livres vintage couvertures

Pour habiller son intérieur de littérature, et compléter une bibliothèque déjà volumineuse, Litographs propose une amusante gamme de couvertures, coussins et oreillers. Chaque parure s’inspire d’une oeuvre littéraire, avec un choix qui en offre véritablement pour tous les goûts.

Robots meurtriers, créatures monstrueuses, criminels assoiffés de sang et même des petits bonshommes verts, une exposition se tient à la galerie

Les éditeurs prennent le pli de la communication sociale, et notamment des outils mis à disposition. Le dernier accord en date a été passé entre Random House et Pinterest, pour favoriser la connexion entre les lecteurs et les ouvrages. L'idée est d'enrichir les contenus proposés sur le site de l'éditeur, par l'intermédiaire de l'API du réseau de partage de photos.

Innover pour se distinguer, c'était le credo de DC Comics avec son opération de septembre, 52 Villains Month 3-D Motion Covers. Les publications de ce mois présentent une couverture 3D, comme le nom l'indique, et le succès a été immédiat : toutes les commandes ont été fournies.

C'est la couverture qui fait le livre, et dans le domaine, celles réalisées par Alvin Lustig et Elaine Lustig Cohen comptent parmi les plus célèbres. Une exposition actuellement présentée à l'AIGA, association professionnelle de design, fait la part belle, jusqu'au 15 février à leurs travaux. Des ouvrages publiés entre 1933 et 1961 sont présentés, accompagnés de plus de 500 dessins et autres couvertures de magazines.

Qui a dit que les ados ne connaissaient pas leurs classiques ? Depuis le succès de Twilight de Stéphanie Meyer, les éditeurs rendent ces oeuvres plus attractives, empruntant les codes du romantisme gothique. 

Question : quand un grand couturier décide de faire des livres, va-t-il les signer, ou simplement les illustrer ? Christian Lacroix a tranché : il signe et illustre, mais uniquement la couverture.

Des couvertures pour ebooks avec book Cover Archive

Si la révolution numérique en France est en ordre de marche, mais reste au garde-à-vous, Stephen King, lui, a déjà choisi son camp : la lecture avant tout. Alors que le 24 septembre doit paraître son dernier ouvrage, Doctor Sleep, le romancier vient de publier sur un site dédié une version interactive de la couverture dudit roman.

Daylight Saving, d'Edward Hogan, publié chez Walker Books, est un livre fantastique qui parle des mésaventures d'un jeune homme qui se retrouve piégé dans le temps au moment du passage à l'heure d'été.

George Orwell est à l'honneur dans les collections de Penguin Classic, avec de nouvelles couvertures particulièrement travaillées.  À compter du 21 janvier, l'éditeur remet en selle les oeuvres les plus connues d'Orwell, avec en fond, la première Journée Orwell - The Orwell Day. Un événement annuel pour célébrer l'écrivain et son influence, tant dans les médias, que dans le discours moderne.

L'usage commence à se répandre mais, loin d'être la règle, mérite que l'on y prête attention lorsqu'il est pratiqué.

Si tu ne sais pas, demande. Si tu sais, partage. Adage aussi vieux que l'internet, que certains reprennent à bon compte. Dans tous les cas, ce qui importe, c'est de mettre à disposition les outils pour que chacun s'y retrouve.

En Italie, la maison Einaudi a publié un recueil de correspondance de l'auteur américain John Fante, sobrement baptisé Lettrere. Il était prévu qu'en couverture soit utilisée une photo de l'auteur, mais c'est celle du poète anglais Stephen Spender qui est finalement sortie des imprimantes. Une erreur signalée tout de suite sur Twitter par la maison d'édition, et qui a rapidement provoqué un débat, mais pas seulement.

Le design d'une couverture est loin d'être un exercice facile : bien souvent, c'est par ce biais qu'un lecteur, potentiel acheteur, sera attiré vers un ouvrage. Au risque de passer à côté d'une autre lecture bien plus satisfaisante pour lui... Deux chercheurs de l'université de Kyūshū, au Japon, ont décidé d'étudier les couvertures de livres avec une intelligence artificielle pour y déceler leur sujet...

En 1988, quelques années avant Spawn, Todd McFarlane commençait tout juste son incursion dans l'industrie du comics. Après quelque 700 propositions envoyées à différents éditeurs, il commence chez DC avec Batman, puis chez Marvel avec The Incredible Hulk. Il rejoint finalement l'auteur David Michelinie pour travailler sur The Amazing Spider-Man, réussissant en quelques numéros à imposer une nouvelle apparence au Tisseur.

