La fusion de deux supergroupes éditoriaux, Random House et Penguin, en 2013, soulevait des craintes quant à la construction d'un monopole mondial. Mais impliquait également des réactions en chaîne liées à une nouvelle stratégie commune : au sein de cette dernière, les conditions de prêt des titres des deux groupes, singulièrement différentes, devaient nécessairement s'accorder. C'est désormais chose faite, mais les bibliothécaires sont partagés.