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Brice Parain

Dossiers

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Franck Bouysse

Né en 1965 à Brive-la-Gaillarde, Franck Bouysse publie son premier roman en 2008, L’Entomologiste, aux éditions Lucien Souny. Entre 2008 et 2012, il signe une trilogie, la Trilogie H., aux éditions Les Ardents Éditeurs, avec des illustrations de Pierre Demarty.

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Dossier

En série ou en film, les adaptations de livres crèvent l'écran

Le Parrain, Les Dents de la merRaisons et sentiments, Le Seigneur des Anneaux, la saga Harry Potter, Le Nom de la Rose, Orange mécaniqueVol au-dessus d'un nid de coucou, Le GuépardLettre d'une inconnue... Tous ces films ont un point commun, celui d'être des adaptations de romans ou de sagas littéraires...

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Dossier

Lire en poche, le salon de Gradignan dédié aux petits formats

Harlan Coben, qui fut parrain de l’édition 2017 explique : « Le livre de poche est une des innovations majeures du siècle dernier. Brusquement, grâce à ce nouveau format merveilleux, les gens ont pu acheter plus de livres et les emporter partout. La pratique de la lecture s’est véritablement développée grâce au poche — et est devenue à la portée de tous. Nous célébrons cet héritage aujourd’hui sur ce salon. » 

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Albert Camus

Né en 1913 en Algérie, Albert Camus fait ses études à Alger, où il profite de ma bienveillance d'un de ses instituteurs, Louis Germain, pour lequel il conservera une reconnaissance intacte. Fréquentant un temps le Parti communiste algérien, il s'en éloigne rapidement et, en 1940, il quitte l'Algérie pour s'installer à Paris avec Francine Faure. Deux ans plus tard parait L'Étranger, premier roman et immense succès d'Albert Camus.

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Dossier

Congrès 2018 de l'ABF : À quoi servent les bibliothèques ?

Le 64e congrès de l'ABF se déroulera à La Rochelle à l'espace Encan, du 7 au 9 juin 2018, sur le thème : À quoi servent les bibliothèques ? 

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Laetitia Colombani

Cinéaste, scénariste, comédienne et romancière, Laetitia Colombani s’apprête à réaliser au cinéma le film tiré de son premier roman La Tresse (Grasset, 2017), co-production internationale dont la sortie est prévue en 2022. Elle est également l’auteure des Victorieuses, best-seller en cours d’adaptation en série. L’album jeunesse Les Victorieuses, ou le palais de Blanche est également publié chez Grasset en juin 2021.

Extraits

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Critique littéraire

Brice Parain. Un homme de parole

Trente-cinq ans après le numéro d'hommage que lui consacrait à sa mort La Nouvelle Revue française, cet ouvrage rassemble une matière inédite sur le philosophe, écrivain et éditeur Brice Parain (1897-1971). Il s'agit, d'une part, de textes et témoignages prononcés lors d'une journée d'études en juin 2002 organisée par la Bibliothèque nationale de France, détentrice de ses archives personnelles. On y a joint, d'autre part, un ensemble de documents (correspondance, articles de presse, textes de l'auteur) éclairant d'un nouveau jour le parcours singulier d'une des grandes figures intellectuelles françaises du siècle dernier. Les analyses des historiens se mêlent ici, documents et archives à l'appui, aux travaux des philosophes et des critiques pour porter un regard plus renseigné sur ses multiples interventions dans la vie intellectuelle, littéraire et politique du pays : son rapport au communisme et aux communistes français, son rôle exact dans l'histoire éditoriale de la NRF, son dialogue avec les nouvelles figures dominantes de la vie intellectuelle de l'après-guerre son célèbre affrontement avec Jean-Paul Sartre est l'épisode le plus souvent cité ; mais il y en aura d'autres... Et voilà bien sûr que, par d'autres voies, on interroge à nouveau, en s'efforçant de la saisir sous tous ses aspects et variations et dans sa grande profondeur, ce qui demeure la grande question de sa vie : qu'est-ce qu'un langage à la mesure et au service de l'homme ? Homme de courage et de cœur autant qu'homme de lettres, Parain tire sans doute son opiniâtreté d'une enfance paysanne où l'on ne se payait pas de mots. Les témoignages abondent pour dépeindre la gentillesse, l'ouverture d'esprit, l'obstination aussi du " philosophe paysan " qui n'a jamais rien oublié de la campagne de son enfance. Ni de la Russie, d'ailleurs, qu'il connaissait intimement et dont il contribua à faire connaître les grands auteurs passés et contemporains en menant une politique active de publications et de traductions - des grandes traductions données par la " Pléiade " au Docteur Jivago de Boris Pasternak. Un Français à l'âme slave, donc. Et une personnalité très attachante.

