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Charles-Albert Cingria

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Albert Camus

Né en 1913 en Algérie, Albert Camus fait ses études à Alger, où il profite de ma bienveillance d'un de ses instituteurs, Louis Germain, pour lequel il conservera une reconnaissance intacte. Fréquentant un temps le Parti communiste algérien, il s'en éloigne rapidement et, en 1940, il quitte l'Algérie pour s'installer à Paris avec Francine Faure. Deux ans plus tard parait L'Étranger, premier roman et immense succès d'Albert Camus.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Charles Bukowski

Né en 1920 en Allemagne, à Andernach, le jeune Heinrich Karl Bukowski n’a que 3 ans lorsque ses parents décident de partir pour les États-Unis. Celui qui sera plus tard connu sous le nom de Charles Bukowski parcourt bientôt les États-Unis et s’acoquine plus spécialement avec Los Angeles, cité qui influencera toute son œuvre. Son parcours chaotique n’a d’égal que la vénération intense dont ses écrits font l’objet...

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Dossier

Banquet pour tout le monde : Astérix et Obélix ont 60 ans

Les deux Gaulois les plus célèbres du 9e art fêtent, en 2019, leur 60e anniversaire : le 29 octobre 1959, le scénariste René Goscinny et le dessinateur Albert Uderzo présentent au monde un petit Gaulois, accompagné par son ami, plus... enveloppé. Rapidement, les deux héros deviennent les figures majeures du journal Pilote.

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Dossier

Le Commissaire Maigret, figure historique de la littérature policière

Le retour du Commissaire Maigret, cette fois sous les traits de Gérard Depardieu, relance l’intérêt pour le personnage de Georges Simenon. À travers 75 romans policiers et 28 nouvelles, l’enquêteur a officié entre 1931 et 1972. Amateurs de vins — sauf le champagne — et fumeur de pipe, il aura connu bien des visages sur petit et grand écran. 

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Dossier

Portraits de traductrices et traducteurs du passé

« Traduire, c’est trahir », selon l’adage italien, mais sans eux, pas de livres venus d’ailleurs dans les mains des lecteurs. Traductrices et traducteurs, penchés sur des textes antiques ou des publications plus récentes, ont enrichi les bibliothèques de leurs apports. Coauteurs de ces œuvres, souvent oubliés, voici un dossier qui rend hommage à un métier essentiel.

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Dossier

Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2020

La 47e édition du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême, ou FIBD pour faire plus court, se déroulera du 30 janvier au 2 février 2020 : à cette occasion, la ville tout entière vivra au rythme du 9e art, avec des événements un peu partout. Expositions, dédicaces, conférences, cosplays et autres masterclasses attendent les visiteurs, venus du monde entier. 

Extraits

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Critique littéraire

Charles-Albert Cingria

" Constantinopolitain, c'est-à-dire Italo-franc levantin ", comme il aimait à le dire lui-même, Charles-Albert Cingria (1883-12954) est l'un des écrivains les plus inclassables du XXe siècle. Natif de Genève, mais farouche catholique, dandy ruiné, il promena sa silhouette de clochard vélocipédiste entre Paris, où il garda longtemps un pied-à-terre, et la suisse romande, dont il fut, aux côtés de Ramuz, de Gilliard, de Gonzague de Reynold, l'un des promoteurs du renouveau littéraire avant d'être l'un des mentors de la génération des Jaccottet, Chessex et Borgaud. Collaborateur régulier de la NRF, ami de Max Jacob, de Claudel, de Paulhan, Cingria reste victime d'une légende d'un pittoresque trompeur et l'apparent éclatement de son œuvre, où l'érudition donne la main à la fantaisie dans un irrépressible élan de liberté créatrice qui bouleverse les frontières des genres. Pour les cinquante ans de sa mort, ce Dossier H fait le point sur sa fortune critique et brosse de lui un portrait témoignant de l'actualité de son œuvre et de la séduction qu'elle opère sur un lectorat de plus en plus nombreux.

01/2005

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Critique littéraire

Erudition et liberté. L'univers de Charles-Albert Cingria, actes du colloque de l'université de Lausanne

Le lecteur de l'an 2000 sera fasciné par Charles-Albert Cingria, par ses textes sans projets, sans points d'orgue, prolifiques dans leur désinvolture et leur fier inachèvement. Le talking de Cingria serait-il le style de l'avenir ? Où cohabitent sans s'opposer le bon sens et l'érudition, l'imperceptible vibration et la passion coruscante, un ludisme éberluant et une véhémente dénonciation. Sur le rythme joyeux propre à la jongleresse au milieu des neumes, Cingria livre ses observations " d'homme humain " (l'expression est empruntée par lui à la culture chinoise) dans une éblouissante polyphonie. Nous avons voulu, en réunissant professeurs et chercheurs de plusieurs générations et de formations diverses, entreprendre un parcours critique de l'univers entier de l'écrivain. C'est pourquoi nous ne leur avons donné aucune directive particulière et avons accepté le foisonnement et l'abondance. Erudition et liberté abonde en éclairages divers et en observations nouvelles qui se composent, s'emboîtent ou se prolongent et commencent à faire émerger le vaste champ d'une vision dont les maîtres mots seraient universalité, mobilité, finesse des notations, succulence verbale. Insensiblement apparaissent la cohérence de Cingria et une remarquable force, qu'un prochain colloque tentera, nous l'espérons, de préciser.

