Encore un, encore un écrivain mort pendant la première guerre mondiale, le 27 décembre 1914, des suites d'une blessure mal soignée. Louis Codet n'avait que trente-huit ans. Il avait participé à la rédaction du premier numéro de la NRF et il laissait derrière lui des poèmes et des récits dont "La petite chiquette" (1908). En 1918, à titre posthume, paraissait chez Gallimard son dernier roman "César Capéran ou la tradition". La petite Vermillon le réédite aujourd'hui avec une préface de Jean-Baptiste Harang, journaliste et écrivain dont "Jours de Mai" vient de paraître chez Verdier.