Longtemps, internet a permis de pirater de bonne heure : la contrefaçon n’a jamais connu de limites sur la toile, suivant l’adage, « tout ce qu’internet touche, il le rend gratuit ». Le livre n’a pas fait exception, et bien avant même les premiers temps de sa dématérialisation, les pirates, perroquet sur l’épaule, souriaient de toutes leurs dents. Mais la menace vient parfois de ses propres alliés.