Patience, minutie, probablement un peu de folie : des passionnés se sont mis en tête de reproduire les plus fameuses couvertures de comics, DC, Marvel, Image Comics et autres, et de les réunir sur le site

Des couvertures, certes, mais il ne s'agit toutefois pas véritablement de livres. L'artiste Joey Spiotto, basé à Los Angeles en Californie, illustre à sa manière le phénomène de nostalgie qui lorsque l'on est devenu adulte peut parfois ramener à notre souvenir nos activités de jeunesse. Par le biais du fan-art, l'illustrateur a dessiné des couvertures à la mode de la série pour enfants Little Golden Books, apparue il y a plus de 70 ans, mais mettant en scène des jeux vidéo sur lesquels se sont amusés les bambins d'une toute autre génération. Une manière d'anticiper l'avenir de la nostalgie en fusionnant les produits de deux époques distinctes.

Le secret de la vente de comics et BD serait dans la couverture. Du moins, les éditeurs américains, qui profitent actuellement d'un courant très favorable, dans les ventes et la qualité, ont-ils trouvé une autre solution marketing. Selon une étude présentée par Comics Worth Reading, le marché est actuellement couvert pour moitié par... des doublons.

Bloomsbury vient de dévoiler les nouvelles couvertures pour les éditions adulte d'Harry Potter. Comme on le voit sur les images, le design est sensiblement différent des anciennes versions. Il s'agit de maintenir l'attractivité du produit. 

Qui n'a jamais été attiré par la couverture d'un livre, parfois étonnante, belle, délirante, excitante ? Chip Kidd, designer de couverture pour l'éditeur Alfred A. Knopf, revient (via NPR Books) sur cet art en déclin face à l'ebook.

Guillaume Musso, dans l'édition, on ne le plaint pas. On le louerait plutôt. Parce que les ventes de ses livres sont un baume au coeur de chacune des personnes travaillant dans les structures qui l'éditent - que ce soit XO ou Pocket.

Le débat n’a pas fini d’agiter l’industrie du livre : le recours aux images que génèrent des IA pour les couvertures de romans agace passablement. Au tour de la maison Le Livre de Poche (filiale d’Albin Michel et de Hachette Livre), d'annoncer des mesures définitives pour y remédier.

Rowling a apprécié les couvertures françaises d'Harry Potter

Quid des droits chez Feedbooks : nos lecteurs s'inquiètent

Ce 20 avril, les éditions Gallimard révélaient les nouvelles couvertures poche de la saga Harry Potter, à l’occasion des 25 ans de la publication du premier opus en France, Harry Potter à l’école des sorciers. Tout est bon pour relancer la franchise, mais quand on parle du plus célèbre des sorciers, la polémique n’est désormais jamais bien loin…

La Cour de cassation a rendu une décision particulièrement importante dans une affaire qui opposait une illustratrice à l'éditeur Magnard-Vuibert. Entre 1996 et 2002, l'auteure avait réalisé des illustrations pour des couvertures d'ouvrages, essentiellement des manuels : le tout s'était fait à partir de bons de commande et de factures, et l'auteure attaquait l'éditeur pour avoir effectué des retirages des ouvrages sans l'informer, et en modifiant les illustrations réalisées.

La technologie s’est perfectionnée depuis Gutenberg, mais, dans les grandes lignes, elle reste totalement identique à celle qui a fait les grands jours de l’édition. Le livre, objet difficile à optimiser, représente pourtant beaucoup de travail : sans même prendre en compte les pages à noircir, la réalisation nécessite un peu de temps...

Les Contes de Beedle le Barde a été écrit à la main et illustré par J.K. Rowling, en édition limitée à seulement sept exemplaires. L'un d’entre eux avait été vendu aux enchères en 2007 pour collecter des fonds pour une œuvre caritative. Il a ensuite été publié en 2008 et continue d'être vendu aujourd’hui encore au profit de Lumos, l'association caritative pour enfants de l’autrice. Un bijoutier d'Édimbourg expose un exemplaire un peu particulier du roman de Rowling, doté d'une couverture d'argent sertie de pierres précieuses...

Un criminel donna le cuir de sa peau pour la couverture d'un livre