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Collages

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BD tout public

Collages

Robert Varlez est un artiste originaire de Liège (Belgique). Collagiste, éditeur et auteur de bande dessinée conçue comme art narratif, plastique et kinésique, art du rythme et du mouvement syncopé, dont on a pu relire récemment les résultats chez Hoochie-Coochie ou Adverses. Collages est le premier livre d'une série reprenant les expérimentations découpées, déchirées, maculées, poétiques, politiques, philosophiques... issues d'une pratique de plus de trente ans de l'auteur. En 1972, Robert Varlez a créé la revue mensuelle 25 (ou M25), animée par Jacques Izoard, qui connaîtra 152 numéros. Il a publié des bandes dessinées expérimentales basées sur les jeux formels dans les revues littéraires Minuit, dirigée par Tony Duvert, M25 ou (A suivre). Il revendique des influences aussi différentes que le dessinateur Martin Vaughn-James (qu'il a édité), le dadaïsme, le surréalisme et des photographes Eadweard Muybridge (chronophotographie) ou Etienne-Jules Marey. Il vit actuellement en Belgique, près de Charleroi, et s'adonne toujours aux collages.

03/2018

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Pédagogie

Collèges de France

Le collège sera-t-il un jour un lieu de mémoire ? Au même titre que le Panthéon, le Tour de France ou Alésia ? Alésia, surtout. Il se contente pour l'instant d'être un lieu de déboires. Là réside sa beauté tragique, là commence sa force comique. Le collège doit dans un même élan résoudre la cruelle question du toner de la photocopieuse et celle de l'immortalité des dieux grecs. Il doit convaincre les élèves de la grâce d'une pensée libre tout en leur faisant bien comprendre qu'un môme de douze ans ne va quand même pas réfuter le théorème de Pythagore. Cet univers, aussi prosaïque que complexe, est à la fois familier et méconnu. Collèges de France vous invite à une promenade pittoresque en ses murs, à la découverte de ses indestructibles monuments (les estrades, la machine à café), de ses vaillants autochtones (les professeurs, les élèves, les CPE), de ses traditions séculaires (les heures de colle, la cantine), de son charmant folklore (les sigles, le jargon), de ses mythes ancestraux (l'autorité, l'élitisme), de ses guerres impitoyables avec leurs martyrs, leurs héros, leurs félons.

04/2004

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12 ans et +

Jours de collèges

Yannick, le rouquin, est la tête de Turc d'un prof de musique sadique. Sébastien, le petit de sixième, est le souffre-douleur des plus grands. Le mot, le geste de trop feront basculer le quotidien dans le drame. Samira a été renvoyée : elle refusait d'ôter son foulard. En solidarité, Claire, son amie, se couvre les cheveux. La bande des quatrième 5 relooke des tee-shirts et devient meilleure en stylisme qu'en français ! Lise, passionnée par son professeur de français, entame avec lui une correspondance connue d'elle seule.

09/2006

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Beaux arts

Collages. Edition bilingue français-anglais

Comme André Stas me téléphone pour me demander une préface à sa prochaine exposition, je descends à la cave. Dans l'escalier, je songe à un phénomène curieux qui se produit dans mon quartier depuis quelques semaines. À diverses reprises, en sortant promener mon chien, je découvre des souliers abandonnés dans la rue ; parfois la paire, parfois une chaussure seule. Ce ne serait pas extraordinaire s'il n'y avait cette réitération. Jadis, on trouvait surtout des gants (solitaires comme le vice), entre autres dans les cabines téléphoniques. Je ne sais si cette coutume se poursuit. Toujours dans l'escalier, sur l'antépénultième marche, je me félicite d'habiter une rue en pente, ce qui me met à l'abri des inondations, songeant du même coup à la devise que Ponge prête à l'eau : le contraire d'excelsior. Pour les séismes je me sens moins rassuré. Le mieux serait de grimper les escaliers quatre à quatre et de tomber avec la maison, par-dessus, évitant ainsi de me trouver en dessous. (Le trait d'union dans le premier cas et son absence dans l'autre sont déjà significatifs.) À la cave où je ne me rends guère, je suis frappé par une vaste et épaisse tapisserie de toiles d'araignées, constellée de grosses mouches domestiques. Je n'ai pas vérifié si leur disposition évoquait le ciel étoilé, ce qui ne serait pas plus étonnant que le ciel étoilé lui-même. Car si l'on connaît à peu près la date du big bang, on ne sait toujours pas ce qu'il y avait avant - avant, c'est-à-dire quand nos ennuis ont vraiment commencé. Cette floraison de mouches au sous-sol est étrange car les issues sont fermées. Elle s'explique au grenier, où entrées par les fenêtres et survolant l'escalier, les mouches viennent mourir de faim pour n'avoir pu trouver la voie du retour. (Moi - même, enfant, j'avais de la peine à reconnaître l'envers du chemin quand il me fallait revenir sur mes pas, toutes les mai-sons ayant changé inexplicablement de côté.) Je me pose la question d'une sorte d'élevage savant de mouches par les araignées, de manière à constituer une réserve de nourriture dans ce qui est finalement, bien que spacieuse et poussiéreuse à souhait, une prison. C'est à vérifier. N'ayant pas trouvé de préface dans la cave, je remonte. Il va falloir que je l'écrive.

05/2013

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Beaux arts

Sonja Ferlov Mancoba. Sculptures, dessins, collages

Ce catalogue d'exposition permet de découvrir l'oeuvre de l'artiste danoise Sonja Ferlov Mancaba (1911-1984) à travers une sélection de ses sculptures, dessins et collages. Evoluant en marge de tout, tant sur le plan artistique que personnel, Ferlov Mancoba a patiemment laissé infuser en elle un ensemble d'influences très diverses - depuis les arts africains, océaniens et précolombiens jusqu'au surréalisme danois, en passant par le travail d'Alberto Giacometti et les visions d'Antonin Artaud -, dont ses oeuvres portent la trace. Ayant longtemps vécu en France avec son époux, le sculpteur Ernest Mancoba, elle a construit une oeuvre qui magnifie le courage de l'être humain s'efforçant de rester debout, au sein d'un univers hostile. Sa vie durant, Sonja Ferlov Mancaba aura célébré les liens qui unissent les formes solitaires à tout ce qui les dépasse.

07/2019

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Théâtre

Cross chant des collèges

Un soir, dans l'intimité de sa chambre, Blake, 12 ans, crée son profil sur le réseau social au milliard d'utilisateurs. Le déferlement de violence verbale qui s'ensuit est immédiat. La jeune fille éteint l'ordinateur. Mais le cyber-harcèlement est sorti de l'écran comme il y était entré – par effraction dans la vie de Blake. Il envahit son quotidien au collège. Une semaine cruciale de la vie de la jeune fille commence, égrenée jour après jour dans un texte onirique, ludique, souvent drôle, toujours émouvant.

01/2017

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