Laurence Patri jure qu’elle aime les livres. Au point de les passer par le fer, pour leur donner de nouvelles vies. Dans une forme d’origami, elle s’emploie alors à transformer les ouvrages, et donne des formes, des impressions. Tout cela parce que le livre est une matière vivante, affirme-t-elle, et qu’il lui importe de le montrer.