Quel bonheur de lire que les éditeurs de septembre 2020 (remarquez le « de » et pas le « en », parce que d’ici là, ça sent l’hécatombe éditoriale), suite à la crise sanitaire Codiv-19, vont remettre à l’honneur la nouvelle et le récit court ! Pour l’adepte fervente que je suis, ce n’est que du bonheur ! Je vous épargne mon amour de la nouvelle qui a débuté avec Le Horla de Maupassant, lecture et découverte qui datent largement du siècle dernier. Mais trêve de la nostalgie.