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Dianne Duvall

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Littérature érotique et sentim

Les gardiens immortels Tome 2 : La nuit règne

Dianne Duvall dépeint un monde de tentation, de loyauté et de déchirements... un monde où le danger et le désir vont de pair... Ami ne fait pas facilement confiance aux étrangers. Elle accorde à grand-peine sa confiance à quiconque. Mais ce n'est pas une lâche, et elle n'est pas non plus une chiffe molle quand vient le temps de se défendre. C'est pourquoi, lorsqu'elle croise un guerrier mystérieux qui affronte seul huit vampires dérangés, elle n'hésite pas à sauver la peau de ce dernier. Bien sûr, c'était avant de se rendre compte que ce petit sauvetage l'entraînerait dans... Marcus Grayden est un protecteur de l'humanité depuis huit cents ans, et pour l'instant il n'est pas intéressé par les renforts. A partir du moment où Ami débarque dans sa vie, il ne peut nier qu'elle est forte, intelligente et extrêmement douée pour couvrir ses arrières. Mais elle détruit également la carapace qu'il s'était forgée, éveillant des désirs qui pourraient le faire souffrir. Après tout, quel que soit son secret - comment pourrait-elle vaincre la mort elle-même ?

06/2018

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Littérature érotique et sentim

Les gardiens immortels Tome 3 : Les ombres fantômes

La Dre Melanie Lipton connaît bien le surnaturel. Elle connaît les immortels mieux qu'ils ne se connaissent eux-mêmes, jusqu'au niveau de leurs petits gènes rebelles. Alors, même si un immortel séduisant et sauvage semble suspect aux yeux de ses collègues, Sebastien Newcombe intrigue Melanie. Son passé est en dents de scie, ses cicatrices sont saisissantes et ses idées sont provocantes. Mais ce ne sont pas ses idées qui amènent Melanie à combattre des poussées de désir... Bastien est habitué à être le méchant. En fait, il ne peut se rappeler la dernière fois qu'il a eu un allié fiable. Mais Melanie est différente - et sous son extérieur calme et professionnel, il sent une passion qui dépasse tout ce qu'il a connu au cours de ses siècles d'expérience. Céder à la tentation est hors de question - il ne peut la mettre en danger. Mais elle ne lui demande pas la permission...

09/2019

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Littérature érotique et sentim

Les gardiens immortels Tome 1 : A l'aube des ténèbres

Dans ce roman sensuel et éblouissant, Dianne Duvall invite le lecteur dans un monde de vampires, d'immortels et de mortels aux dons extraordinaires... où la passion peut durer éternellement, si l'on est prêt à en payer le prix... Il n'y a pas si longtemps, le plus grand défi de Sarah Bingham était de retenir l'intérêt de ses étudiants en classe. Aujourd'hui, après avoir sauvé un étranger blessé, elle a atterri au milieu d'une bataille entre des vampires corrompus et des immortels puissants qui ont également besoin de sang pour survivre. Roland Warbrook est l'homme le plus attirant que Sarah n'ait jamais rencontré. Mais son désir pour elle se mêle à une faim qu'il peut difficilement contrôler... Au cours de ses neuf siècles d'existence immortelle, aucune femme n'a tenté Roland autant que Sarah. Mais lui demander de l'aimer est impossible - cela signifierait renoncer au monde qu'elle a toujours connu, et à la vie qu'il ferait tout pour protéger...

