Si le livre a bien sa place quelque part, excepté dans une bibliothèque, c'est au sein des lieux de privation de liberté. En Italie, au Brésil et dernièrement en France, des programmes de réduction de peine contre des heures de lecture ont été mis en place, tandis que les organisations non gouvernementales concentrent leur action contre l'illettrisme derrière les barreaux. Mais, au Royaume-Uni, des mesures sécuritaires entravent l'action des ONG.