Lorenzo Mattotti, Antonio Tettamanti

Pour son édition 2011, le prix Camoes, plus célèbre de la langue portugaise, et équivalent de notre Goncourt national, sauf qu'il est remis par le gouvernement, vient de couronner un nouveau lauréat.

Antonio Ungar, habite à Bogota, dans le centre-ville de la cité colombienne. Mais ce bel écrivain n'a pas toujours été un enfant des villes.

Notez-le tout de même sur vos tablettes, surtout que l'actualité éditoriale de Frédéric Dard va prochainement se faire dense. En effet, France 5 proposera le 6 janvier un reportage inédit sur l'auteur, à l'occasion du 10e anniversaire de sa disparition.

Ce jeudi 16 décembre, l'adjoint chargé de la culture, avec un petit c, à la Mairie de Paris, Christophe Girard, ira se morfondre de froid avec Daniel Vaillant, maire du XVIIIe arrondissement devant un petit jardin.

Antonio Caballero naît à Bogotá en 1945. Il grandit en Espagne et fait des études de droit et de sciences politiques à Paris.

Né d'une famille aisée, avec un père armateur, Antonin Artaud baigne dans un multilinguisme, entre les bonnes italiennes et ses grands-mères turques. Il passe ses premières années dans la ville portuaire de Marseille, une ville avec laquelle il entretint toujours un rapport conflictuel.

Pendant l’occupation nazie, l’écrivain Antonin Artaud a été interné à l’asile de Paraire, à Rodez, où il a passé trois ans, de 1943 à 1946.

La Fondation Jan Michalski, créée en 2004 à Montricher, au pied du Jura suisse, a pour mission de favoriser la création littéraire et d’encourager la pratique de la lecture à travers diverses actions et activités, dont des expositions pour mettre en valeur le patrimoine littéraire. Depuis le 19 juin et jusqu'au 25 septembre 2016, c'est l'Espagnol Antonio Saura qui est à l'honneur.

L'écrivain italien Antonio Tabucchi sera à l'honneur au sein de la BnF, dans la Galerie des donateurs, à partir du 21 septembre et ce jusqu'au 9 novembre 2014. Cet intellectuel engagé, disparu en 2012, reste aujourd'hui célébré pour l'œuvre littéraire qu'il a laissée, que l'on décrit souvent comme aussi subtile qu'envoûtante.

La presse portugaise n’en revient pas, et apprécie d’autant plus. L’écrivain António Lobo Antunes sera le second auteur lusophone, après Fernando Pessoa, à intégrer la bibliothèque de la Pléiade. Et, cela devient une habitude, à y figurer de son vivant.

Au terme du concours d’écriture organisé par Fleuve éditions, avec le concours de 12-21, le versant numérique des éditions de poche, le prix San Antonio, créé en hommage à Frédéric Dard a une lauréate. Il s’agissait de saluer un polar inédit (ni publié chez un éditeur ni  autopublié). Avec, au bout de l’aventure, une publication chez Fleuve Noir garantie. Eh bien la lauréate est connue.

CHRONIQUES ANTI-ISOLEMENT de L’ÂME DES PEUPLES — La samba s’est tue, ou plutôt elle n’émet plus qu’une seule note, lancinante, angoissante comme celle d’une sirène annonçant le couvre-feu en temps de guerre.

Le créateur de San Antonio va aussi connaître sa rentrée littéraire : Frédéric Dard sera en effet à retrouver dès la fin du mois d'août et jusqu'en octobre, alors que les éditions Fleuve noir ont décidé de présenter de nouvelles versions de ses romans.

Intéressante vidéo proposée par la chaîne de librairies Half Price Bookstore, vient tout juste d'ouvrir un nouvel entrepôt à San Antonio, au Texas.

Un espace un peu particulier s'est ouvert en septembre 2013 à San Antonio, au Texas : une bibliothèque mais aucun livre papier, rapporte le Labo BNF. Cet établissement est avant tout conçu pour promouvoir le livre audio et le livre numérique.

Lors de son édition 2013, le Jerusalem International Book Fair remettra le Prix Jérusalem à l'écrivain espagnol Antonio Muñoz Molina, rapporte The Leterary Saloon. Cette récompense vient distinguer, tous les deux ans, un auteur qui a traité, dans ses œuvres, de la liberté de l'individu, de la société, de la politique et des gouvernements.

