Alors que le braqueur en cavale vient de faire monter sa cote dans le milieu du grand banditisme, en laissant derrière lui une maison d'arrêt de Sequedin sans dessus dessous à l'issue de sa rocambolesque évasion, l'éditeur du livre de Redoine Faïd a livré ses commentaires sur le personnage. Et Pierre Fourniaud, lors de son entretien accordé à l'AFP, décrit un caïd de cinéma, qui, à la manière de Jacques Mesrine, adorerait être « l'ennemi public numéro un ».