06/2018

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Littérature française

Diane

"Diane est le récit d'une femme qui s'est perdue, qui erre et ne trouve d'intérêt pour rien, elle qui était toujours partante pour tout, toujours à l'écoute de tous. Retrouver la force, se redresser, se remettre en mouvement... tel est son nouveau défi. Ce texte se déroule au rythme des impulsions de cette femme au bord du gouffre, et le lecteur ressent chaque essoufflement, chaque respiration, chaque instant de vie. L'auteure veut nous faire avancer dans les pas de Diane pour en saisir toutes les émotions jusqu'au dénouement, heureux ou malheureux ? Laissez-vous guider par Diane...". (Claudine Citron)

04/2015

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Théâtre

Diane

Cet autoportrait est une traversée historique et familiale d'un itinéraire artistique hors du commun. Diane Arbus, née Nemerov en 1923 d'une famille juive new-yorkaise, travaille dans la photographie de mode aux côtés de son mari, avant de s'en affranchir pour imposer sa propre vision. Dans l'Amérique des années 1960, dans la lignée d'un Walker Evans, elle descend dans la rue à la rencontre de ses modèles. Restée célèbre pour ses portraits d'inconnu. e. s pris au reflex 6x6 à deux objectifs, elle se distingue par sa fascination pour les personnages hors-normes, là où l'étrange croise le familier. "Ce que j'essaie de décrire, c'est l'impossibilité de sortir de sa peau pour entrer dans celle d'un autre". Personnes transgenres, handicapés mentaux, jumeaux, nains, prostituées offrent des visages et des corps de l'Amérique moderne dont elle tente de capter la vérité, à contre-courant de l'esthétique conventionnelle du portrait. La pièce de Fabrice Melquiot donne voix aux relations nouées pendant sa courte vie : rencontre fulgurante avec Allan qui deviendra son mari, celle toujours intime avec ses modèles dont Jack Dracula (l'Homme Tatoué) ou sa professeure, Lisette Model. Se dessine ainsi le parcours singulier d'une artiste émancipée, dont l'intérêt pour la marginalité l'éloigne peu à peu de son milieu social. Des vignettes mêlant éléments purement biographiques et dates clés des relations internationales forment une chronologie croisée, où l'histoire de Diane tend un miroir à celle du monde.

01/2020

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Photographie

Diane Arbus

A Londres, en janvier 2005, l’exposition consacrée à la photographe Diane Arbus s’achève en gloire. La presse entière acclame ce travail longtemps jugé dérangeant, voire « pervers » comme le disait Susan Sontag. Les collectionneurs s’arrachent les tirages à prix d’or : « Boy with a toy grenade in his hand », cliché légendaire, se vend à 350.000 dollars. Nan Goldin, Steven Meisel ou Cindy Sherman sont les disciples de ce style noir et blanc, au format carré sans concessions, parfois dévoyé entre le « porno-chic » et le trash. Il manque quelqu’un pour le happy end. Diane Arbus n’est plus là pour savourer la revanche sur le milieu frelaté de la mode où les directeurs artistiques l’exploitaient au rabais. En juillet 1971, à l’âge de 48 ans, un jour de moite chaleur new-yorkaise, un ami la trouve les veines tranchées, dans sa baignoire. Diane Arbus, née Nemerov sur Central Park West, petite fille gâtée de l’upper-class juive américaine, puis mère de famille se levant à 5 heures du matin pour courir les cirques ou les asiles psychiatriques, est une artiste en photographie. Passée par la photographie de mode, travaillant pour Condé-Nast, Harper’s Bazaar ou Vanity Fair, fréquentant Richard Avedon et Irving Penn, elle consacre son temps aux frivolités qu’on maquille. Elle s’émancipe vite, se brûle au contact des damnés de la ville. C’est l’une des premières, sinon la seule avec Lisette Model, à saisir les ombres errantes de Manhattan : elle saisit au vif avaleurs de sabre, femmes à peau de serpent, nudistes militants, aliénés hilares, géants, jumelles sibyllines au regard de glace, photographiés au flash dans des hôtels miteux ou des recoins hors la loi de Central Park. Le Barnum américain, côté coulisses. « Je suis née tout en haut de l’échelle, et depuis toute ma vie, j’en ai dégringolé aussi vite que j’ai pu » disait-elle. Alors, comment rester intacte quand l’ambition d’une artiste est de traverser le miroir des apparences. Au risque de le briser. Se briser, aussi.

09/2009

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