C'est un vaste souffle dans une ville, une rue sombre et un soleil brulant.

À l’Institut des archives nationales, à Lisbonne, se trouvent 72 livres classés par ordre chronologiques. Entre leurs pages, des informations précieuses concernant la vie d'António Oliveira Salazar, écrites de sa main. Datées du 1er janvier 1933 au 6 septembre 1968, ce sont plus de 6500 pages de texte qui ont été numérisées. Rassemblés dans un livre, intitulé Diários de Salazar, ces mots sont dès à présent disponibles en format numérique.

Les Éditions de la Différence viennent de publier le 10 mai L'Échec, Anatomie d'un tabou, dans lequel l'auteur, Antonin Carselva, ajoute à sa qualité d'écrivain celle de chirurgien. Il défriche et découpe au scalpel « la maladie du monde ». Comme l'écrit Antonin Carselva dans l'article qui suit, « Ce n'est pas une analyse […], c'est un constat. »

Mercredi 5 juin 2013, l'écrivain espagnol Antonio Muñoz Molina a remporté le prix Prince des Asturies pour la catégorie Lettres. Il succède à l'américain Philip Roth , lauréat de l'année dernière, et devient ainsi le gagnant dans son propre pays, dont le prix tient ses origines. Il a été salué par le jury pour « son engagement littéraire ».

Du 8 au 24 septembre, la galerie Comic Art Factory organise, à Bruxelles, la première exposition-vente de l’auteur belge Antonio Cossu. Il est l’un des rares dessinateurs à avoir été publié dans tous les hebdomadaires et mensuels majeurs de bande dessinée : Tintin (1979), Spirou (1980-1987), Pilote (1981), Métal Hurlant (1981-1986), et Circus (1982-1988).

L’Italien Antonio Scurati a remporté le 16e Prix du livre européen pour son texte M, l’homme de la providence (trad. Nathalie Bauer), édité aux Arènes en août de cette année. Il s’agit de la suite d’un énorme succès de vente en Italie, M, l’enfant du siècle (trad. Nathalie Bauer), paru en 2020. La saga, découpée en trois tomes, retrace les années fascistes du pays de Giacomo Leopardi. La récompense littéraire a été créée en 2007 par l’association Esprit d’Europe. Le prix est doté à hauteur de 10.000 €.

Le dessinateur d'origine espagnole Antonio Parras mort à 81 ans

BONNES FEUILLES - Traduit de l'italien par Laurent Lombard, Les Jours de la peur se déroule à Bologne dans les années 70. L'intrigue commence avec un attentat qui détruit le centre de transmission de l’armée, entraînant la mort de quatre personnes et blessant de nombreuses autres. 

Ce qui suit n’est pas un appel à l’insurrection, ni même un article dénonçant une pratique honteuse régie par les réseaux dits « sociaux ». Il s’agit surtout de faire le point sur des outils de communication complètement cadenassés, verrouillés, tenus par de lamentables fourvoyeurs de la liberté d’expression.

Dans le numéro 354 de la revue Voilà, « l'hebdomadaire du reportage », imprimé fin 1937, un certain John Forester écrivait : « Ils portent parfois des masques étranges de cruauté et de désir, bien qu’ils ne soient ni envieux ni cruels. » Ce « ils », ce sont les Tarahumaras du Chihuahua mexicain, et ce John Forester, cet énergumène d'Artaud le Mômo.

BONNES FEUILLES — En novembre 1947, Antonin Artaud enregistre « Pour en finir avec le jugement de Dieu » pour la Radio Diffusion française. La diffusion de cette commande est prévue pour le 2 février 1948, mais la direction craint le scandale que la presse anticipe et alimente.

La nature a été particulièrement généreuse avec les licornes, c’est indéniable. Une de mes connaissances terrestres m’a relaté avec beaucoup d’enthousiasme son récent baptême de parapente. Nous oublions parfois la chance que nous avons de pouvoir nous envoler quand cela nous chante vers une destination inconnue.

Le roman d'Antonio Di Benedetto, Zama, premier livre de l'auteur publié en France, dès 1976, dans une traduction de Laure Guille-Bataillon, a fait l'objet d'une adaptation au cinéma, réalisée par Lucrecia Martel (La Femme sans Tête, 2007). Au casting, Daniel Giménez Cacho, Lola Dueñas ou encore Juan Minujin.