S’attaquer aux racines du mal, pour mettre un terme à la contrefaçon de mangas. Sur le papier, le concept s’entend parfaitement. Dans les faits, le combat vire au cauchemar pour les ayants droit. Sauf, peut-être, à s’en prendre directement aux outils qui véhiculent les œuvres piratées. Depuis avril 2020, quatre structures japonaises ont adopté une nouvelle stratégie en la matière.