Recherche

Armistead Maupin

Extraits

ActuaLitté

Critique littéraire

Anges batailleurs. Les écrivains gay en Amérique, de Tennessee Williams à Armistead Maupin

"La révolution gay fut d'abord et avant tout une révolution littéraire". Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, aux Etats-Unis, une nouvelle génération d'écrivains s'est imposée et a durablement laissé son empreinte sur le paysage artistique, culturel et social, non seulement de l'Amérique mais du monde entier. Leurs noms? Truman Capote - l'enfant terrible, pourfendeur "de sang froid" de la société mondaine. Gore Vidal - chroniqueur affûté de la vie politique et sexuelle de ses contemporains. Tennessee Williams - le damné magnifique qui, presque à lui seul, redéfinit les contours du théâtre américain. Mais encore James Baldwin, Christopher Isherwood, Allen Ginsberg ou, plus près de nous, Edmund White et Tony Kushner... Point commun de tous ces écrivains, outre l'insolence de leur talent ? Leur homosexualité assumée, sinon affichée, en un temps où l'on n'appréciait guère ce genre de revendications... Loin des cortèges de manifestants, c'est par le verbe que ces "éminents hors-la-loi" brisèrent le tabou et ouvrirent la brêche qui allait mener à l'un des bouleversements les plus importants de ce dernier demi-siècle dans nos sociétés modernes.

09/2013

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Mon autre famille. Mémoires

Sa famille, Armistead Maupin l'a choisie. Faite d'affinités électives, sa " famille logique " est celle qu'il a trouvée à San Francisco, loin du Sud conservateur dont il est issu. Au gré de ses nuits folles et de ses grandes passions, le garçon timide qu'il a été se métamorphose en artiste adulé, porte-parole d'une époque tumultueuse. Une inoubliable ode à la tolérance et à la liberté d'être soi-même.

05/2019

ActuaLitté

Littérature étrangère

Chroniques de San Francisco Tome 9 : Anna Madrigal

Anna Madrigal, la légende du 28, Barbary Lane, sait qu'elle n'est pas éternelle. A 93 ans, pour «s'en aller comme une dame», elle part affronter son passé. La voici de retour dans le Nevada, là où elle fut Andy, adolescent amoureux du ténébreux Lasko... Entourée de tous ceux qu'elle aime (Brian, Shawna, Michael et quelques nouveaux venus), ses aventures vont la conduire jusqu'au Burning Man, un festival déjanté où tout peut arriver. Neuvième saison des Chroniques de San Francisco, Anna Madrigal lève enfin le voile sur ce personnage emblématique, en un formidable hymne à l'affirmation de soi et à l'amour sous toutes ses formes.

04/2015

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Chroniques de San Francisco Tome 5 : D'un bord à l'autre

" Est-il encore utile de présenter Armistead Maupin ? [... ] En 1976, il commence à publier des historiettes dans les colonnes du San Francisco Chronicle. Armistead Maupin remet au goût du jour le feuilleton, tel que le pratiquait Alexandre Dumas au XIXe siècle. Seulement, notre Américain laisse la chevalerie dans sa poche, préférant à d'Artagnan un certain Michael Tolliver (alias Mouse), un joyeux homo. Ce dernier cohabite avec Mona Ramsey, Brian Hawkins et Mary Ann Singleton au désormais mythique 28, Barbary Lane. Mme Madrigal, une "logeuse d'une sensibilité quasi cosmique", transsexuel et mère poule en puissance, y accueille les nouveaux locataires par un joint de son herbe maison... " Emilie Grangeray, L'Officiel.

04/2001

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Chroniques de San Francisco Tome 2 : Nouvelles chroniques de San Francisco

Rien ne va plus au 28 Barbary Lane. Tandis que Mary Ann et Michael partent en croisière à Acapulco, Mona quitte San Francisco pour devenir réceptionniste dans un bordel de Winnemucca, tenu par une sexagénaire timbrée. Entre deux joins, Brian est quant à lui déterminé à percer les secrets de leur logeuse… Une odyssée déjantée et envoûtante sur la Californie des seventies. « Une petite communauté pas « politiquement correcte » pour deux sous et d'autant plus attachante que son quotidien est raconté avec beaucoup d'humour et de tendresse. » Le Parisien

03/2000

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Maybe the moon

" Pour Cadence Roth, "décrocher la lune", c'est décrocher un vrai rôle au cinéma. Parce que, après avoir composé sous un masque le rôle de l'elfe dans un film mythique, Cady compte bien jouer dans la cour des grands, ce que sa très petite taille lui interdit. Dans ce roman sous forme de journal, les faux-fuyants du politiquement correct et les promesses vaines des agents artistiques alimentent un portrait sans appel de Los Angeles, où la différence n'a pas droit de cité. Après ses Chroniques de San Francisco, Armistead Maupin poursuit avec drôlerie sa critique de la société américaine. Et seule Cady en sort grandie. " (Marie Gobin, Lire)

02/2002

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté