La résurrection de Gai Luron, sous la plume de Pixel Vengeur, avec cette fois Felder au scénario, remplaçant de Fabcaro qui officiait pour le premier opus, est une bénédiction. Et pas pour de basses raisons sexuelles ni économiques, fourbes lecteurs ! Non : sous l’impulsion de Belle-Lurette, totalement dépressive, c’est du salut de la patrie que l’on cause !