C'est reparti pour une nouvelle semaine d'informations croisées entre ActuaLitté et Numerama, qui se prêtent mutuellement leurs colonnes pour vous proposer un condensé des actualités importantes des sept derniers jours. Au programme : une nouvelle console de jeu, un coup tordu d'une major, une accusation visant Amazon, un jugement étonnant et des précisions sur un jugement anti-piratage.
La 3DS de Nintendo et la PS Vita de Sony n'ont qu'à bien se tenir ! Les deux géants nippons du jeu vidéo vont bientôt devoir rivaliser avec Nvidia sur le terrain des consoles portables. L'entreprise américaine spécialisée dans les cartes graphiques a dévoilé lors du CES 2013 sa propre solution, surnommée Project Shield. Il s'agit d'une manette classique mais dotée d'un écran dépliable.
Mardi
Des enregistrements de Bob Dylan jamais exploités datant de 1962 et 1963 allaient tomber dans le domaine public. Que croyez-vous qu'il arriva ? Sony Music a commercialisé quelques rares exemplaires de cette compilation, uniquement pour bénéficier de l'extension de la durée des droits de propriété intellectuelle prévue par une directive européenne qui entrera en vigueur en 2014. Bravo Sony.
Mercredi
Amazon, fossoyeur de Virgin Megastore ? Le spécialiste américain du commerce en ligne a été pointé du doigt par la ministre de la culture Aurélie Filippetti, qui prétend que les géants du e-commerce échappent au régime fiscal français. Pour elle, c'est cette concurrence déloyale qui a entraîné la faillite de la chaîne de magasins. Une accusation facile, qui manque l'essentiel.
Jeudi
Associer un patronyme au terme "secte" dans le cadre des suggestions automatisées de Google Suggest n'est pas injurieux. C'est le jugement qu'a rendu le tribunal de grande instance de Paris l'automne dernier, estimant que si le mot a effectivement une connotation péjorative, l'agrégat du patronyme et du terme peut recouvrir diverses significations.
Vendredi
Les motifs ayant entraîné une relaxe d'un internaute pris dans les filets de la riposte graduée se précisent. La Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet a confié que c'est une erreur de procédure qui a permis à l'internaute d'échapper à une éventuelle condamnation. La plus grosse peine à ce jour dans ce cadre est une amende de 150 euros.
Rendez-vous la semaine prochaine !