04/2005

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Théâtre

Noir sur blanc

Noir sur blanc est une expression dure. Quand on dit qu'on va mettre ceci ou cela "noir sur blanc" on s'attend à faire un geste, un peu définitif, sur lequel on n'aura pas tout de suite à revenir, qui même, au contraire, pèsera sur tout le reste pendant un certain temps. Ecrire, parler est donc toujours un peu ahurissant, mais devient parfois aussi terrible, comme la vie. C'est ce qui arrive à M. Jamet, quand il voit ce qu'il ruminait se transformer en discours, qu'il prononce. Il ne réussit pas à maîtriser toutes ses paroles. Il y en a même après lesquelles il court, et qu'il a beaucoup de mal à rattraper. Le spectacle qu'il offre ainsi ne peut être que tantôt drôle, tantôt un peu effrayant. M. Jamet a été jaloux de sa fille lorsqu'elle était petite. Tout est parti de là. Les maris sont souvent jaloux de leurs enfants, parce que ceux-ci prennent leur femme au moins pendant un certain temps. Mais ils ne peuvent pas se permettre de l'être. Un bébé est trop fragile pour qu'on ose s'acharner sur lui. Alors des transferts se produisent. Ils sont, naturellement, lents, presque impossibles à contrôler. Lorsqu'ils affleurent ensuite sous la forme d'idées, d'entreprises, de rêves, que peut-on faire d'autre que les traiter comme tels ? M. Jamet suit son obsession sous nos yeux là où elle le mène. Elle se contentera peut-être d'être devenue le discours que nous entendons à la fin, ou peut-être elle voudra encore être réalisée plus concrètement.

05/1962

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Poches Littérature internation

Joseph

Joseph, un jeune poète, et sa femme Nora, une Norvégienne qui fut artiste peintre, ont une petite fille et vivent pauvrement. Ils ont beaucoup de mal à ne pas se disputer. De scènes en accalmies, au bord de la rupture, ils arrivent à échapper à la mécanique des ressentiments. Une trêve intervient.

