On dit les animaux sensibles à la musique (voir infra*), et ne sont-ce pas là, justement, les propos de Verlaine « De la musique avant toute chose », qui refléteraient si bien la plus grande réalité de la littérature ? Eh bien, il faudrait croire que ce qui sort des éditeurs de Canongate n'a pas vraiment emballé les mouettes de passage, importunées par une musique qui les a rendues folles…