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Caminhoa joaquim Monteiro

Extraits

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Généralités médicales

Catalogue des plantes toxiques du Brésil

Catalogue des plantes toxiques du Brésil / par le docteur J. M. Caminhoa,... ; traduit du portugais par le Dr Rey,... Date de l'édition originale : 1880 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2020

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Littérature française

Joaquim et le taureau

La vie ordinaire dépasse les fictions les plus travaillées, et l'autobiographie bien conduite, avec un regard attentif, sélectif, propice à l'écriture de la nouvelle, l'emporte sur l'autofiction. Ici, la quête du bonheur est en question, parce qu'elle néglige souvent ce que l'on a à portée de main et que l'on n'a pas su voir. Ainsi, pour relancer sa créativité de peintre un peu en panne, Joaquim s'est-il mis en tête de trouver un taureau pour lui servir de modèle. Non pas un taureau de corrida, mais la bête fantasmatique qui hante l'homme depuis Lascaux. Et il va avoir un mal fou à la dénicher, alors qu'à deux pas de chez lui... Et comme Joaquim, d'autres personnages de la vraie vie cherchent dans ce recueil un sens à leur existence, alors qu'il leur crève les yeux.

03/2017

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Poches Littérature internation

La tête perdue de Damasceno Monteiro

Cela se passe à Porto. Un vieux gitan, Manolo, fait une macabre découverte : un corps décapité. Où est passée la tête de la victime ? Qui l'a assassinée ? Qui avait intérêt à empêcher l'identification du cadavre ? Un journal populaire de Lisbonne va dépêcher un enquêteur sur place, le jeune Firmino, étudiant en lettres. Commence alors une sorte de faux polar à portée métaphysique, notamment sous l'impulsion de l'avocat Don Fernando, dit Loton, un homme cultivé, bizarre, excentrique même, d'esprit à la fois anarchiste et aristocratique. L'avocat pointe les énigmes, amorce des hypothèses, développe ses théories de la justice et son obsession de la Norme juridique. Et Firmino poursuit son enquête, qui finit par impliquer la police. Un roman surprenant, une réflexion aiguë sur les abus de pouvoir, sur l'illégalité, sur la xénophobie qui revient. Bref, les infamies de l'Europe contemporaine.

04/2011

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Critique littéraire

Joaquim Vital. Esquisses pour un portrait

Né à Lisbonne en octobre 1948, emprisonné sous Salazar à seize ans, exilé à Bruxelles à dix-huit, Joaquim Vital habitait Paris depuis 1973. Fondateur, en 1976, des Editions de la Différence, il y a fait paraître, en 1996, Vingt ans, bilan sans perspective, anthologie " parfois arbitraire " des textes et des images édités, non sans mal, pendant quatre lustres. En 2000, il a publié un recueil de poèmes, Un qui aboie, en 2004, Adieu à quelques personnages et, en 2008, La Vie et le reste. Sa dernière nouvelle, La Découverte du Brésil, paraît à titre posthume en 2011. Il a aussi traduit en français de nombreux auteurs portugais : Sophia de Mello Breyner, Vasco Graça Moura, Fernando Pessoa, Mário de Sá-Carneiro, Raul Brandào, Urbano Tavares Rodrigues, Isabel Fraga. Après sa mort, survenue à Lisbonne le 7 mai 2010, ses auteurs et amis s'attachent à évoquer le personnage qu'il a été et le rôle qu'il a joué dans leur vie. L'ouvrage est illustré par quelques artistes avec lesquels il a collaboré : José de Guimarães, Boris Lejeune, Bengt Lindström, Jean-Luc Parant, Júlio Pomar et Milos Sobaïc.

03/2011

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Beaux arts

Joaquín Sorolla. Lumière espagnole

Catalogue officiel de l'exposition Joaquín Sorolla à l'Hôtel de Caumont Centre d'art d'Aix-en-Provence du 10 juillet au 1er novembre 2020. . Joaquín Sorolla (1863-1923), l'un des plus grands noms de la peinture espagnole du XXe siècle, est à l'honneur à l'Hôtel de Caumont en 2020. On lui doit une des représentations les plus marquantes et éclatantes d'une Espagne lumineuse et méditerranéenne, optimiste et moderne. Fondée sur le naturalisme, sous l'influence de Bastien-Page, sa peinture est très marquée par la constante référence à Velázquez, que Sorolla considère comme son grand maître. Cet apprentissage est enrichi par un coup de pinceau libre et lumineux, proche de l'impressionnisme, et par une interprétation de la lumière et de la couleur incroyablement vitaliste et novatrice. Ses compositions magistrales, informées par les nouvelles possibilités de cadrage de la photographie, ainsi que par l'influence de l'estampe japonaise, nous captivent par leur spontanéité, leur immédiateté et leur modernité. L'exposition de l'Hôtel de Caumont s'appuie sur plusieurs recherches afin d'aborder la manière dont Sorolla a construit son oeuvre, s'attachant à trois questions fondamentales : le processus créatif de l'artiste, les sources des principaux sujets de son oeuvre et l'évolution de ces sujets au sein de sa production. Aux côtés d'oeuvres ambitieuses de grand formats, sont exposés de petits dessins et esquisses à l'huile, qui éclairent d'une lumière nouvelle sa conception de l'art, dont le trait principal est la luminosité et la spontanéité. Essentielles dans son processus de travail, ces esquisses de petits formats lui permettent de cerner les sujets qu'il explore, de tester des compositions ou des combinaisons de couleurs. L'exposition est aussi l'occasion de faire connaître, à travers les photographies et l'abondante correspondance de l'artiste, le caractère infatigable, quasi obsessionnel de son travail, et permet d'analyser la manière dont Sorolla a élaboré son style le plus personnel.

06/2020

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Littérature étrangère

La ballade de Joaquin Murieta, bandit mexicain

A l'époque de la Ruée vers l'or en Californie, un jeune Mexicain injustement humilié se fait hors-la-loi. Avec sa bande, Joaquin Murieta écume l'Etat, récemment annexé aux Etats-Unis, terrorisant les Gringos, et entre finalement dans la légende. Cavalcades, coups de feu, romances amoureuses, bagarres, ruses et lynchages à n'en plus finir rythment les pages haletantes de ce western grand style. Publié en 1854, La Ballade de Joaquin Murieta, inspiré de faits réels, premier roman jamais écrit par un Amérindien, fonde le mythe du bandit mexicain au grand coeur — l'origine de Zorro –, qui inspira jusqu'à Pablo Neruda et promet des jours de vengeance à tous les opprimés de l'Amérique triomphante.

04/2017

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