04/1983

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Littérature française

De fil en aiguille

Ceux qui sont nés, comme l'auteur de ce livre, dans les dernières années du siècle précédent, qui ont eu leurs vingt ans au front, avaient encore grandi non seulement sans autos ni avions, ni radios, mais même, s'ils n'étaient pas riches, sans l'électricité chez eux. Lorsqu'ils sont tombés, à peine sortis de l'enfance, dans la machinerie de l'autre guerre, ils n'avaient eu pour formation que les humanités classiques, la morale de Kant, le symbolisme et les marches à pied. Depuis, en une quarantaine d'années, à un rythme presque infernal, ils ont dû avaler, venant d'ailleurs un peu pêle-mêle, la révolution russe, les guerres civiles en Europe, la psychanalyse, la dialectique hégélienne, le marxisme, la phénoménologie, l'existentialisme, le national-socialisme, l'invasion de la France, la dislocation des empires coloniaux, la physique nucléaire, les bombes atomiques, le retournement contre l'Europe occidentale des idées et des connaissances qu'elle avait produites et qu'elle continuait à produire, la fin de son hégémonie. C'était peut-être beaucoup. C'était peut-être trop ? Le résultat en a peut-être été la rupture définitive avec le passé ? C'est ce que se demande Brice Parain. Il a eu souvent le sentiment qu'il risquait de se perdre, que courir les routes, se déplacer en avion, téléphoner un peu partout, savoir qu'il existe des camps de concentration en Europe, regarder de la peinture dite abstraite, faire tout dépendre de l'avenir, ne pouvait rien avoir de commun avec la vie qu'il avait menée au temps des gendarmes à cheval et des lampes à pétrole. Ce sentiment lui a fait peur. Il a voulu y réfléchir. L'Occident s'était peut-être trompé, à un moment ou à un autre ? La liberté, telle qu'il l'a définie, a engendré la solitude et la solitude engendre le suicide. L'Occident a peut-être sacrifié la vie à ses ambitions ? Faudra-t-il qu'il rapprenne à vivre pour éviter de périr ? Brice Parain ne se résout pas à s'en tenir à la dialectique comme méthode de raisonnement pour comprendre l'histoire et la vie. Il croit que la dialectique est pareille à une ligne tortueuse qui a pourtant un axe. La connaissance de cet axe rétablirait une logique, qui permettrait de refaire une morale. Ajoutons qu'il sait le russe, s'étant mis à l'apprendre très vite après son retour de la Grande Guerre, en 1920. Depuis, sa réflexion s'est largement alimentée à la confrontation entre l'Occident et la Russie, qui lui était toujours présente. On n'aura pas de peine à en suivre les démarches. Elles nous sont exposées à travers le récit des simples événements d'une enfance et d'une adolescence aussi passionnées de sentiments que de pensée.

10/1960

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Littérature française

Petite métaphore de la parole

Ce livre n'a pas été écrit pour évoquer les embarras qui viennent à l'homme de son langage, malentendus, stupéfactions, inhibitions, méfiances de toutes sortes. Ils ne servent qu'à introduire la préoccupation qui y est appelée métaphysique, pour qu'on la distingue des recherches sémantiques, stylistiques, ou psychologiques : qu'à force de souffrir parce qu'on n'a pas dit, ou qu'on a mal dit, ce qu'il y avait à dire, et qui reste à peser sur le coeur, on en arrive à se demander pourquoi il ne suffit pas de vivre, mais qu'il faille encore le dire, pourquoi nous ne savons pas nous entendre sans avoir besoin de parler, comme le font les abeilles ou les corbeaux. Car notre langage n'est pas qu'un code de signaux plus compliqué qu'un autre. Il est l'aventure de la pensée, des mots qui sont là depuis toujours, semble-t-il, qu'on tourne et retourne, sans voir où ils mènent. Nous ne savons pas, non plus, d'où il nous est venu. L'hypothèse actuelle de l'évolution, serpent, oiseau, singe, puis homme criant d'abord, parlant ensuite, est assez terrible, à la réflexion. Notre civilisation des livres paraît signifier que la destination de l'homme est de se transformer en des mots qu'autrui a le pouvoir de ne pas écouter. Le ressort de la philosophie classique était le langage vrai. Y en a-t-il un ? Celui de la dialectique moderne pourrait être le mensonge vraisemblable, prenant une allure de cérémonie, avec la littérature pour modèle. Il faut un soubassement à un tel édifice. C'est de cette métaphysique qu'il est question ici.

04/1969

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Beaux arts

Nathalie Parain

La première monographie consacrée à Nathalie Parain parait enfin. Cette grande artiste a marqué l'histoire du livre pour enfants de façon décisive. Formée à l'école de l'avant-garde russe, elle émigre en France avec son mari, Brice Parain. Commence alors une longue et fructueuse collaboration avec Paul Faucher pour les albums du Père Castor, après un ouvrage publié à la NRF. Ce sont les jalons de la création de ces livres exceptionnels que retrace cet ouvrage. Des entretiens de Michèle Cochet avec sa fille, Tatiana Mailliard-Parain, font revivre leur genèse et sont illustrés de documents inédits. Michel Defourny explore les thèmes et les pratiques artistiques novatrices des premiers albums du Père Castor et un article de Claude-Anne Parmegiani, paru initialement dans La Revue des livres pour enfants accompagne des originaux des Contes du chat perché, encore conservés par la famille de l'artiste.

11/2019

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