Mon cher Hervé, puisque je me suis chargé de donner un coup de plumeau aux classiques, les classiques étant poussiéreux mais pas ensablés, je me propose de lire La cousine Bette, le roman de Balzac. Pourquoi ce titre-là ? Parce que je ne l’ai jamais lu et parce qu’en reprenant un Choix de lettres de Proust, je suis tombé sur ces lignes : « J’ai fini La cousine Bette. Il y a vraiment des choses étonnantes. Mais il y a à la fin du premier volume du Port-Royal de Sainte-Beuve (appendice) un éreintement de Balzac (celui de La cousine Bette). » (A Reynaldo Hahn, 1896). Alors, pour ou contre La cousine Bette ?