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Annick Bouniol-Giroux

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Extraits

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Santé, diététique, beauté

Intolérante au gluten

Par le récit de sa vie, Annick veut témoigner de la gravité de la maladie coeliaque, la véritable intolérance au gluten et ­s'élever fortement contre le phénomène de mode du régime sans gluten. Ce dernier décrédibilise la coeliaquie auprès de tous, restaurateurs, commerçants, amis, parents, journalistes et même certains généralistes qui ne voient pas le problème de commencer un tel régime sans avoir fait le diagnostic, par une simple prise de sang, de la maladie coeliaque. Or, cette maladie a failli la tuer par deux fois. L'auteure raconte les difficultés rencontrées dans son métier d'attachée de presse de l'Orchestre National de Lyon, pour suivre son régime d'une façon très stricte, sans quoi de graves complications ­surviennent. Elle témoigne enfin de la souffrance morale qui s'ajoute à celle physique, le poids du handicap ressenti dans ses fonctions de chargée de mission à la mairie de Lyon à la fin de sa carrière.

01/2019

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BD tout public

Annick Tamaire Tome 1

C'est l'histoire de la fille la plus adorable, extraordinaire, méga trop bien que la terre ai jamais portée.

01/2021

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Policiers

Cobayes - Yannick

Ils ne se connaissaient pas... Ils ont tous répondu à la même annonce... Une compagnie pharmaceutique. Des cobayes. Des effets secondaires insoupçonnés. Mon principal défaut : ma générosité. Coup de pouce, oreille attentive, dos large, coeur sur la main. Je me fends toujours en quatre pour aider les autres... à mon détriment. Et j'ai l'embarras du choix. De mon meilleur ami Lucien pour qui je suis le parfait confident, à ma voisine d'en dessous, la charmante Marguerite, qui me prend pour son homme à tout faire, tous me considèrent comme le candidat idéal pour satisfaire leurs caprices et calmer leurs angoisses. Et il y a ma soeur, Myriam, pour qui je donnerais ma vie. La sienne n'est pas facile et j'aime croire que je suis toujours là pour elle. Souvent, je m'oublie pour qu'elle puisse être heureuse. Sauf que, ces derniers temps, je sens que j'ai franchi le point de non-retour. Depuis que j'ai commencé à participer à cette étude clinique, ma vie me semble lourde, déréglée, impossible. Oui, l'argent que j'y reçois aide beaucoup ma soeur, mais toute cette expérience me dépasse. Je suis de moins en moins charitable, de plus en plus impatient. Et je commence à faire des cauchemars. A avoir des hallucinations qui me semblent parfois tellement vraies... Découvrez l'univers de COBAYES à travers la plume de sept auteurs différents. L'horreur et le suspense vous attendent dans les sept romans de cette série, à lire dans l'ordre... ou dans le désordre !

11/2019

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Beaux arts

Lucie Bouniol. Une femme pour l'art

Lucie Bouniol fait partie de ces artistes régionaux que l’on redécouvre avec surprise et bonheur. Native de Giroussens, village tarnais auquel elle était profondément attachée, elle a pourtant côtoyé durant le XXe siècle les plus grands noms du monde de l’art, en particulier dans l’entre-deux-guerres. Dotée d’une solide formation classique, elle participa à l’École de Paris, dont on se préoccupe à nouveau après une longue période d’indifférence. La ville de Castres et le musée Goya s’attachent depuis de nombreuses années à la mise en lumière de ces personnalités dont l’exemple le plus marquant demeure Georges Artemoff, présenté avec un succès considérable en 2010. Généreuse, femme de caractère particulièrement tournée vers les autres, Lucie Bouniol a consacré une part importante de sa vie à encourager les femmes artistes. En 2014, le musée Goya rend d’ailleurs hommage à ces dernières en exposant les oeuvres d’Annie Warnier et de Nathalie Graal. Au gré de l’exposition consacrée à la riche personnalité de Lucie Bouniol, le spectateur aura l’occasion de découvrir les différentes facettes de l’artiste : peintre et sculpteur, elle fut également, ainsi que le révèlent ses carnets, une femme de plume, sans doute en partie grâce à son amitié avec Colette.

03/2014

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Montagne

Yannick Seigneur. L'iconoclaste

Par ses réalisations ambitieuses, Yannick Seigneur a marqué l'alpinisme des années 1960-1970. Mais en professionnalisant son activité d'alpiniste avant l'heure, il fut accusé de vendre son âme au diable... A son époque, il fut le meilleur alpiniste français, en compétition avec l'Italien Reinhold Messner pour la conquête des quatorze " 8000 ". Yannick Seigneur fut le précurseur des expéditions alpines en Himalaya, une technique d'ascension reprise par tous les grands alpinistes aujourd'hui. Mais en revendiquant ouvertement d'être un professionnel de l'alpinisme qui commercialise ses exploits, - via le sponsoring, la publicité, la médiatisation et les films - Yannick Seigneur a fortement heurté ses contemporains, qui lui ont reproché de vendre son âme au diable. Il a été rejeté et ostracisé par le milieu de la montagne, car il incarnait une forme de marchandisation de l'alpinisme pour sa seule gloire, un fait devenu banal dans le monde de l'alpinisme... Il n'empêche qu'il a ouvert la voie à la " starisation " des alpinistes dans les années 1980, aux exploits individuels - vitesse, enchaînement de plusieurs sommets - et aux expéditions commerciales dont il fut aussi le précurseur. Etre trop en avance sur son époque se paie parfois très cher. Yannick Seigneur fut un alpiniste iconoclaste...

01/2020

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Actualité et médias

Françoise Giroud. Une ambition française

Giroud a tout écrit sur Françoise. Au fil des années, elle a publié des articles, des portraits, des romans, des biographies à succès ; mais rarement journaliste aura mis tant de soin, de livre en livre, à se raconter soi-même, à décrire son parcours et son monde. Ainsi elle a constitué son effigie, construit sa statue, elle l'a affinée avec ses mots, masquant à l'occasion fêlures et fissures, tout ce que la vie charrie et qu'elle a voulu enfouir au plus profond. Longtemps elle nous a accompagnés de la sorte, séduisante et caustique, masque parfait, intimidant et toujours souriant d'une certaine réussite au féminin. Je suis partie à la découverte de la véritable Françoise Giroud. Avec infiniment de respect, d'admiration, d'affection, même, mais aussi avec l'exigence qu'elle manifesta si constamment à l'égard des autres. J'ai retrouvé bien sûr la grande journaliste, celle qui, sans relâche ni lâcheté, le temps d'un très long parcours, sut mieux que personne décrire ses contemporains et analyser l'air du temps. J'ai aussi compris une autre histoire, celle d'une femme venue de loin qui, surmontant l'humiliation, la souffrance et les préjugés, voulut coûte que coûte réaliser son rêve : atteindre une sorte d'excellence à la française. Son grand œuvre, ce fut sa vie. (Christine Ockrent)

05/2003

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