2022

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Littérature étrangère

Le Roman de Genji

Le Prince Genji est le fils illégitime de l'Empereur du Japon. En plein Moyen Age, dans un univers splendide et ritualisé où s'échangent serments et malédictions, où l'on porte autant d'attention à la couleur de ses vêtements qu'à la qualité de sa calligraphie, au souffle du vent dans les arbres ou aux reflets de la lune sur la neige, il multiplie intrigues, aventures et tentations, délaissant sa magnifique épouse qui n'a que le tort d'exiger sa loyauté. Ce monde d'illusions et de faux-semblants, où l'on s'écrit autant que l'on s'aime, où l'on meurt de chagrin, où les esprits comme les sens sont possédés par des fantômes qui, eux aussi, ont beaucoup souffert, c'est la toile de fond du plus grand classique de la littérature japonaise, écrit il y a mille ans par une jeune femme dont on ne sait rien, sinon qu'elle vivait à la cour et qu'elle en connaissait tous les secrets. Les neuf premiers chapitres de ce texte-fleuve furent traduits au XXe siècle par Kikou Yamata, romancière franco-japonaise qui rend ainsi hommage, dans son style limpide, à la poésie et à la sophistication de ce chef-d'oeuvre. Grâce à elle, le Resplendissant, exerçant sur tous ceux qui l'approchent, pour leur plus grand malheur, sa sombre séduction, nous semble étrangement contemporain.

01/2021

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Cinéma

Souvenirs de Kenji Mizoguchi

Yoshikata Yoda fut le scénariste de tous les grands films de Kenji Mizoguchi: Les Contes de la lune vague après la pluie, L'Intendant Sansho, Les Amants crucifiés, Le Héros sacrilège, La Rue de la honte, et bien d'autres. A partir de 1948, et pendant près de vingt ans, il devient le compagnon de route du cinéaste, et bientôt son ami. Son ouvrage est un recueil de souvenirs personnels, de documents précieux et de réflexions sur Mizoguchi, qui composent une sorte de documentaire sur l'homme et son art: ses rêves, ses joies, ses peines, sa vision du monde, son style, sa méthode de travail, ses rapports avec ses collaborateurs, sa vie...

04/1997

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