05/2000

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Littérature française (poches)

Bois sec, bois vert

En 1933, Jean Paulhan écrivait à André Gide : " Je ne serais pas loin de voir dans Cingria un grand écrivain. " C'était aussi l'avis de Claudel, de Ramuz, de Cocteau, de Max Jacob et de quelques autres. Quinze ans plus tard paraissait Bois sec Bois vert qui, aujourd'hui encore, est comme le microcosme d'une œuvre que son auteur dispersait autant par nécessité que par insouciance, mais qui s'est révélée avec le temps considérable, et d'une rare cohésion dans sa diversité. Si plusieurs textes que réunit Bois sec Bois vert semblent ainsi relever plus ou moins du genre de la nouvelle (Xénia et le diamant), du conte fantasmagorique (Hippolyte hippocampe), de l'étude littéraire historique (Lou Sordel) ou archéologique (Le Comte des formes), ils appartiennent en fait comme les six autres au genre unique et indéfinissable que s'est créé le génie vadrouilleur de Cingria. Captant l'extraordinaire acuité de sensations d'un être qui n'ignora que l'indifférence, c'est la langue elle-même ici qui voit, fait voir, et promène délectablement le lecteur. Avec son mélange d'élaboration fastueuse et de spontanéité déflagrante, elle nous restitue de la même façon le suc des temps anciens où déambulait l'érudition imaginative de l'écrivain, et la vibration des instants de ce monde que son regard toujours neuf et libre enregistrait pour les magnifier. " Je ne suis pas un nom ", a-t-il noté un jour, " il n'y a que la vie qui m'intéresse. " En retour la vie éclate dans tout ce qui demeure sous le nom de Cingria.

05/2000

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Littérature française

La grande ourse

Inédit, La Grande Ourse témoigne à la perfection de ce qui fut, beaucoup plus qu'un thème littéraire des écrits de Cingria, l'un des ressorts de sa vie vouée par les astres à un perpétuel besoin de partir et de repartir. C'est presque un récit de fiction pure (comme " démantibulé ", pour reprendre un de ses mots favoris), genre assez rare illustré par son œuvre su riche en imprévus. Autrement que fans ses chroniques, mais avec la même liberté, le même génie verbal, s'y donne libre cours par bonds, virages, caprices, coups de théâtre, un sens à la fois mystique, humoristique, pratique et sans doute autobiographique du merveilleux.

05/2000

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Littérature française

"Petites feuilles"

Certes les textes de Charles-Albert Cingria publiés dans les cinq numéros de Petites Feuilles ont été dans les œuvres complètes. Mais certaines contributions, non signées et non reprises, sont-elles peut-être également de lui. Sans compter que le contexte, l'entourage dans lequel ces morceaux sont insérés contribuent à leur donner une couleur particulière, souhaitée par Cingria qui porte à l'occasion le titre mirifique de " Rédacteur en chef " - son ami, le dessinateur, et en l'occasion metteur en pages, portant celui de " directeur ". Il était donc justifié de reproduire une fois dans leur intégralité les cinq numéros historiques nés de cette amicale collaboration. Les mérites conjugués de ces deux vaillants journalistes, soutenus et aidés dans l'occasion par quelques collaborateurs de fortune, ont fait de ces cinq fascicules une œuvre de haute fantaisie dont le charme n'est pas prêt d'être éventé.

01/1998

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Littérature française

LES AUTOBIOGRAPHIES DE BRUNON POMPOSO

Les autobiographies de Brunon Pomposo occupent une place de prédilection dans l'œuvre de Charles-Albert Cingria, car ce texte, aussi mince soit-il constitue en fait, au terme d'une longue maturation, son premier récit d'envergure. On ne connaissait jusque là de Cingria qu'une palette de textes éparpillés principalement dans Les Pénates d'argile, La Voile latine ou encore La Voix clémentine, tous textes datés des premières années du siècle. Rien ne semble presser Charles-Albert d'écrire avant et après la Première Guerre mondiale. Il voyage, musarde à sa guise, cherche sa pente. Ce n'est qu'en 1927 qu'il sortira de cette léthargie avec un texte consacré à la peinture et, enfin, date inaugurale, 1928, car il n'arrêtera plus d'écrire, la parution des Autobiographies aux Editions des Lettres de Lausanne pour le compte des Cahiers Vaudois. Certaines ressemblances entre Brunon et Charles-Albert indiquent que ces Autobiographies sont aussi une autobiographie. Avec les transpositions les plus fantaisistes dont ses lecteurs feront postérieurement leur régal. Tout est vrai et rien n'est vrai dans Cingria. On reconnaît les paysages favoris qui défileront dans son œuvre : Genève, les Etats sardes, de Douvaine à Turin en passant par Aoste et la vraie Sardaigne, celle des récifs de Serpentera. Le charme des Autobiographies, tient en grande part de retrouver dans ce premier récit tout ce qui constituera par la suite l'univers intimiste, et la saveur inimitable de Cingria. N'est-ce pas lui, en prélude à toute son œuvre, qui confiait à son ami Adrien Bovy en 1903 : " Il n'y a guère que les paroles qui semblent d'abord inutiles qui comptent dans une œuvre " ?

01/1998

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