R.j.p Toreille, Raphaël Jean-Philippe Toreille

Geluck rêve d'un musée qui consacrerait son travail

Trondheim et Run se lancent dans les figurines avec Alyenz

Le président de l'université de Toulon démissionne

Métailié change L'Enfant éternel en Fils du printemps (Cristovão Tezza)

Valérie Pécresse lance une mission sur l'autonomie des universités

Haïti : nouvelles rassurantes pour quelques auteurs

Une école fermée toute la journée à cause de vandalisme

Pendaison d'une institutrice : tenir les enfants à l'écart de ça

BD : Geluck, Druillet, Tabary ou Uderzo se mettent aux enchères

M6 et Leclerc vendront du livre à partir du 30 mars en prime-time

Lancé par Jack Lang en 1999, le Printemps des Poètes est devenu une véritable institution dans le paysage culturel français et québécois. Après une édition 2021 portée par le thème du Désir, c'est Golshifteh Farahani, actrice et chanteuse française d'origine iranienne, qui marrainera une 24e édition autour de l'Éphémère, du 12 au 28 mars 2022. Un Printemps des Poètes qui sera, selon Sophie Nauleau, « résolument tourné vers la lumière ». 

Prévue ce jeudi 19 octobre, l'inauguration de la Cité internationale de la langue française, au château de Villers-Cotterêts, est repoussée au 30 ou 31 octobre prochain. Le président de la République assiste en effet aux obsèques de Dominique Bernard, professeur de français assassiné le 13 octobre dernier par un homme revendiquant son allégeance à l'organisation terroriste État islamique.

« Une vieille dégoûtante », des noms vous viennent, vous vous trompez, personne n’est visé : il s’agit d’une nouvelle inédite d’un certain Louis Ferdinand Céline... Écoeurant les gaunas, ces créatures qui se nourriraient d’êtres humains, autant que l’humiliation. Alors, la colère monte : « Faudrait pas me prendre pour un meuble… »

La Fondazione dell'Albero d'Oro, en collaboration avec l'Université Ca' Foscari de Venise, et à l'occasion des derniers jours de l'ouverture au public de l'exposition Nicolò Manucci, le Marco Polo de l'Inde, organise une série de rencontres et conversations entre écrivains autour de la littérature de voyage, au salon du Palazzo Vendramin Grimani. 

Deux mois après son assassinat, le père Hamel fait l’objet d’un premier livre qui revient sur les circonstances de sa mort mais aussi sur son parcours. Intitulé Martyr : Vie et mort du père Hamel (Editions du Cerf, 128 pages, 9 €), cet ouvrage est signé par Jan de Volder, un historien titulaire de la chaire « Religions, Conflit et Paix » au sein de l’Université catholique de Louvain.

La Fondation Jan Michalski pour l'écriture et la littérature basée en Suisse accueillera une exposition d'une figure majeure de la poésie du XXe siècle, René Char. Du 14 juin au 29 septembre 2019, Sources et chemins de la poésie retracera les œuvres du poète sur une trentaine d'années, à travers différentes activités. Un vernissage public de l’exposition aura lieu le jeudi 13 juin à 18h30.

Le président du Parlement flamand, Jan Peumans, doit commencer à sentir un vent mauvais lui revenir aux narines. Depuis deux jours, la décision d'altérer une planche de Schuiten et Peeters, présentée dans le cadre d'une exposition au Parlement, fait jaser. Au prétexte que le texte de la planche était en français, le président Peumans l'a tout simplement fait disparaître. Colère des uns, dépit des autres... et maintenant, solidarité. 

Réalisé par Jan Kounen et sorti en 1997, le film Dobermann avait donné à Vincent Cassel un rôle de criminel endurci. Spécialisé dans les attaques de banques, lui et son équipe, ils se retrouvaient avec un inspecteur un peu crado, incarné par Tchéky Karyo, qui lui-même traînait quelques vilaines manières. Le tout avait été scénarisé par Joël Houssin, auteur de plusieurs romans mettant en scène le personnage, Dobermann.

