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Adolf Rudnicki

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Littérature étrangère

Baguette

Ce recueil de nouvelles contient onze textes et tous, à l'exception de celui que l'auteur a choisi pour donner son titre à l'ensemble, sont des "récits d'amour". Aussi divers que possible, aussi bien par les dimensions (ils vont de quatre à quatre-vingts pages), que par le ton, le milieu, l'époque et la qualité des protagonistes, ils dévoilent un autre aspect du talent d'Adolf Rudnicki, ce grand écrivain qui a consacré jusqu'en 1956 l'essentiel de son oeuvre au martyre des Juifs polonais sous l'occupation.

09/1971

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Littérature étrangère

Les Fenêtres d'or. Suivi de L'Ascension et de Daniel agonisant

Adolf Rudnicki, Les Fenêtres d'or Traduction d'Anna Posner Au début de l'année 1943, dans le ghetto de Varsovie, des mouvements de résistance prennent les armes pour s'opposer aux rafles qui ont déjà envoyé des centaines de milliers de personnes dans les camps nazis. Au mois d'avril, les SS décident d'en finir et rentrent en force dans le ghetto. Un mois de combats acharnés s'ensuivra, à l'issue duquel le ghetto ne sera plus qu'un vaste champ de ruines, au coeur de Varsovie. Parmi les immeubles en flammes, des hommes luttent désespérément pour trouver le moyen d'échapper à l'apocalypse. D'autres ont choisi de rester pour mourir l'arme à la main, d'autres encore sont venus de l'extérieur, parce qu'une force en eux les obligeait à le faire. Les Fenêtres d'or est sans doute le chef-d'oeuvre d'Adolf Rudnicki (1912-1990), l'un des grands écrivains polonais de ce siècle, survivant de la résistance juive polonaise au nazisme.

11/2010

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Littérature étrangère

Le Marchand de Lodz. Suivi de Le Grand Stéphane Konecki et de Régina, Régina Borkowska

En 1942, les nazis bouclent le ghetto de Lodz. Nul ne sait pourquoi ils décident alors d'y nommer un chef, un empereur d'opérette, choisi parmi les anciens du ghetto. Ce Marchand de Lodz, lâche, obtus, mégalomane, prendra sa fonction au sérieux, à tel point qu'il deviendra très vite le pire ennemi de ses compagnons d'infortune...

06/2010

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Littérature étrangère

La mort d'un Polonais catholique

En 1986, Adolf Rudnicki composait ces adieux, écrivant l'épitaphe émue du poète Mieczyslaw Jastrun, l'ami de toujours, et évoquant longuement Jerzy Andrzejewski, ce "Polonais catholique" devenu, à une certaine époque, le chantre du régime communiste auquel il offrit Cendres et diamant. Józef Prutkowski, Witold Gombrowicz, Stanislaw Jerzy Lec... Une galerie de portraits funèbres ? Pas exactement et beaucoup plus. Rien de péremptoire ni d'exhaustif. L'esquisse de la sensibilité de chacun dans ses conditionnements, ses faiblesses, ses relations avec le pouvoir politique. Adolf Rudnicki, ce grand écrivain polonais, était le descendant d'une vieille famille hassidique. Là se trouve peut-être une des sources de l'écriture rudnickienne alliant le témoignage comtemplatif à l'exégèse patiente du livre de la Pologne et des Juifs polonais (Les fenêtres d'or, Le lion du Saint Sabbath...), du communisme (Le compagnon de route)... Inlassablement, Rudnicki tentait d'éclairer quelque peu, simplement, les forces obscures qui s'emparent des êtres et des peuples. Tâche ardue et solitaire de celui qui ne voulut être - dans la Pologne d'après 1945 - que d'un seul parti : "A. R".

02/1994

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Comédie romantique et humorist

Adolf

Récit plein d'humour et de dérision, mais aussi franche critique, sur l'indifférence et mépris de notre minable et parcimonieuse société, à l'égard de nos malheureux dans abris. Moments qui vous rire ou sourire, et d'autres qui pourraient vous arracher une petite larme. Synopsis : Adolf, un miséreux et indéfinissable chien bastard, accompagne et partage la piteuse vie de Charles et Arthur, deux valeureux clochards, dans les multiples péripéties de leur misérable vie Parisienne.

07/2021

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Histoire internationale

Adolf Eichmann

Adolf Eichmann est l'un des dignitaires nazis les plus tristement célèbres. Cette renommée, il la doit en partie à la médiatisation de son procès et au portrait brossé par Hannah Arendt. Incarnation de la " banalité du mal ", il organisa, de 1941 à 1945, la déportation de masse et l'extermination des Juifs d'Europe. Méticuleux, assis à son bureau, il fut au coeur du génocide nazi. Méconnu des chasseurs de nazis au sortir de la guerre, il parvint à fuir en Argentine en 1950. II y mena une vie paisible, jusqu'au mois de mai 1960 lorsqu'il fut enlevé par des agents du Mossad et amené en Israël. Evènement majeur de l'après-guerre, le " procès Eichmann ", qui s'ouvrit à Jérusalem le 11 avril 1961, fut retransmis par de nombreuses chaînes de télévision à travers le monde. Eichmann fut pendu le 31 mai 1962. Dans cette biographie magistrale, la première depuis quarante ans, David Cesarani se penche sur la carrière d'Eichmann et s'interroge sur ce qui a pu conduire cet homme ordinaire à devenir un meurtrier de masse. En s'appuyant sur des documents découverts récemment, l'auteur bouscule certaines idées reçues et dépasse le préjugé selon lequel il aurait été " maléfique ", " fou " ou bien un simple rouage de la machine de mort nazie. Avec brio et clarté, Cesarani explique comment Eichmann est progressivement devenu l'" expert " en questions juives et a été le complice de l'assassinat de millions de personnes.

06/2010

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