EDITO – Jacques Dutronc doit se demander s’il ne serait pas légitime à réclamer réparation, tant la déformation de son refrain, « Et moi, et moi, et moi », avec le nom de Yann Moix, fait recette. Rendons à César ce qui lui revient : Dutronc est une figure splendide, Moix, moins. Le bonhomme revient beaucoup ces derniers temps : fallait-il encore l’associer au prix Goncourt ?