Devant la commission du Sénat, Vincent Bolloré n’aura rien lâché : « Il a fait le job », commente un observateur amusé. Malgré l’hostilité affichée — compréhensible, douteuse, maladroite, chacun choisira — l’actionnaire majoritaire du groupe éponyme a défendu sa vision. En martelant comme un mantra : le groupe Bolloré inquiète peut-être, mais face aux géants américains, il demeure un nain.