Les éditions l'Espace d'un instant sont une initiative de la Maison d'Europe et d'Orient, pôle culturel européen - association reconnue d'intérêt général, soutenue par la Fondation Jan Michalski et la Ville de Paris, et partenaire de Sens Interdits et du Théâtre dans la Forêt. Elles alertent aujourd'hui dans une tribune du devenir de la Maison d'Europe et d'Orient. Leur texte est proposé en intégralité.

Le public, frustré de son annulation l’an passé, l’attendait. Il était au rendez-vous, heureux et enthousiaste à déambuler dans les allées de la Halle Georges Brassens et de l’Espace des 3 Provinces, pour cette 39e édition de la Foire du livre, organisée, protocole sanitaire oblige, sur deux sites.

Depuis Laon et la montagne couronnée, on s’enfonce dans une anfractuosité du plateau calcaire. Soudain, la terre déplie le nuancier de l’automne. Bois et vallons dévalent jusque Mauregny-en-Haye. Le portail est clos. Mais à l’intérieur de cette cuisine de province, la poignée de main est chaleureuse. Sur le gaz, une cafetière italienne. Le café du matin est bon.

Avant de connaître le choix définitif des membres du jury du prix Renaudot, l'écrémage continue et il ne reste maintenant plus que cinq romans et trois essais en lice pour le prix Renaudot, rapporte Livres Hebdo.

Deux amoureux se perdent dans la jungle et rêvent de se marier au prochain village pygmée : Traîne-Savane raconte l’histoire (vraie) de ce mariage romanesque décidé sur un coup de tête, au bout d’une longue errance au cœur de la forêt congolaise. Cent cinquante ans plus tôt, le zélé missionnaire David Livingstone déambulait le long des fleuves d’Afrique centrale, à la recherche d’une terre promise, d’une autoroute du commerce ou de sources miraculeuses. Fantasque et têtu, rêveur et maladroit, l’explorateur menait vaillamment ses combats impossibles jusqu’à ce que Stanley le retrouve sur les berges du lac Tanganyika et lui lance son mythique : « Doctor Livingstone, I presume... » En tressant ces deux parcours picaresques, Guillaume Jan relie le destin de ces Don Quichotte qui, chacun à leur manière, donnent leur cœur au continent noir. Curieusement, aucune biographie solide du Docteur Livingstone n’avait été jusqu’ici établie en langue française.

Signature du livre et discussion avec l'auteur, Guillaume Jan.

La vie de Louise Hervieu (1878-1954) n'a pas été facile. Née hérédosyphilitique (cela existait encore en ce début de Troisième République), elle eut une santé fragile qui la contraignit à un moment de sa vie de se retirer et  ne plus se consacrer qu’à l’art graphique et à l’écriture… Enfin, pas tout à fait. Sensible pour des raisons évidentes aux problèmes de santé, elle milita activement à l’instauration du « carnet de santé » et parvint à ses fins en 1938.
En 1936, elle obtient pour « Sangs » (publié chez Denoël) le prix Femina au 4eme tour, l’histoire d’une enfant à l’hérédité implacable, que l’amour ni la richesse de sa famille ne peuvent guérir, ne peuvent écarter de la malédiction du « mauvais sang »
On n’échappe pas à son malheur.
Par Henri-Jean Coudy

Vous avez quitté la couette avec appréhension ce matin, mais c’est pour mieux retrouver la sélection de BD numérique de notre partenaire Sequencity. Aujourd’hui encore, toute une flopée de nouveautés vous attendent. De quoi charger de plaisir sa tablette ou son ordinateur, et affronter le reste de la journée sereinement. Et comme toujours, il vous suffit de cliquer sur les couvertures pour feuilleter librement l’intégralité de chaque BD, et en lire gratuitement les premières pages.

Toulouse, la ville rose, passera au noir pour le festival international Toulouse Polars du Sud, du 7 au 9 octobre 2016. Une édition à nouveau organisée par l'association Toulouse Polars du Sud, créée en 2008, et toujours partante pour faire la promotion du genre littéraire. Le quartier populaire du Mirail accueillera l'événement, avec un programme chargé.

Réunis en assemblée générale le 15 septembre, les membres de l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) ont élu les éditeurs qui siègeront au nouveau conseil d’administration de l’Association. M. Gaston Bellemare, éditeur-conseil, entreprend la 2e année de son mandat à la présidence de l’Association.