Andrew Wylie, le redoutable agent littéraire, surnommé « Le Chacal » dans la profession, déplorait de n'avoir pas assez d'influence dans l'édition d'Amérique latine. En effet, il ne disposait que de « deux personnes qui parlent espagnol dans la société », expliquait-il début mai. Il aurait valu lire, en, filigrane, que ce territoire l'intéressait tout particulièrement. Et pour le conquérir, le rapprochement avec Carmen Balcells est devenu évident.