Plusieurs débats tenus ces dernières semaines par les professionels de l'édition Outre-Atlantique ont abouti à la conclusion que l'édition devait être « sauvée », beaucoup doutant de son actuelle santé. Colin Robinson en a même appelé à une « réformation » en désignant "9,5 points" importants à prendre en compte. Forbes, en peu de temps, a démonté cette théorie. Aujourd'hui, c'est au tour d'un autre média, The Atlantic, sous le nom de Peter Osnos, de penser l'édition autrement. Il n'affirme rien de moins qu'il faille laisser au banc « les prophètes du malheur » et d'envisager l'édition comme une industrie qui sait et peut s'adapter.