« Le son de sa voix était net, plein, bien timbré ; une belle voix de basse, étoffée et mordante, qui remplissait l’oreille et sonnait au cœur », s’extasiait Rousseau (Les Confessions, Livre V, 1789). La voix au service du langage, une idée qui nourrit théories et littératures, mais qui est aussi un exercice mis en pratique grâce à des ateliers de formation.